Hell's Angel

5 - Lola

Image : Fabrice (source Pinterest)

Quand j'arrive devant mon immeuble, je constate que les lumières de l'appartement sont allumées. Je sais donc que je vais passer un très mauvais moment. Mais en même temps j'ai nul part d'autre ou aller. Alors je prends mon courage à deux mains et je rentre mais en arrivant à l'appartement, je constate que mon père n'est pas seul. Non, il est accompagné de ses amis.

Mon père a 4 amis proches, le premier es Michael, il dirige un club de striptease à la sortie de la ville, puis il y a Connors et Connie, des jumeaux qui travaillent sur différent trafic pour un club de biker, les Devil's, et enfin il y a Fabrice mon patron. Et malheureusement, ils sont tous les 4 obsédés par moi.

Je fais quelque pas dans l'appartement, et me rends dans le salon. C'est là que je vois qu'ils jouent tous les 5 au poker, et qu'ils sont bourré, et que mon père est en train de perdre, donc en train de se débarrasser de l'argent dont on a besoin pour les factures de l'appartement, le loyer et la bouffe. C'est Fabrice qui me voit en premier.

« Fabrice : Tient, tient, tient, regarder qui vois là. Comment tu vas mon petit ange ? »

« Papa : Je viens d'avoir une idée ! Comme je n'ai plus d'argent, je mets ma fille en jeu. »

« Je te demande pardon ? »

« Connie : Ah oui ! donc si on gagne, ta fille nous appartient ? »

« Papa : Tout à fait »

« Je ne suis pas un objet que tu peux mettre en jeu papa ! »

« Papa : Bien sûr que si, tu es ma fille après tout. Tu peux bien faire ça pour moi ! »

Les jumeaux commencent à rigoler, pendant que Michael et Fabrice me regarde avec un sourire que je ne veux pas comprendre. Il commence une partie, et bien entendue mon père perd, mais en plus c'est Fabrice qui gagne. Et là je sais que je vais souffrir. Fabrice m'attrape alors par le bras et me tire en dehors de l'appartement pour se diriger vers chez lui. J'ai peur, très peur mais je sais que je ne peux pas réagir sinon la situation va s'aggraver.

Attention scène sensible détailler, si vous ne voulait pas la lire allez au chapitre suivant

Une fois chez lui, il m'emmène à sa chambre, je suis totalement soumise. Quand nous arrivons à sa chambre il me balance sur son lit et là je comprends. Il va me violer.

« Je t'en supplie fis pas ça »

« Fabrice : Ne pas le faire, alors que tu m'appartiens enfin. Toi qui m'as toujours repoussé, tu te trouves enfin dans mon lit »

« Non... »

Il s'approche de moi et je commence à me débattre. Il prend alors une corde qui se trouve à côté du lit et m'attache les mains et les pieds au lit. Il prend ensuite un morceau de ruban adhésif et me le pose sur la bouche. Je tente de cirer mes a par des bruits rien ne sort

« Fabrice : Chut ne t'en fait pas mon ange, tout va bien se passer, tu vas voir tu vas aimer, tout comme moi je vais aimer te prendre ta virginité »

Je pelure toutes les larmes de mon corps. Non pas ça, je me préserver pour l'homme que je voulais, pas pour lui. Il m'arrache alors mes vêtements et enlève les siens. La vision que j'ai actuellement me donne envie de vomir. Je ferme les yeux, je ne veux pas an voir plus, pitié aidez-moi.

Il monte sur le lit et me surplombe. Commence à embrasser mon visage mon coup et descend sur ma poitrine. Ça me dégoute. Tout en embrassant ma poitrine, je sens ses doigts parcourir mon corps, et rentré en moi. Je hurle de douleur, ça fait mal. Il ne perd pas de temps et commence à les bouger tout en mordillant mes seins. Tout d'un coup, il les retire et descend son visage entre mes cuisses. Je sens sa langue rentrée en moi et il joue avec mon clitoris. J'essaie de me dégager mais il resserre sa prise sur moi, je crie et me débat mais je n'arrive à rien.

« Fabrice : Chut, bébé ne te débat pas comme ça. Tu risques de te faire mal. »

Il remonte sur moi, et me pénètre avec violence. C'est tellement douloureux. Il commence à faire des vas et vient. Ça me brûle de l'intérieur, c'est la pire sensation que je n'ai jamais connue ; je préfère encore me faire cogner par mon père. Tout d'un coup il pousse un grondement sourd et je sens un liquide se déversé en moi. Il ne ce n'est pas protéger.

« Fabrice : Tu es tellement bonne bébé. J'ai hâte que l'on recommence. Je suis sûr que tu as aimé toi aussi et sue tu as hâte que l'on recommence »

Non, non, tout mais pas ça, je ne veux pas que ça recommence. Il part alors dans la pièce à côté, et j'entends de l'eau couler, je comprends alors que c'est sa salle de bain. Pitié sue quelqu'un vienne me sauver.