chapitre 24(la patronne).

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Salam Alleykoum

Après mon moment émouvant avec mes amis, je rentre à l'appart. Awa est avec ses parents pour régler leur conflit avec sa tante avant de rentrer. Je retrouve mon frère qui m'attendait.
Lui: sava?
Moi: Alhamdoulillah.
Je lui raconte ce qu'il s'est passé.
Lui: t'inquiète ma belle. Je suis sûr que vous vous reverrez bientôt Inchaallah.
Moi: Inchaallah
Il me demande pour Alias et je lui explique comment ont c'était connu.
Je reçois un message d Aïda qui me demande de la rejoindre chez elle.
Je demande à mon frère de m'accompagner mais, il trouve une excuse pour me laisser seule.
Lui: promis, je serais ici à ton retour.
Moi: tu as intérêt.

C'est Abdel qui me dépose. J'ouvre la porte de la maison et vois que sombre.
Moi: il ya quelqu'un ?
...
Moi: Aïda ? Alias ? Mohamed ! Mais où êtes-vous à la fin ?
Je reste un peu avant de décider de retourner.
Alias : nous t'avons fait perdre patience ?
Je me retourne et là, mes lumières se rallument et ...
Eux : CONGRATULATION !.
MOI: 😭.
Il y'avait plein d'enfant et la maison était décorée en rose. C'était juste magnifique. Il y'avait toute la famille ,mes amis et mm Alimou. Comment est-ce possible ?
Aïda : félicitations ma chérie. Maintenant, tu es diplômée.
Moi: merci, vraiment je suis comblée.
Awa: nous aussi nous le sommes.
Moi: une minute, Alimou...
Lui: n'oublie pas que je suis ton aîné ma grande. Tu pense que le détour de ton chauffeur est dû au hasard ?
Moi: mdr.
je reçois plein de cadeau avec les deux autres. Awa ,George et Yousri. Ils étaient tous là.
George : je savais que tu n'étais pas une simple étudiante, mais là.
Moi: 😂. C'est une longue histoire Geogi d'amour.

Alias me fait signe de le rejoindre.

Lui: toute mes félicitations.
Moi: merci beaucoup Alias. C'est grâce à Dieu qui t'as mis sur mon chemin . Je te dois ce que je suis devenue aujourd'hui.
Lui: nn ma belle. Tu le dois à toi-même.
Moi:🙂.
Il me tend une enveloppe.
Moi: c'est quoi?
Lui: ton divorce.
Moi: mdr. Tu sais au moins que nous ne sommes pas mariés à la mairie.
Lui: je sais. Ouvre et tu verras.
J'ouvre l'enveloppe et découvre plusieurs papiers. Je commence à lire.
Moi: A...Alias ?
Lui: avec sa,tu es sûre de te séparer de lui.
Je n'avais plus de mots. Il a racheté 50 pourcents des actions de l'entreprise de Omar en mon nom. J'avais entendu dire qu'il était presque en faillite mais de là à vendre ? Je ne l'aurais jamais imaginé. Après quelques minutes de lecture, je me rend compte que la moitié de l'entreprise était en faite à son frère. Il ne lui reste plus que vingt pourcents et Mounir qui a décidé de l'aidé trente.
Moi: pourquoi Alias ? Pourquoi tiens tu tant à m'aider ?
Lui: tu le saura bientôt je te le promets. Pour l'instant, signe ses documents et va lui régler son compte.
Je souris et le remercie.

Après trois jours, je décide enfin d'en finir avec Omar. Je prends mon courage à deux mains et vais le voir à l'entreprise. Je croise son père à la réception.
Lui: mais qui voilà dit donc.
Moi: bonjour à vous aussi.
Lui: que nous vaut l'honneur de votre visite 😂. Ne me dit pas que tu es venu supplié mon fils de te reprendre après qu'il t'ai jeté vu que tu n'es mm pas vierge.

Quoi? Alors là, c'est à mon tour de rigoler.
Lui: 🙄.
Moi: je vois que vous ne changerez jamais beau père ou plutôt ex beau-père . Ne vous enfaîte pas, votre humour m'a toujours pleu.
Je vois Omar entrer dans le bâtiment. Dès qu'il me voit, il se stoppe net.
Lui: Fa..Fatima ?
Moi: comment vas tu Omar.
Lui: Alhamdoulillah et toi?
Moi: Alhamdoulillah aussi.
Lui: sa fait des lustres que je te cherche. Où était tu?
Moi: ah oui? Alors tu n'as pas bien cherché. J'étais ici au Sénégal.
Lui: de..de.... que deviens-tu Fatima. Comment as-tu réussi à..
Moi: a quoi? A survivre ? N'as-tu jamais entendu parler des miracles d'Allah ? Tu crois que toutes les personnes sont comme toi? Non Omar. Il existe encore des bonnes personnes et nn des monstres.
Lui:😔. Si tu savais comme je regrette.
Moi: tu ne crois pas que c'est un peu tard pour les regrets ?
Lui: je sais, mais stp Fatima crois moi. Je n'étais pas moi-même.
Moi: 🤣. Ah les hommes. Et tu étais qui alors ?
BP:  bon, pouvons nous continuer cette discussion plus tard ? Là il est temps. Mon fils a une réunion très importante. Si tu veux, attends le dans son bureau.
Moi: pourquoi pas dans la salle de réunion ?
Omar : stp Fatima. Attends moi . Je veux vraiment te parler.
Moi: à condition que je reste avec toi pendant ta réunion.
BP: Non...
Lui: très bien. Viens avec moi.

