Au Delà Des Limites 😔

chap 6 (une révolte.)

.....: Tu vas étudier mais une nouvelle science.

Salam
               Fatima
Omar m'enferme dans la SDB et s'en va . Je crie et tape de partout pour qu'il m'ouvre mais rien. Il a laissé le robinet de la baignoire ouverte.
Il revient après quelques minutes et au lieu de me faire sortir, je le vois renversé une tonne de glace dans la baignoire. Il me tient fermement le poignet.
Lui: que dirais tu d'explorer la nouvelle science que j'ai inventé ? "Le glaçage du corps"
Je prends peur . Il est un psychopathe.
Il me porte et me met dans cette foutue baignoire où il ya de l'eau glacée. Il me tient fermement là dedans. J'essaie de me libérer mais rien. A un moment, je ne pouvait plus me battre, je sentais déjà le froid. Je gelais totalement. Je n'arrive plus à parler.
Après quelques minutes, il me fait sortir de là et m'envoi dans ma chambre en me traînant. Je tremblais de froid. Il enlève sa ceinture et je me mets à pleurer pendant qu'il se défoule sur moi. Je sentais la douleur me pénétrer jusqu'aux os. Je n'arrivais plus à bouger. J'étais gelée et mon corps dur de fraîcheur rencontrait ce fouet auquel j'étais habitué. Ma peau gelée se déchirait au contact de mon ennemi juré devenue mon quotidien. Est-ce une vie ? Après qu'il ai fini, il prend mon inhalateur et  deverse le  contenu sur le sol .
Lui: quoi! Tu n'en veux pas ? Tu es désormais guérie ? C'est une très bonne nouvelle alors. Si c'est pas le cas, tu peux toujours venir lécher mes pieds.
😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭
il sort de la chambre après avoir allumé la clim et moi je reste là au sol. Je n'arrive plus à pleurer car je n'ai plus de larmes. Je n'en peux plus. Mon asthme cette fichue maladie me rend si faible, il est lui aussi de retour. Je sens des mains sur moi essayant de me relever . Ce n'était autre que le gardien. Mm lui a pitié de moi pendant que celui que je devrais appeler "jannati" est sur le point de me tuer. Celui pour qui je devrais mourir me torture. Si c'est sa le mariage, je veux plus jamais me retrouver dans ce monde pourri et sans pitié.
Le gardien me donne mon inhalateur avant de me porter et me mettre au lit. Après quelques minutes ou heures, c'est une infirmière que je vois devant moi. Je n'arrivais plus à parler. Tellement que la douleur était immense, je m'évanoui au contact de l'infirmière.

     Gardien.
Je suis entrain de travailler pour un monstre. J'ignorais pourquoi il a voulu que je garde sa maison. C'est sa l'homme d'affaires sur les réseaux sociaux ? Lorsque j'ai vus sa femme dans cet état, sa m'a rappelé ma défunte sœur pour qui je n'ai rien peu faire. Là ce gros porc est entrain de dormir alors j'ai fait entré une infirmière qui est une amie en douce. Elle s'occupe d'elle avant de m'appeler. Je viens et porte la femme pour que l'infirmière change les draps. Elle avait déjà habillée la patronne. Nous la laissons se reposer et je remercie mon amie.
Elle : c'est une ignoble torture. Elle était gelée.
Moi: oui,je sais.
Elle : elle devrait porter plainte. Elle a des blessures dans le dos mais je lui ai appliqué cela. Si elle se réveille, donne la lui okay.
Moi: merci Gniane.
Elle : je t'en pri.

Fatima.
Je me réveille avec une douleur atroce. Il y'avait un plateau devant moi. De la nourriture et des médicaments. Je prend une gorgée de cette tasse de café avant de me forcer a regarder mon dos. Je me lève pour aller aux toilettes quand la porte s'ouvre brutalement.
Il était là, juste devant moi. Je voulais courir mais avec mes blessures c'était impossible.
Lui: ah te voilà toi. Tu es entrain de faire le noce dans ta chambre pendant que moi je suis là à mourir de faim hein,c'est sa hein?
Moi: écoute Omar, je n'en peut plus, tu me fait chier merde. Tu veux battre quelqu'un ? Il ya des salles de sport va te défouler laba.
Énervé, il casse tt dans cette chambre.
Il me pousse et je tombe sur les bouts de verre. Il maintien fermement mes mains pour faire pénétrer du verre. Il regarde mes mains et appui pour que les morceaux de verre rencontrent mes os.
Moi: ah!
Il me tient par le coup et me jette au mur. Cette fois, c'est mon front qui est blessé.  Comme si sa ne suffisais pas,il  me fait coucher du ventre . A ce moment,je croyais qu'il voulait me frapper, ce n'est que quand le liquide chaud a rencontré mes plaies ressentes, que j'ai seu ce qu'il ce passait. Il me brûlait avec le café. Là, je n'en peut plus. Soit je fais quelques choses, soit il me tu. Je hurle de douleur. Je prends les morceaux de verre sur le sol et enfonce sur sa jambe. Il cri de douleur. Quelques secondes après, il tombe sur moi. Le gardien venait de l'assommer. Il me donne mon inhalateur et fait un petit sac pour moi.
Lui: tenez, ne restez pas là.
Il me tend mon petit sac où il y'avait quelques affaires et mes papiers ainsi que deux sachets contenant de la nourriture.
Lui: il ya de l'argent dans ce sac, alors maintenant parter.
Je le regarde un instant pour lui montrer que je ne peux pas bouger. Il me soulève et m'amène jusqu'à la porte.
Moi: pour...pourquoi vous...
Lui: je vous aide ? Seul un monstre ne le ferait pas. Je ne peux pas le laisser vous tuez en tant que musulman. Ma soeurette est passée par-là mais je n'ai rien peu faire pour elle.
Moi: el...elle...tousse... elle aurait été fière de vous.
Lui: merci. Maintenant partez, je m'occupe de lui. Ah,n'oubliez pas cela. Mon inhalateur.
Moi: Dieu vous récompensera.
Lui: Amine.

Je m'en vais en boitant et en hurlant de douleur. J'arrête un taxi et le demande de rouler jusqu'à l'hôpital. Arrivé, je paye et avance pour entrer quand je vois une femme pleurer. Je m'approche difficilement d'elle. Elle était enceinte et avait un enfant.
Moi: est-ce que...est-ce que Sava ?
Elle me raconte que sa fille est gravement malade et qu'elle n'a pas d'argent pour la soigner car elle a tt dépensé avec les traitements et tt. Son mari a décidé de l'abandonner alors qu'elle est à six mois de grossesse. Je regarde sa fille entrain d'agoniser. Elle avait des difficultés de respirer. Avec mon inhalateur, je l'aide à trouver de l'air. La femme s'assoit et me regarde avec ebahissement.
Je prends un sachet de nourriture et la donne et mon argent. Elle en a plus besoin que moi. Elle n'en revenait pas.
Moi: je ne pourrais vivre en paix s'il lui arrivait quelque chose sans que je ne l'aide.
Elle : merci, merci infiniment. Que Dieu vous récompense.
Moi: a...Amine.

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