Je suis...

Retour à Poudlard

C'était le jour J. Aujourd'hui Drago retournait à Poudlard, le blond était stressé et apeuré à cause de Dumbledore. Il commençait aussi à ressentir l'élancement de son vélane pour trouver son âme sœur.

PDV de Drago

J'étais tellement stressée... Contre l'avis d'Alexander et de mes parents, j'avais décidé de retourner à Poudlard... Mais j'ai peur... comme les autres... Nous restâmes ensemble, Blaise, Pansy, Théo et moi, dans le train et avions fermé notre porte à clé. Lorsque nous sommes arrivés le groupe des enfants de mangemort nous attendait et nous nous rendimes à Poudlard ensemble.

Le repas se passa normalement jusqu'au dessert où le directeur prit la parole.

"Bonsoir à tous. Aujourd'hui une nouvelle année commence et comme vous l'avez sûrement remarqué Harry Potter n'est pas là. Il a disparu au cours de l'été et nous craignons que Voldemort ait frappé, déclama le vieux fou en faisant un sourire triste, Aussi si des enfants de mangemort veulent être protégés de leur 'famille', ils doivent nous dire tout ce qu'ils savent sur l'emplacement de Harry Potter. "

Le directeur lança un regard très appuyé sur la table de Serpentards alors que les enfants de famille 'lumineuse ' crachaient des insultes.

Ron Weasley se jeta sur moi et m'attrapa par le cou en me criant de parler. J'étais terrifié. J'entendais en arrière plan Dumbledore qui empêchait qui que ce soit d'agir- c'est juste un moyen de persuasion- et oncle Sev qui essayait de se jeter sur moi. Les autres serpentards étaient paralysés et je commençais à manquer d'air.

Ce fût un gryffondor de sixième année qui se jeta sur Ron - Colin Creevey. 

"T'es tarée Ron ! Tu vas le tuer !, il criait, C'est pas comme ça qu'on obtient des informations ! "

Alors qu'il frappait Weasley, la pression sur mon cou baissa et je pris de petites inspirations. À la table de Poufsouffle, une fille de cinquième année me fit signe qu'elle avait appelé mon père avec la bague qui nous avait été donnée.

Quelques instants plus tard, mon père et l'ensemble du conseil des gouverneurs explosèrent la porte.

Pdv de Lucius :

J'étais en pleine discussion avec le conseil des gouverneurs quand je reçu l'appel de détresse d'élèves. J'expliquais la situation aux autres- autant faire d'une pierre deux coups- et nous nous précipitames à Poudlard.

La porte de la grande salle était fermée, à notre surprise, et on lançait des sorts de plus en plus puissants jusqu'à ce qu'un leona bombardus maximus- la plus puissante forme de sort d'explosion- conjoint la  fasse exploser.

Lorsque je suis entré, je regardais la scène. Tout d'abord les sortilèges qui maintenaient à leurs tables les serpentards, les Poufsouffle et les Serdaigle. Le directeur souriant qui combattait Sev et les professeurs Flitwick et Chourave. Et enfin Ron Weasley étouffant Drago !!!

Je m'élançais vers eux et je vis un jeune homme blond qui essayais d'aider mon fils se jeter sur un sort que Dumbledore m'avait lancé. Je donnais un coup de poing dans la figure de la belette avant de le faire tomber avec ma canne et de le stupefixé. J'attrapais Drago et le pris dans mes bras, il respirait à peine et de grosses larmes coulaient sur ses joues.

"P-pp Papa !!!", il cria en me serrant fort.

Il fondit en larmes et je le pris dans mes bras en laissant quelques larmes couler.

"Mon dragon.... , dis- je avant de crier quand il s'évanouit, DRACONIUS Narcisse Malefoy ! Réveille- toi ! Je t'en prie, mon bébé..."

Je m'élançais avec lui dans les bras quand un des gouverneurs m'arréta et me demanda d'emmener aussi le garçon qui avait protégé Drago. Je le fis léviter et nous partîmes de l'école. Je transplanais à St-Mangouste, je me rendis dans la partie payante et confiais les deux garçons à une médicomage de confiance.

Je me rendis à la cheminette et appelais Narcissa et Tom  pour les prévenir. Elle traversa la cheminée et entra dans la pièce. Nous nous precipitames dans la salle d'attente près de la chambre de Drago.

Pdv externe :

Au même moment, au Manoir Malefoy, Tom se rendit dans la chambre de Alexander.

"Alexander ?, appela t-il.
- Oui Tom- parrain, répondit le blond en bégayant sur la fin- pas encore habitué au nom familier.
- Lucius nous a appelé avec ta mère. Weasley et Dumbledore ont attaqué Drago. "

Alexander blanchit et imagina des scénarios de plus en plus atroces où son frère se faisait tabasser. Des souvenirs resurgirent par la même occasion et le jeune garçon se mit à trembler. Il voyait son oncle après qu'il ait changé en bleu les cheveux de sa professeur.

Tom remarqua vite que le jeune garçon se recroquevillait, ses yeux se voilèrent et il plaça ses mains devant son visage pour se protéger d'une menace invisible. Tom mit sa main sur son épaule et alors le blond commença à se débattre et à crier.

"Je t'en prie, Oncle Vernon !!!! Je suis désolé !!! Je le ferai plus !! Je serai normal !!!"

Tom, choqué, recula et fût projeté au mur par la magie instinctive de son filleul. Il cria de douleur lorsque le choc lui cassa trois côtes.

Tout de suite, Fenrir sentit la souffrance de son amant et entra en courant dans la salle. Il remarqua vite que Alexander avait blessé son âme sœur mais les phéromones de détresse pures qu'il dégageait empêchèrent le loup de tenter de le blesser. Il s'approcha du jeune blond et libéra des phéromones de calme et de confiance pour le calmer.

Le jeune garçon commença à se calmer et finit par s'évanouir épuisé par la perte de contrôle de sa magie. Fenrir l'allongea sur le canapé et emmena Tom à l'infirmerie pour le soigner. Il lui donna une potion antidouleur, une pour réparer ses os et une autre pour l'endormir.

Après ça, il contacta Maëlan qui veilla son Alexander. Le loup-garou contacta les parents Malefoy par cheminette pour leur raconter ce qu'il savait de l'incident.

C'est à ce moment là qu'un Severus gravement blessé s'écroula en quittant la cheminée. Le loup-garou stoppa la conversation et entraina le maître des potion jusqu'à l'infirmerie. Il soigna toutes les blessures qu'il reconnut mais son manque de connaissance en matière de sort laissèrent Severus au porte du sommeil éternel.