Qu'allais-je bien pouvoir faire de lui ? Je pensais d'abord rester avec lui, puis je me dit que ce n'était vraiment pas nécessaire de jouer un double jeu avec lui, même si c'était déjà un petit peu le cas. Je devais donc le quitter.
Il arriva chez moi. Je lui ouvrit la porte et il vint rapidement m'embrasser. Il me serra fort dans ses bras. Il semblait content de me voir. Je me dit qu'après tout, on pouvait passer une dernière soirée ensemble. Je savais que c'était mal de le faire espérer, mais j'avais besoin de son corps pour me sentir presque bien encore une dernière fois.
J'avais presque envie de lui, enfin, de son corps. J'avais envie de son corps car il me donnait l'illusion de Mr Willys. Nous étions encore dans l'entrée lorsqu'il m'enlevait mon haut. Une partie de moi-même me dit que je devais arrêter maintenant, car je ne devais pas continuer à le manipuler ainsi. Mais l'autre partie de moi même lui enleva son haut à son tour et sentie la chaleur de son torse contre ma poitrine. C'est cette partie là de moi-même qui gagna le combat.
Je décidai de céder à la folie. Après que je l'aurais quitté, il ne voudrais certainement plus de moi, et s'il ne ce passait rien avec Mr Willys, c'était alors la dernière occasion pour moi de me soulager. En pensant à ce soulagement qui m'était si précieux, je fut prise d'une sorte de frénésie perverse. Comme si le diable était en moi, je n'avait qu'un but : soulagé l'envie sexuelle en moi.
C'était la dernière fois, et je me lâchait. Je le collai contre le mur, je l'embrassai dans le cou tout en passant ma main entre ses jambes. Je descendait avec ma bouche et ma langue sur son torse puis sur son ventre. Enfin, je baissais son jean. Je commençai alors à lui donner du plaisir. Ses gémissements arrivait à mes oreilles comme ceux de Mr Willys. A cette pensée, je ne pouvais définitivement plus me retenir. Le fait de savoir que ce que je faisait était mal me libérait une sorte d'adrénaline dans le corps. Le plaisir se propageait en moi. J'étais comme possédée par ce mal, et plus le mal montait en moi, plus la douleur de mes sentiments envers mon professeur se dispersait.
Il prit un plaisir sans égal. Nous avons ensuite fais l'amour par terre, j'ai presque pris du plaisir à le sentir en moi, pour la première fois.
Mais je ne devais pas oublier que je devais le quitter, pour son bien.
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Et si nous prenions le risque de nous aimer?
RomanceC'est à sa rencontre que ma vie à commencée, j'avais 15 ans. J'étais une fille plutôt simple, sans grandes histoires. Je laissais les grandes histoires d'amour passionnées d'adolescentes à mes copines, bien plus jolies que moi, et je me contentait...