Partie 16 ♥️

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Il m'enleva mon T-shirt, je lui enlevai le sien à mon tour. La vu de son torse me donnait presque envie de le mordre. Je lui suçai le cou, je passai ma main sur son ventre et je l'abaissai jusqu'à la glisser à l'intérieur de son pantalon. Il se mit sur moi.

Je mis mes mains sur son dos et je senti sa peau devenir brûlante, j'écartais les jambes prête à aller jusqu'au bout de ce que nous commencions.
Il m'embrassa tout en descendant jusqu'à ma poitrine, il sortit sa langue.
Je prenait tellement de plaisir que même s'il n'avais pas encore pénétrer en moi je jouissait déjà intérieurement.
Je mis ma main sur l'arrière de sa tête, je la passait dans ses cheveux comme pour l'encourager à continuer.
En remontant sa tête pour m'embrasser, il me donna un coup de rein. Je senti son entre-jambe contre la mienne, je ne pu retenir un soupir qui traduisait mon excitation.
Il passa sa main sur mon ventre puis sur mes seins et il déboutonna mon jean.
Je l'enlevai et je me mis sur lui.

Il pris mes hanches dans ses mains. Il m'agrippait fort, mais la douleur de ses doigt dans ma peau ne faisait qu'augmenter mon plaisir. Tout en m'embrassant, il descendait ses mains jusqu'à mes fesses. Je descendait ma bouche petit à petit sur son corps. Je mis ma main dans son caleçon, mais il me dit soudain :

Pierre: Arrête.

Moi: Pourquoi ? Je trouve que les choses prennent une belle tournure.

Il se releva de façon à être assis

Pierre: On peux pas faire ça, je ne peux pas faire ça.

Moi: Dit pas ça, je ne te crois pas. Je sais que t'as très envie de moi.

Pierre: Oui, c'est vrai. Mais si on fait ça on va souffrir tous les deux ensuite. Et je refuse de te faire souffrir.

Il se leva

Pierre: Je suis désolé, mais je te promet que c'est pour ton bien. Tu dois te reprendre en mains. Tu peux pas gâcher ta vie pour une histoire qui ne marchera pas. On ne peux pas...

Il se rhabilla, je ne dis rien. Je restai là, incrédule. Il m'embrassa sur le front, et partit.
Comme ça, me laissant seule et en sous vêtements.
Je n'y croyais pas. J'avais été sur le point de réaliser ce rêve érotique qui me hante depuis des mois, et il m'abandonne au dernier moment.

A cette pensée, mon cœur se mit à battre plus fort que jamais, et j'eus de nouveau mal dans la poitrine.
Je me mis à pleurer. Je pleurai toute la journée, et toute la nuit.

Le lendemain, je n'avais plus de larmes à verser. Je restai dans mon lit toutes la journée. J'étais dévastée. Je ne mangeai plus, je me forçait à dormir pour tenter de découvrir que tout cela n'était qu'un cauchemar, mais à chaque fois je retombais violemment dans la réalité. Je passais les trois jours suivant dans ma chambre également, je ne parlais plus, ni à mes parents, ni à Anais, ni par message à qui que ce soit.
Je pensais être au fin fond du gouffre de ma vie, mais j'allais creuser encore.

Et si nous prenions le risque de nous aimer? Où les histoires vivent. Découvrez maintenant