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Lui qui pensait se retrouver sur le terrain dès le premier jour, râlait derrière le téléphone de l'accueil. Sa mission répondre à tout les appels et envoyer la patrouille ci besoin. C'était d'un ennuis, la plus part des personnes qui appelé était des personnes en difficulté mineurs et au mieux c'était fait voler par un ado de quinze ans, qui pleurerai dès que la patrouille serait à ses trousses.

Il souffla pour la quinzième fois depuis une heure, exaspérant la pauvre femme qui travaillait derrière lui. Il était lasse de toute chose, il n'avait pas la tête à rester là, à rien foutre alors qu'il avait besoin de bouger. Bouger ça l'empêcher de ressasser encore, encore et encore.

Le téléphone sonna une nouvelle fois, il décrocha sans grande envie.

-Agence Best Jeans, bonjour. Que puis je faire pour vous aider?

Devoir être aussi calme, posé et poli lui écorchés la bouche. Surtout que c'était encore cette grand mère qui l'appelait depuis quatre fois depuis ce matin. Cette fois, elle ne retrouvait pas son chemin. Elle peut pas utiliser Google maps comme tout le monde cette vielle, réprima t'il.

-Je vous envoie une patrouille. Au-revoir.

Il raccrocha agacé. Si la vieille osait le rappeler encore une fois, il explose le building !

Il savait que quoi qu'il arrivait, il allait se retrouver derrière un bureau ! Qu'est-ce qu'il avait cru? Que Best Jeans serait peut-être plus clément ! Quand il pense qu'il avait fait un effort de coiffure et de tenue pour que son mentor prennent en compte de ses changements, ce dernier l'avait relayé à l'accueil ! Quel blague!

La femme derrière lui commençait sérieusement à s'inquiéter pour le jeune homme. Il murmurait dans sa barbe des choses incompréhensible comme un démon. Le pauvre petit doit être enragé c'était elle autorisait à penser. Puis après elle le vit comme quelqu'un de potentiellement déranger, sa façon de changer d'humeur à une autre en un battement de cils était flippante. Elle nota tout sur un papier: comportement, attitude au téléphone, nombre d'appels répondu. Tout.
Après tout c'était un peu sa mission après tout. L'évaluer.

Le temps passé et elle n'entendit plus rien, plus aucun murmure, plus aucune conversation téléphonique, plus un son de la part du petit stagiaire pourtant le téléphone continuait de sonné. Elle se retourna inquiète et s'approcha de la statue qu'était devenue Bakugo. Elle tapa dans ses mains pour le faire réagir mais rien pas même un sursaut alors elle posa une main sur son épaule qui l'a lui fit faire un bond en arrière.

-Putain mais ça va pas la tête ! Hurla t'il dans le hall attirant tout les regard sur lui.

Il eut un autre mouvement de recul mais différents, il manquait quelque chose. Le son. Il n'entendait plus.
Les piles.
Il avait oublié de les changer ! Putain mais quel idiot !

Il se leva avec précipitations et courus dans les vestiaires. Avec un peu de chance, s'il n'avait pas oublier son cerveau aux Caraïbes, il aurait mis des piles dans son sac. Il fouilla, le renversa, chercha à même le sol. Rien. Absolument rien. Il les avait oublié.

-Mais c'est pas possible d'être aussi con! Hurla t'il.

Il rangea ses affaires, ça servait à rien de répondre au téléphone si on peux pas les entendre. Il rentrait donc à l'internat. Il pris son sac sur le dos, écrivit un mot d'excuse à deux balles et quitta l'agence sous le regard médusé de cette femme qui s'empressa de tout noter. Elle pris un plaisir inexplicable à décrire l'attitude quel qualifié d'immature du jeune homme. S'en était presque plaisant et elle évacué toute la frustration dans son rapport de cette après midi passé avec ce gamin lunatique.

DEAFOù les histoires vivent. Découvrez maintenant