THE VOID(terminé)

Oncle psychopathe

Je regardai mon amie à travers l'écran de mon PC qui trônait sur la table basse.

- Tu en as parlé à Derek ?

- Non.

- Stiles !!! C'est le premier concerné ; il doit être au courant.

- J'arrive pas à lui dire.

- C'est ton compagnon. Il doit bien se douter que quelque chose ne va pas.

- Et toi ?

- Quoi, moi ?

- On parle de mes relations sexuelles, on peut parler de tes relations amoureuses, disais-je en riant.

- Oh tu sais, il y a pas grand-chose à dire.

- Même pas un mec qui t'intéresse ?

- Tu sais, depuis que Jackson à quitter Beacon Hills, je ne cherche pas de relations sérieuses.

- Tu es une fille géniale. Quelqu'un finira par s'en rendre compte.

- Derek a de la chance de t'avoir.

Je lui souris et m'allongeai sur la canapé.

- Demain, on va s'entrainer avec Scott. Tu voudras venir ?

- Oui, de toute façon on va partir tôt demain matin donc je serai là.

- Cool ! On sera à l'ancienne maison de Derek.

- C'est noté !

Je regardai Lydia à travers mon ordinateur. Elle était allongée sur un lit, la joue écrasée contre l'oreiller.

- Ta maman n'est pas là, demandais-je au bout d'un moment.

- Non, elle est partie se promener.

- Ok, disais-je sur un ton nostalgique.

Lydia remarqua ma tristesse. Elle se redressa et rapprocha son ordinateur d'elle.

- J'ai envie de te faire un câlin et de jamais te lâcher.

- Moi aussi, me confiais-je.

- Demain, tu en auras le droit Stilinski.

(PDV de Derek)

Stiles alla chercher son ordinateur avant de me rejoindre sur la canapé. Il lança un film avant de s'appuyer contre moi. De mon côté, mon attention était particulièrement attirée par mon portable. L'heure du rendez-vous approchait à grand pas. Une fois l'heure, je me levai ce qui imposa à Stiles de se redresser. Je mis ma veste en cuire tout en m'approchant de la porte d'entrée. Je pouvais sentir le regard de mon compagnon dans mon dos. Je me retournai et le vis, debout en train de m'observer.

- Désolé, disais-je en allant à sa rencontre pour l'embrasser.

Je finis par rejoindre la camaro. J'arrêtai le moteur  lorsque j'arrivai devant mon ancienne demeure, ma maison d'enfance. Je vis une silhouette à la porte d'entrer.

- Tu es en retard chère neveux.

- La ferme.