Que la fête commence.

Nous étions tous installés. Il y'avait les employés et tt. Ils manquaient qu'une seule personne.
Omar: Mounir ! Entre.
BP: Qu'est-ce que tu fais ici toi?
Omar : papa ,c'est pas le moment.
Mounir : Fatima ? Quelle surprise.
Moi: bonjour Mounir. Sava?
Lui: bien et toi?
Moi: Alhamdoulillah.
Omar : pourquoi cette personne tarde tant à arriver.
Moi: tu vends ton entreprise à n'importe qui ?
Lui: comment tu sais ça ?
BP: pourquoi tant de mystère ? Que la personne se montre enfin.
Moi: et si elle était juste devant vous ?
Eux : 🙄.
Moi: et oui,surprise Omar. Tu pensais quand même pas que j'étais là juste pour causer.
Lui: quoi? Nn,c'est une blague.
Je donne les documents à Mounir.

Omar :🤔.
Mounir : bienvenue Madame la présidente.
BP ET OMAR : Quoi?
Mon beau-père récupère les documents et regarde. Il les jette sur la table et s'assoit brusquement. Mounir vient me féliciter en me tendant sa main que je serre. Après tt c'est mon beau-frère. Les employés applaudissent.
Moi: et vous ? Vous ne me féliciter pas BP?
Omar demande aux employés de sortir. Ils me regardent comme pour me demander la permission.
Moi: c'est bon. Laissez nous.
Ils sortent en me souhaitant la bienvenue.
Omar : comment est-ce possible Fatima ?
Moi: quoi! Sa te surprend tant que ça ? La salle orpheline de rien du tout d'hier aujourd'hui patronne de ton entreprise. Quel roulement de tambour. C'est ce qu'on appelle les couleurs du destin Omar. Habitu toi.
BP: tu n'as acheté que cinquante pourcents ce qui signifie, que vous êtes à égalité. Donc tu n'es présidente de rien du tout.
Moi: ouloulou. Je vois que vous n'êtes pas au courant.
Les deux frères se regardent et l'aîné baisse la tête, tandis que l'autre regarde son père.
BP: attendez, qu'est-ce que sa signifie ?
Mounir : quoi! Tu ne sais pas ? Toi qui,à longueur de journée ventre les mérites de ton fils, tu ne sais mm pas que dans cette entreprise j'ai aussi mes parts.
Et oui papa. J'avais quarante pourcents et Omar 60. J'ai toujours gardé le secret mm quand tu me traitais de moins que rien parceque je n'ai pas ma propre entreprise. Aujourd'hui, j'ai offert 10 pourcents à mon frère pour pas qu'il soit complètement fichu.
BP: non! Nooooooon! Espèce de moins que rien.
Moi: bon c'est pas tt ,mais je préfère que l'on règle le professionnel d'abord.
BP:TOI,TU la ferme.
Moi: 😂. Écoutez moi bien. J'ai peut-être laissé passer beaucoup de chose mais, je vous interdit de m'insulter. Que sa soit votre première et dernière fois de hausser le ton avec moi. Ce que votre fils m'a fait subir me suffit.
Lui:🙄.
Moi: écoute moi bien Omar, pense ce que tu veux, je m'en fiche. Tt ce que je veux c'est ma liberté. Je veux que tu me répudie. Dans le cas contraire, je saisirai tout tes biens. Je m'en fiche de cette entreprise. Tu peux la gérer. Aujourd'hui, je suis une diplômée. Je vais faire le métier qui me plaît et c'est pas  celui-là . La publicité c'est pas mon domaine. Je t'offre juste 72 heures. Sinon, tu entendras de mes nouvelles. Et n'oublie pas,trois mois n'est pas égale à trois jours.
Lui: tu veux le divorce c'est ça ? Et bien tu vas l'obtenir. Après le sal coup que tu m'as joué, je ne compte pas rester avec toi une minute de plus.
Moi: Alhamdoulillah. Et nn,je ne t'ai rien fait. C'est toi qui a commencé. Je ne fais que terminer le petit jeu que tu as commencé. A l'avenir, tâche de bien te comporter avec les femmes. Comme tu le vois, nous pouvons être le diable en personne. Sur ceux, bonne fin de journée.

Je décide de fêter ma victoire. J'étais dans un restaurant au centre ville lorsque je vois. Merde.

Devinez la suite.

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