Amour réciproque [RÉECRITURE]

Chapitre 19 : tuer Zelda?

Zelda écouta toute l'histoire de Myro. Elle s'approcha de lui et lui dit :

PDV Zelda :
- Myro, je ne te veux aucun mal. Mais si tu essais de me tuer je..
- c'est moi qui te tuerai. me coupa une voix.
C'était celle de link, il avait dans le regard, une lueur de diable. Ses yeux autrefois pur ne l'étaient pas, ils etaient rempli de haine et de rage, de foli presque. C'était comme si une envie de meurtre irrépressible le submergée.
Mais... Attend... Link peut voir Myro ?!
- l..link... Tu peux le voir ?
Link hocha la tête.
- mais seule la famille royale d'Hyrule peut le voir !!
Link n'était pas de ma famille... Non ! Il ne devait pas être de ma famille !!
- link tu es..
- ce n'est pas le moment Zelda, me coupa-t-il, cette creature ne peut pas te faire du mal. Mais je te protègerai.
- Myro. Quand tu es rentré, que faisait les gardes à l'entrée ?
Il sourit et rigola.
- elles dormaient ! Si profondément, même si je vous avez fais huler princesse, elles n'auraient rien entendu.
Zelda resta muette. On prenait drôlement bien soin d'elle ici...
- je pense que je vais repartir... dit la créature.
- il vaut mieux... dit link menaçant.
L'homme passa par la porte, aussi simplement que si il avait été chez lui. Les gardes dormaient effectivement.

Un peu plus tard

Link et Zelda c'était recouchés après avoir attendu cinq bonnes minutes. Zelda se tourna enfin vers Link pour lui poser la question qui lui trotait dans la tête depuis un moment.
- link... Pourquoi tu pouvais voir Myro ?
- saches, Zelda, que quand je suis devenu ton chevalier servant, ton père m'a mis au courant. Il m'a expliqué. Et comme le malefice peut être briser sur une personne si elle découvre la vérité...
Zelda sursauta, c'était aussi simple ?
- e..et c'est tout ?
- oui.

Cette histoire inquiétait la princesse, une creature difforme venue pour la tuer... Ça ne présentait rien de bon. Elle devait en apprendre plus, mais pas pour le moment. Le sommeil la gagnait petit à petit. La princesse sentit ses paupières devenir lourdes et elle ne tarda pas à s'endormir dans la douce étreinte de morphée.