𝓓𝓾 𝓼𝓮𝔁𝓮 𝓪̀ 𝓛'𝓪𝓶𝓸𝓾𝓻

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... : Pourquoi ne demande tu pas sa à moi même.

A l'entente de sa voix j'étais devenu comme une statue. J'arrivais plus à bouger, tellement je stressais.

Ruby : Aleksandr,vas-y rentre-

Aleksandr : toi tu as des comptes à me rendre.dit il en s'approchant vers nous.

Et ensuite il prend place juste à côté de moi.

Ruby : tu veux boire quelque chose. Si c'est du vin que tu veux,sa serait super je viens tout juste de recevoir une livraison fiable de Pologne.

Aleksandr : c'est gentil mais je ne suis pas venu pour sa .

Ruby : alors quel bon vent t'emmene ?

Aleksandr à directement poser son regard sur moi et se dernier voulais tout dire .

Ruby : ah je vois. Mais fait moi au moins plaisir, goûte et dis moi se que t'en penses !

Aleksandr : j'en ai pas envi en se moment.il se lève et me prend par la main. Remet sa chez Durty et dit lui de ramener tout dans mon bar.

Ruby : d'accord !

C'est sans même dire aurevoir à Ruby que nous sommes sortis de son bureau.De mon côté j'avais le cœur qui bat à la chamade. J'avais peur d'être seul à seul avec lui.Nous sortons du club et nous entrons dans sa voiture.personne ne disait mots tout le long du trajet,un silence de cimetière régnait.

Celà faisais maintenant quelques minutes que nous sommes entrain de rouler,je suppose que nous sommes entrain d'aller chez lui.Sachant pas quoi faire,je me mets à somnoler, déjà que la veille j'ai pas dormi. Donc rattraper se sommeil pendant quelques minutes m'aidera un peu.J'étais à un millimètres près à m'envoler vers le pays de rêve quand tout d'un coup je sens la main d'aleksandr se poser sur ma cuisse.

Il l'a fait d'une telle pression que je n'ai pas pû m'empêcher de gémir. Pas de plaisir bien sûr, mais de douleur. Mais je vais pas nier j'ai bien aimé... mais qu'est-ce que je raconte...Il faisait que de me pétrir ma cuisse, cela m'affectait trop que mon envie de dormir c'est volatilisé.  Je croyais qu'il devrait juste s'arrêter à sa mais malheureusement non...il est remontée plus haut et a fait entré sa main dans ma petite culotte.Si j'étais blanche je vous assure que ma peau allait se teinté en rouge sang, tellement j'étais gêné.

Son chauffeur était juste devant nous et lui il est entrain de faire se qu'il fallait. On est d'accord que c'est pas correcte? Il faisait 15° dans la voiture mais là j'avais carrément l'impression qu'il en faisais 30,car des tonnes et des tonnes de sueur dégoulinait de mon front.Je ne savais pas se qui m'arrivait, mais la sensation que je ressentais était inédite. Je poussa ma tête en arrière, me mordait la lèvre inférieure pour ne pas crier. Je me retenais trop que ma lèvre allait bientôt se pété.

Je m'étais peut-être promis qu'aucun homme n'allait me toucher a part mon futur mari. Mais là j'avais vraiment envie qu'il me prenne, oui dans cette voiture. Qu'il fasse de moi sienne. Mais malheureusement il s'arrêta tout d'un coup, et juste au moment où j'étais arrivée à mon paroxysme. J'étais vraiment remonter !Par manque de compréhension je me suis mise à le fixer de façon très frustrante. De son côté, lui il était calme comme si tout qu'il venait de faire était totalement naturelle. Quand il termina d'essuyer ses mains ,il me fait signe de le suivre. Et c'est juste à ce moment que je me rends compte qu'on était déjà arrivé chez lui. Malgré ma frustration ,je ne me fis pas prier et l'est suivi à l'intérieur. En rentrant je faisais celle qui était remonter à bloc. Genre prête à casser tout se qui bouge. Mais en voyant l'expression de son visage, je suis très vite redescendu de mon petit nuage.