THE VOID(terminé)

Un lien spécial

Derek et moi étions dans la camaro, en direction de la clinique vétérinaire de Beacon Hills. Le loup prit les devants et ouvrit la porte de la clinique. 

- Derek et Stiles, que puis-je pour vous ?

Comme il n'y avait pas de clients à l'horizon, je montrai mes vrais yeux au vétérinaire. 

- Je vois, suivez-moi.

Nous entrâmes dans la petite salle, à l'arrière du comptoir. 

- Assis-toi Stiles, avait dit Deaton en fermant la porte.

Je m'exécutai et attendis.

- Vous savez pourquoi ils ont cette couleur, demanda Derek.

- Pour être honnête j'en ai pas la moindre idée. 

- Mais y a rien faire, je vais toujours rester comme ça ?

- J'en ai bien peur Stiles. Et comment tu as fait pour retrouver tes pouvoirs ?

- Euh...

Je me sentis devenir rouge écrevisse et Derek l'était également. 

- On...on s'est... comment dire, tenta Derek.

- Embrasser, finissais-je.

- Mes soupçons sont donc vrais.

- De quels soupçons vous parlez ?

- Il existe un lien ancestral qui peut unir deux loup-garous. C'est un lien très puissant qui peut être bénéfique mais qui peut aussi être néfaste pour ces deux personnes.. 

- Vous parlez du lien de compagnon, demanda Derek.

- C'est exacte Derek. 

- Waouh, stop. Vous êtes en train d'insinuer que Derek et moi on serai compagnon ? Non, c'est pas possible. 

- Mais vous le ressentez, c'est en vous. Vous êtes attirer l'un envers l'autre. Tu ne t'es jamais posez la question, Derek, pourquoi seulement toi avis la capacité de comprendre Stiles lorsqu'il était totalement transformé ?

- En parlant, de ça, pourquoi j'arrive pas à me transformer ? Tout ce que j'ai, ce sont mes yeux qui brillent, disais-je pour changer de sujet.

- Tu n'as probablement pas débloqué la totalité de tes pouvoirs. 

**

De retour au loft, je pris place sur le canapé. Moi et Derek, compagnon ? 

- Je crois qu'on devrait parler.

Je relevai la tête vers le loup qui s'assit en face de moi, sur la table basse. Je l'observai chercher ses mots.

- A propos d'hier, je voulais m'excuser. 

- De, demandais-je perdu.

- De t'avoir embrasser.

- T'as pas à t'excuser. C'est oublié t'inquiète, disais-je en me levant.