Chapitre 30: Il était une fois, le conte de barbe bleu

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Vous connaissez sûrement le conte de barbe bleu. Cette hommes laids qui enchaînais pourtant les conquêtes en attirant les femmes par son or. Mais elles finissaient toute égorgé vive et rejoignais ces ancienne conquête les unes après les autres. Dans une sous sol, une cave sombre ou leur corps était accroché au mur comme des trophées de chasse, ou de meurtre. Le sang vieillie caillait au sol en une couche épaisse d'un rouge si profond qu'il semblait noir.

Cette scène, je la voyais pour de vrai, sous mes yeux. En enlevant le côté censure que l'auteur du conte avait pris soin d'ajouter a son récit. Car je vous assure que la censure était de mise face a ce que je voyais. La mare de sang était si grande que le sang vieillit en dessous formais comme une première couche. Comme si on pouvait se couper une part de ce sang putride telle un gâteau d'anniversaire empoisonné.

J'étais maintenant certaine qu'elles étaient toue des femmes. Leur corps étaient completement nue. Et ouvert de tous côté. Un découpe a la limite du chirurgical. Si bien exécuter que sur une table d'autopsie elle passerait inaperçu. Seul le lieux ne correspondais pas a l'ambiance médical.

Le lieux et les femmes pourtant nombreuse mais dont je n'entendais que le cœur d'une d'entre elles.

Cœur qui ne cessa de battre quelque minute après la fin de mon analyse de la scène.

Elles étaient alignées comme du gibier. En rang accroché au mur par les poignets. Leur corps sans vie qui pourtant bougeaient au rythme des battement de cœur affolé qui résonnais dans ma tête, et dans ma poitrine. Cette quantité de sang me donnais le tournis. Je ne pouvait plus rien faire, je tremblais comme une feuille et mon cœur frappait si fort dans ma cage thoracique que même un humain pourrait l'entendre.

Une main ferme se posa sur mon épaule, elle tenta de me retourné vers elle mais mon corps ne pouvait bouger.

Il ne pouvait pas bouger, mais il tremblait et s'affaiblissait a vue d'œil.

Je ne pouvais pas bouger mais je le devait. L'odeur de sang humain me donner mal la tête, ce n'était pas l'odeur que j'aimais tant, celle de l'être au quel je suis malheureusement lié. L'odeur putride de la décomposition pouvait a elle seul affaiblir n'importe quelle vampire lié. Et j'en faisais partie. Mon cœur me faisait mal et mon visage étais livide. Mes canines étendue sous le morceau de tissu sans effet qui couvrait mon nez. Elles étaient au aguets, et tous mes sens vampirique aussi. Et d'autant plus quand le bruit sourd d'un cœur autre que le miens et celui de l'homme a la main fit son entrer dans la pièce de l'horreur.

Il était là, le visage fière. Je retenais ma respiration a partir du moment ou je vit ces canines fièrement dressé ce planter dans la chaire du cadavre de la jeune femme déjà vidé de tous son sang.

Les yeux du vampire fou était d'un rouge sombre. Un rouge sang.

Mon instinct pris le dessus. Je pouvais bouger mon corps mais pas par volonté, par instinct de survie. L'instinct d'un vampire, était le pire, violent et carnassier. Il ne veut qu'une chose, survivre. Et il emploiera tous les moyens possible, le meurtre et chose courante et habituelle dans ces moments de crise. Moment que j'avais sue éviter jusqu'à cette première année en école en compagnie d'autre personnes. J'aurais peut-être mieux fais de rester chez moi.

Jusqu'ici la plus grande menace c'était nos adversaires. Maintenant : C'est moi.

Dans un élan de lucidité je lança un regard entendu a Hawks. Il se tenait derrière moi, toujours sa main collé a mon épaule. Mes yeux virèrent au noir de geais. Plus sombre et infernal que la nuit elle-même. On se perdrait sans aucun doute dans ce regard sombre. Ma pupille et tous le blanc de mon œil était maintenant enfouis sous cette couleur noir corbeau.

[BAKU X READER] Je suis pas un monstre, pas comme lui...pas comme euxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant