Chapitre 15: c'est officiel on est lié et sa fait chier

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Mes mains glissais dans ces cheveux tandis que lui ce blottissait de plus en plus sur moi. Je le voyais qui s'assoupissait, je pris le réveilla délicatement en posant ma main sur sa joue pour jouer avec celle-ci.

[TP] : Hé faut pas dormir mon hérisson, aller debout !

Bakugo : Tch ! J'étais bien là !

Je le souleva un peu de mon corps pour m' enlevé de derrière lui. Je m'assied a côté de lui et il se redressait sur le mur . Ma position ne semblait pas lui convenir puisque il m'attrapa pour me mettre a cheval sur lui. Aucun de nous deux n'étaient gêné, c'était même le contraire, c'était comme habituelle, naturel.

C'est donc comme a mon habitude que je glissa ma tête sur son épaule. J'aspirais l'odeur sucré et fumé de sa clavicule. Il avait glisser ces mains dans mon dos, sous mon t-shirt. Il les remonta de nouveau jusqu'à frôlé l'agrafe de mon sous-vêtement. Mais cette fois si il ne s'y arrêta pas et monta encore un peu sa main. Ce geste soudain et inattendu me fît frissonné. J'enfonçai mon visage rougis dans son cou d'autant plus. Ce qui le fît sourire. Il n'hésita pas a décalé sa second main pour la faire m' éffleuré le ventre, si ce n'est le bas-ventre.

Bakugo : C'est bizarre pourquoi ton visage ce confond si bien avec tes cheveux la rouge ?!

[TP] : Idiot !

Je pris d'assaut son cou. J'y glissa quelque coup de langue avant d'y déposé mes lèvre et de suçoté sa peau. Un beau suçon violacé ornait sa peau.

Je senti un frisson parcourir son corps. Satisfaite je me releva, admirant mon chef d'œuvre. Un sourire narquois au visage, je quitta ces jambes pour me rendre a mon tas d' habille et prendre mon short. Je me changea, sous le regard rougis du blond (alors que j'avais relevé son t-shirt seulement le temps de mettre le short, mais bon...). Je lui balança un haut en pleine tête, il me cria dessus mais le mis tous de même.

[TP] : On y vas, j'ai envie d'aller m'entraîner un peu !

Bakugo : Je vais te mettre une raclé !

[TP] : T'es loin de mon niveau mon pti gars !

Bakugo : C'est ce qu'on verra !

On prit donc tous les deux le chemin pour sortir de la maison. Mais un problème surgis quand je quitta la maison. Une violente migraine pris possession de mon crâne. Les vertiges était trop violent, je tremblais comme une feuille et pâlissais a vue d'œil. Il me pris par le bras pour me tirer a l'intérieur.

[TP] : Je... Je supporte plus les autre odeur !... ?

Bakugo : Mais putain c'est quoi ça encore !

J'ai pas assez bu et je résiste a la tentation depuis hier seulement grâce a son odeur, mais si je reste encore plus longtemps dans cette position. Je pense qu'il est en danger. Mon problème : je peux pas sortir a cause de l'odeur des autres humain dehors, je ne peux plus sentir ça...

[TP] : LÂCHE MOI !

Bakugo : Pas tant que tu m'aura pas expliqué ce qui t'arrive bordel !!!

Sans faire attention a ce qu'il me disait je me défit de son emprise et couru a toute vitesse me réfugié dans la seul pièce que je connaissais. Sa chambre !

Je sais c'est pas très malin, là dedans y a son odeur de partout ! Je vais perdre la tête, si j'ai pas une dose de sang tout de suite !

Bakugo : LA ROUGE REVIENS ICI TOUS DE SUITE !!!

J'entendis l'autre enragé hurlé dans la cage d'escalier. Je perdais le contrôle et il se rapprochait. Mes canines me faisaient mal. Je voulais les retenir mais je n'en avais pas la force. Mon instinct pris le dessus et mes canines poussèrent rapidement. Je sentais son odeur se rapprocher. Dans un dernier geste désespéré je claqua violemment la porte et la ferma a clé. Je n'ai qu'une solution avant qu'il explose la porte. Il me faut du sang. Il faut que je me morde. Je pris mon poignet tremblant et planta mes crocs dans ma chaire. Je buvais mon sang, mais rien n'avait déjà eu un goût aussi infect. Mon corps ne le supporta pas et je couru jusqu'au toilette de la salle de bain. Là bas je me vida de tous ce liquide abjecte. Épuisé et affamé il fallait que ce soit a ce moment que le blond stupide et râleur décide d'explosé la porte sous les crie de colère de sa mère.

[BAKU X READER] Je suis pas un monstre, pas comme lui...pas comme euxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant