Et si, rien ne c'était passé comme l'avait prévu la meute ? Et si la mort du fameux Nogitsune entraînait la mort d'autres personnes avec elle ? L'amour est un sentiment puissant mais parviendra-t-il à réparer un cœur blessé et meurtri ? Un corps aya...
Lydia était partie depuis quelques minutes. Depuis son départ, j'étais resté sur ma chaise, à regarder Stiles et à écouter les battements réguliers de son cœur. Ils résonnaient comme une douce mélodie à mes oreilles. La porte s'ouvrit soudainement sur Deaton.
- Bonjour Derek. Je viens examiner Stiles.
- Allez-y, disais-je sèchement.
Je me levai de ma chaise et observai le véto s'occuper de Stiles. Il prit un scalpel, dégagea le bras de Stiles et fit glisser la lame sur la peau fine de l'hyperactif. Du sang coula alors de la plaie qui ne se referma pas à mon plus grand regret.
- Pourquoi il ne cicatrise toujours pas ?
- Je n'en sais rien mais je vais faire tout mon possible pour résoudre ce problème.
Lorsque je me retrouvai de nouveau seul dans la chambre, je repris ma place sur la chaise.
- Il faut que tu te réveilles Stiles. Je vais pas le supporter sinon. J'ai besoin de toi.
Soudain, le silence se fit briser par une alarme. Je regardai immédiatement l'écran qui affichait les battements de Stiles qui s'étaient accélérés subitement. Je reportai mon attention sur Stiles suite à ses convulsions qui le secouèrent.
- Non non Stiles ! Stiles, restes avec moi !!!
La porte s'ouvrit brusquement sur une équipe d'infirmière dont ce trouvait Mélissa.
- Derek, il faut que tu sortes de la chambre.
- Qu'est-ce qu'il se passe ?
- On s'occupe de lui. Sors de la chambre Derek.
Je patientai alors dans le couloir en faisant les cent pas. Après ce qui me parut être des heures, Mélissa sortit de la pièce.
- Comment va-t-il, me précipitais-je.
- Il est en insuffisance respiratoire. On a du le placer sous oxygène pour le soulager et donc l'intuber. On va devoir faire une radio de ses poumons rapidement.
- C'est un cauchemar, lançais-je en me laissant tomber sur la chaise.
- Il va s'en sortir. Je ne lâcherai rien.
- On ne sait même pas s'il va se réveiller un jour. Il suffit de le regarder, il est tellement...faible.
- Stiles ne lâchera rien. Il va se battre, j'en suis certaine. Il faut juste lui laisser du temps. Tu peux aller le voir.
- Merci.
Je me levai et entrai dans la chambre. Ma vision se troubla lorsque je vis Stiles appareillé.
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Je pris sa main et fondis en larme.
J'étais rester tout la nuit auprès de lui. Je tentais à plusieurs reprises de lui prendre de la souffrance mais les médocs faisaient effets. Je ne pouvais rien faire.
Mélissa entra dans la chambre et posa sa main sur mon épaule.
- Il est quelle heure ?
- Il est sept heure. Tu devrais rentrer te reposer, je prends le relais.
- C'est gentil mais je préfère rester ici avec lui.
- Je comprends. Mais tu sais, il va bien falloir que tu dormes.
- Quand il sera sain et sauf.
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C'était deux heures plus tard que les visites commencèrent. Lorsque quelqu'un toqua à la porte, j'essuyai rapidement mes larmes et me redressai. Je tournai la tête et fus surpris de voir Scott. Ce dernier lâcha le sac qu'il tenait entre ses mains.
- Qu'est ce qu'il s'est passé, finit-il par demander.
Durant la journée, Lydia passa rendre visite à Stiles. Et elle aussi fut choquée de voir Stiles ainsi. Elle s'assit sur la chaise, de l'autre coté du lit.
- Comment ça va avec les autres, demandais-je.
- Je ne sais pas. On ne s'est pas revu depuis que Stiles est à l'hôpital.
- Et pourquoi ?
- Je ne sais pas trop. Je pense qu'on se sent tous coupable et que chacun tente d'oublier l'inoubliable en vacant à ses occupations. Il doit passer des examens aujourd'hui ?
- Une radio des poumons et une autre de sa jambe.
- Ok.
Une infirmière vint chercher Stiles pour l'emmener faire ses examens. Lydia en profita pour m'encourager à aller prendre un truc à manger à la cafète. Je pris donc un café et rejoignis la rousse sur un banc.
- Je n'aurai jamais imaginé que ça puisse arrivé, commença Lydia.
- De quoi tu parles ?
- De toute cette histoire. Le fait que Stiles soit à l'hôpital entre la vie et la mort, que la meute ne soit plus qu'un rêve.
- Ouais, moi non plus, je ne l'aurais jamais imaginé.
- Scott est passé ?
- Oui, ce matin.
- Et comment il va ?
- J'en sais rien. Mal j'imagine, disais-je avant de boire ma boisson chaude.
- Et toi Derek ?
- Comment je vais ? Je suis continuellement inquiet pour Stiles. Plus les jours passent et plus je me dis qu'il ne se réveillera probablement pas.
- Non, il va se réveiller. Il faut y croire. Il a besoin de toi. Je suis sûre que le fait d'entendre ta voix lui redonne envie de se battre.
Je restai sans rien dire. J'attendis que Lydia finisse son café avant de remonter dans la chambre de Stiles.
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Coucou les loulous !!! Nouveau chapitre disponible !
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