[BAKU X READER] Je suis pas un monstre, pas comme lui...pas comme eux

Chapitre 12: Intrusion, aspirine et vendeur de pneu

Je rentra au lycée, accompagné de monsieur le râleur qui était encore un peu malade. Il était a mes côtés pour une raison simple, son égo. Il ne voulait pas être derrière moi, monsieur ne voulait pas marché en retrait juste parce qu'il pense que avancer derrière pourrais le faire passer pour inférieur à moi. Ce qui, a mon avis, est totalement faux (même si je suis beaucoup plus fort que lui, mais ça c'est une évidence).

En bref on se dirigeais tous les deux vers l'entrer du lycée, moi des écouteurs au oreille et lui a grogner sans cesse. Ce qui, avec mon ouïe de vampire et réellement insupportable, a ce moment précis j'avais envie de le noyer dans sa sueur pour qu'il s' explose lui même le crâne avec son propre alter. Je suis effectivement un peu agressive aujourd'hui. Rebonjour moi-même tu m'avais manqué.

La salle de classe était vide, ce qui n'était pas pour me déplaire sachant que je ne voulais surtout pas faire semblant d'être sympa ou sociable aujourd'hui. Je vois les débiles de ma classes arrivé les un après les autres et en profite pour écouter a travers mes écouteur que j'avais gardé, les potins qui ce racontait. C'est là que a ma plus grande surprise j'entendis parler d'un sang froid incroyable dont aurait fais preuve Ida, c'est donc pour cette raison que Izuku tremblant comme une feuille comme a son habitude mais avec un sourire faux engluée au visage, il donna ce destitua de son rôle de délégué pour le faire de Ida notre nouveau délégué. Il obtient par la même occasion le surnom de « sortie de secourt »

Une larve dans un sac de couchage jaune fît son apparition et nous ordonna de nous mettre a nos places et de l'écouté attentivement.

Aizawa : Nous serons finalement 3 a assuré le cours du super héro 101. All Might un autre professeur et moi.

Il nous expliqua aussi que le cours porterais sur le sauvetage en cas de catastrophe naturel... Il nous expliqua que nous étions libre de porter nos costumes ou non car certain ne serons peut-être pas adapté a l'environnement. Et sachant que le terrain serais éloigné du lycée il faudrait s'y rendre en bus. Il nous laissa sur ces mots et nous indiqua de partir nous préparé.

Après avoir mis mon costume, qui ne changeais pas trop de d'habitude seulement était muni de katana afin de pouvoir me défendre sans utilisé mon alter et limité les risque de déclencher une folie meurtrière et une envie de bouffer tous le monde au alentours.

Arrivé devant le bus je me mit a l'écart et entendit l'autre moteur sur patte nous parler, a ce que je vois il prend son rôle très au sérieux.

Tenya : Vous prendrez les même places que dans la salle de classe en rand de deux...

[TP] : Hé ho calme tes pot d'échappement le super moteur et écoute moi bien, il est OR DE QUESTION que je me retrouve a côté de l'enragé pour une durée indéterminé !

Bakugo :TU DEVAIS ARRÊTER DE M'APPELER L'ENRAGÉ LA ROUGE!!!$

[TP] : Les 24h son passé mon hérisson !

Bakugo : Tch !...

Mina : Attend je rêve ou elle la mouché...

Bakugo : TOI TA GUEULE L 'ALIEN

[TP] : Laisse tomber mon kangourou c'est son égo !

Sur ces mots nous rentrâmes tous dans le bus qui a la surprise et au dégoût de notre chère délégué avait de siège face a face se qui ruina tous ces plans.Il insista malgré tous pour nous mettre dans l'ordre de la salle de classe. Je me retrouva donc a côté de Katsuki, il avait crié a en épuisé ces poumons pour ce mettre du côté fenêtre et n'aillant pas la foi de supporter cette enfant râler durant tout le trajet j'acceptai et me retrouva côté allé, chose que je détestais plus que tout. Pour palier a ces problème toujours munis de mes fidèle écouteur, je ramena mes jambes a mon buste et serra celle ci avec mes bras avant de posé la tête sur mes genoux. Quelque minutes plus tard je sombrais dans un profond sommeil. Une chaleur enveloppais mon corps et toujours cette odeur délicieuse qui flottait dans l'air. Je recala légèrement ma tête avant de réalisé que cette chaleur et cette odeur réuni était une situation qui ne m'était pas inconnu. Intriguée, j'entrouvris mes yeux et découvris le torse musclé de mon hérisson. Ces bras avait de nouveau glissé sous mon t-shirt et il me serrais fort contre lui, endormis. Il semblais apaisé, je le laissa donc faire. Et pour dire vrai ma position n'était pas mal non plus. J'avais la tête posé contre son torse et avais basculé entre ces jambe pour être a moitié appuyer contre l'un de ces bras. Mon corps d'ordinaire si froid était réchauffé par sa présence et mes sommeil d'ordinaire effroyable était lorsque j'étais a côté de lui un condensé de rêverie absurde mais incroyablement douce, cela sûrement dût a son parfum envoûtant.