Je pris une grande inspiration et décidai d'être franche. Je ne pouvais pas mentir, il avait tout vu. Je m'avançais vers lui et il me dit:
Tom: Dis moi que j'ai rêvé.
Moi: Tom je vais tout t'expliquer..
Il me coupa et se mit à crier, il était presque hors de lui :
Tom: Dis moi que je rêve et que tu ne viens pas d'embrasser à pleine bouche ton prof de Math !
Je levai les yeux pour bien regarder les sien, et d'une voix qui se voulait douce je dit :
Moi: Tom calme toi...
Tom: Ne me dit pas de me calmer, tu as intérêt à tout m'expliquer.
Moi: Il y a pas vraiment grand chose à expliquer... Tu as tout vu non ?
Tom: Malheureusement oui, j'ai tout vu. Donc tu sors avec ton professeur de Math. ?
Moi: Oui.
Tom: Et qu'est ce que vous faite là ?
Moi: On était en Week end.
Tom: Super. Donc tu te tape le prof de Math.
Maintenant il était hors de lui :
Tom; Et moi qui envisageait une réconciliation... HAHAHA, j'ai été servis la!Moi: Tu sais on pourrait être amis...
Tom: Nan mais tu te fou de ma gueule là ?!
Moi: Comme tu veux
Tom: Donc en faite quand je te disais que tu étais une pute, t'en étais vraiment une !
Moi: Je t'interdis de me parler comme ça !
Tom: Tu ne m'interdit rien du tout. Tu m'as larguer comme une merde au plus haut de mon amour pour toi en me disant que tu te tape un autre et en plus de tout ça, cet autre mec c'était ton prof. Donc tu vois je pense que si j'ai envie de dire que t'es une pute, et bien je le fais.
Je commençais moi aussi à m'énerver :
Moi: Ecoute je n'ai aucun compte à te rendre. Je te remercie mais je fais ce que je veux Ok ? Si je veux sortir avec mon prof je le fais ! Et tu n'as pas à t'en mêler quelle qu'en soit la façon !
Tom: Ah mais bien sûr » dit il ironiquement, Tu est libre d'écarter tes jambes face à qui tu veux, au point où tu en es ! D'ailleurs, j'espère qu'il te baise bien, ce serait dommage qu'il ne soit pas à ta hauteur.
C'était trop, sans réfléchir je lui donnait une gifle. Je regrettai tout de suite mon geste, mais c'était trop tard. Je me dis que j'étais bien partie donc j'en profitai pour libérer toute ma rage.
Moi: Ne t'inquiète pas pour moi. Comme tu le dis si bien, il me baise bien mieux que tu ne pourra jamais le faire. Donc si j'ai envie d'être une pute, je suis libre de mes choix !
Il s'approcha de moi, je fit un pas en arrière. Il agrippa mes cheveux et les tira de façon à me rapprocher de lui. Je criai :
Moi: Lâche moi
A cet instant précis Pierre sortit du super marché. Il connaissait Tom de vue même si ce n'était pas son élève. Il lâcha ce qu'il venait d'acheter, me pris par la taille et me tira derrière. Il se mit en face de Tom et cria :
Pierre: Mais tu es devenu fou ? Il t'arrive quoi ? »Tom recula et lui dit en souriant:
Tom: Ah moi rien. C'est à toi qu'il va arriver des choses bientôt. Tu va voir, je vais tout dire. Je suis sur que le proviseur sera ravi d'apprendre que tu te tape une élève. Je suis même pas sûr que ce soit légal !
Pierre: Je n'ai pas peur de toi Tom. Contrairement à toi moi je suis un homme et j'assume mes actes et mes choix. Tu veux tout gâcher ? Vas y ! J'assumerais les conséquences.
Tom partit.
Pierre s'approcha de moi, me pris dans ses bras. Je l'enlaçai de toute mes forces. J'étais tellement heureuse qu'il soit à mes cotés. Je me mis à sangloter. Il tenta de me rassurer :Pierre: Il ne le fera pas
Moi: Comment tu peux en être sûr ?
Pierre: Je te promet qu'il ne le fera pas, il n'aura pas le courage de gâcher ta vie.
Moi: J'espère que ce n'est pas une promesse, parce qu'une promesse doit être absolument tenue.
Il ne dit rien car il savait qu'il ne pouvait rien m'assurer.
Nous prenions la voiture pour rentrer, mon cœur ne cessait de battre. Durant tout le trajet je repensais à ce qui venait de se passer. Malgré, je devais constater que mon bonheur devait se terminer.
Les problèmes allaient commencés.
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Et si nous prenions le risque de nous aimer?
Roman d'amourC'est à sa rencontre que ma vie à commencée, j'avais 15 ans. J'étais une fille plutôt simple, sans grandes histoires. Je laissais les grandes histoires d'amour passionnées d'adolescentes à mes copines, bien plus jolies que moi, et je me contentait...