Chapitre 11: Le grand saut

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Le vent dans les cheveux. Le corps en chute libre. Le cœur apaisé. Les yeux clos. Les vêtement bougeant au grès du vent. La fin était proche, mais mon étrange calme me rassurait. Es que mon côté vampire savait ce qui allait ce passé.

De toute manière je n'avais pas d'autre choix que de laisser faire. Épuisé a force du lutté contre lui même mon corps souffrait, hurlait de douleur. Les larmes qui couvrait mes joues de leur goût salé ne coulait pas de tristesse ou de douleur. Un simple mécanisme de défense. Les yeux fermé je ne pensait plus a rien. Je n'avais plus peur. J'étais libéré. Le corps et le cœur en miette, mais libéré. Libéré de cette inquiétude quotidienne qui me rongeait. Tous perdre du jour au lendemain. Alors pour ne plus rien perdre je ne m'attachais plus a rien, portant ce masque de normalité. Mes démons me criants que a tout moment je pouvais tous les tués, d'un claquement de doigt. D'un haussement de sourcil. Je perdrais de nouveau tout, le tout du rien que je m'était construit a partir de lambeau de souvenir. Si on peut appelé sa des souvenir . Si on peut dire que cette douleur me sert de souvenir, elle ressemble pourtant plus a un avertissement. Avertissement sur mes capacité destructrice. Ce pouvoir de tout éliminé, tout mettre sous son contrôle a n'importe quelle moment.

Ma chute touchais a sa fin car je sentais une pression sur mon corps endolorie. Mes canines était toujours de sortie. Mais une odeur reconnaissable entre mille m'aida a m'endormir. J'avais maintenant non seulement les yeux clos mais aussi le corps endormis. Me restant plus que mes pensée, et le noire. La sombre pièce qui avait remplacer depuis bien longtemps les rêves joyeux des enfants normaux. Alors comme a mon habitude, dans un coin de ma tête je m'assied et attend mon châtiment. Que va t-il m'arriver cette fois ci ?

Habituellement, un miroir s'approche se place face a moi. Et il me laisse là, à contemplé la laideur de ma forme vampirique. Les canines dégoulinante de sang et chaque fois que je refuse de regarder ce reflet, que je tourne la tête ou ferme les yeux, toutes ces personnes meurent devant moi. A cause de moi. La pièce noir a l'origine se transforme peut a peu en bain de sang et s'enrichit de cadavre. Mais pourquoi sa me fait autant de mal, alors que je suis incapable de reconnaître toutes ces personnes. Pourquoi mon cœur me hurle dans la poitrine qu'il me manque. Mais alors pourquoi je ne me souviens pas d'eux. Mais leur absence me fait si mal.

Des sueurs froides traversent tout mon corps, j'appréhende.

Mais rien. Rien du tout.

Une simple odeur traverse cette pièce comme un serpentin et me calme. Cette odeur d'orange fumé a la poudre a canon, cette odeur que j'aime tant. Ce parfum fruité me rappelant a la fois les hiver au coin du feu et les bar sous un soleil d'été. Ce parfum que seul moi peut sentir, peut aimer a ce point.

Mais c'est en sueur et apeuré que je me réveille de ce rêve au moment ou ce parfum disparaît de mes songes. Je me retrouve de nouveau ici, a côté de lui. A mon plus grand étonnement, je l'ai vue partir pourtant. Mon hérisson à l'orange explosive.

Sur mon front repose un gant de toilette. Et sur ma jambe un poids m'empêche de bouger. Je peux voir la tête de ma mère posé sur celle ci. Pour lui faire signe je paresse ces cheveux délicatement, me ravivant ainsi des souvenirs.

Midnight :Hey ma chérie comment tu te sens, ta refais une crise ? Qu'es qui t'arrive en ce moment. Regarde toi, même tes canines ne rentrent plus ! * inquiète, parle doucement*

[TP] : Je crois que je suis lié... Je voulais pas mais...maman j'ai peur, quand je suis avec lui... je contrôle plus mon instinct... je veux juste le faire miens...je suis perdu, je sais pas quoi faire

Elle me sauta au cou et me susurra a l'oreille, tandis que je tournais la tête pour observé l'ombre derrière le rideau qui me séparait de lui.

[BAKU X READER] Je suis pas un monstre, pas comme lui...pas comme euxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant