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- Putain mais vous rigolez la !

- Non mon frere bienvenue au couvent des Sainte-Roses.

- Bordel les mecs c'est quoi ce délire ?

- Nous étions qu'à quelques kilomètres de là, une voiture est passer quelques minutes après l'accident c'était la mère supérieur .

- Pourquoi je n'ai pas été à l'hôpital ?

- Nous sommes assez loin du premier hôpital, tu était vraiment trop amoché.

- Super, alors des vieille vierges ? Dis-je en souriant.

Je regarde mes frères sourire.

- Quoi ? qu'est ce qu'il y a encore ?

Hall prend la parole.

- Tu a jeter ton dévolue sur une d'entre elle.

- Merde tu rigole ?

- Non, enchaîne Joey.

- Sœur Eve, fini par dire Miller.

- Oh mon Dieu a quoi elle ressemble ? Ne me dites pas que ses un vieille prête à clamser ?

Mes frères se mette a rire. Je n'ai pas le temps de répliquer que la porte s'ouvre,  une femme en robe bleue pénètre dans la chambre, le visage sévère et rider s'avance vers mon lit. Mon regard se pose sur une autre femme qui entre derrière elle, plus petite, elle porte une robe bleue marine et une chemise blanche et ses cheveux son couvet d'un voile blanc, le teint pâle elle fini par poser ses yeux sur moi.
Bonté divine ! Cette ange.

- Comment vous sentez vous M ?

- Mieux, merci ma sœur.

- Je suis la mère supérieur ! Me gronde-t-elle

Je tourne mon visage vers Joey qui rigole dans sa barbe.

- Pardon.

- Puis-je savoir votre nom ? Je ne l'ai pas retenue.

- Killer, dis-je.

- Votre vrai prénom.

- Adam.

Je l'entend arrêter de respirer.

- Ce n'ai pas une blague, dis-je.

- Je ne trouve pas cela drôle. Sœur Eve nous allons changer les pansement de notre patient.

- Oui mère.

Sa voix est douce, elle fait vibrer mon cœur, je ne la quitte pas des yeux quand elle s'approche de moi. Je retire les couvertures, l'ange Eve fait un mouvement de recule.

- Les dessins du diable, murmure la mère supérieur.

- Dépêchons nous, qu'il couvre ses dessins de pêcheur, termine-t-elle.

- Oui mère, ça va être un peu douloureux, me dit-elle de sa douce voix.

- Je suis un homme fort, je n'ai pas peur d'avoir mal.

- Pourtant ce n'ai pas ce que vous disiez il a quelques heures.

Mes frères pouffe, bordel qu'elle connasse cette mère machin truc. Ses doigts fin et froid retire mes pansements avec douceur, je grimace quand la vieille me les désinfectes, rien à voir avec ma douce Eve.
Celle ci ne me regarde pas dans les yeux, quand elle me touche, ses doigts tremble légèrement. Je lâche un grognement.

- Pardonnez-moi, me dit-elle.

- Non ce n'ai pas grave ma belle.

Elle se fige et j'entends un raclement de gorge sec. Bon la vieille peau ne doit pas aimer que je parle comme ça à la sœur Eve. Sérieux même Jésus la baiserai si il la voyait.

Elle termine bien trop vite.

- Je vais changer vos draps, vos amis peuvent-ils vous aidez à vous levez ?

- Bien sûr soeur Eve, lui dit Joey.

Joey et Miller m'aide à quitter le lit, Eve change mes draps, mon regard ne la quitte pas. Quel gâchis et ses vêtements qui ne la mette pas en valeur, je me demande de quel couleurs son ses cheveux ? Et de quel taille son ses nibards ?
La vieille est dans le coin de la pièce à jeter les cotons souiller par mon sang.

- Voilà, j'ai terminer.

Elle fui toujours mon regard, j'ai envie de lui crier de me regarder mais il est trop tard quand elles quittent la chambre.

- Putin de bordel de merde!

Je tire la gueule quand je me réinstalle dans ce lit pourri.

- On vas devoir te laisser là, me dit Miller le président.

- Quoi ? Vous n'allez pas me laissez la avec cette sorcière de mère supérieur !

- Désolé mais nous nous sommes absenter depuis trop longtemps et ici tu sera bien, sœur Eve à ton chevet.

- Les gars je vous prévient cette bonne sœur rentrera avec moi!

- Laisse cette sœur tranquille ! me dit Hall. On reviendra vite te récupérer.

- Très bien, fini je par dire.

- Ne te fait pas mettre dehors, s'il te plaît, elle on été assez gentilles.

- Je ferai de mon mieux.

Mes frères reste une petite heures avec moi, puis finissent par s'en aller, je me retrouve seule dans cette chambre pourri, sans télé, sans radio simplement avec une bible sur la table de chevet.
Elle me brûlerai entrent les mains si j'oseai l'ouvrir.
J'entends frapper en espérant que sa soit me petite sœur Eve, mais non à la place c'est une bonne femme d'une cinquantaine d'années habillée de noir et de blanc, elle tiens un plateau entre ses mains et s'avance vers moi.

- Je suis la sœur Clarence, se presente-t-elle.

- Adam, dis-je.

- Voici le repas de ce soir.

- Merci.

Sa sent bon et mon ventre se réveille enfin.
Avant qu'elle s'en aille, je l'interpelle.

- Dite ma sœur ?

- Oui ?

- Vous avez la télé ?

- Pas dans les chambres mais dans la salle commune oui.

- Je ne peux pas trop bouger, lui rappelais-je. Et la radio ? Ce silence va finir par me tuer !

Elle me fait de gros yeux et je me rend compte de ce que je vient de sortir. Elle avale sa salive et ne me reprend pas.

- Je vais faire mon possible pour vous trouvez un poste.

- Vous n'avez pas non plus internet ?

- Dans le bureau de la mère supérieur.

- Super.

- M. Adam, dit-elle en revenant vers moi. Nous sommes dans un couvent, dans une des maisons de Dieu. Pas dans un lieu de perdition où vous avez sans doute vos habitudes. Ici nous vivons simplement, nous vous avons accueilli pour vous soigner, vous n'êtes pas dans un hôtel. Maintenant manger et reposez vous, vous repartirez plus vite.

Sœur Clarence s'en va, super elles son toute coincer du cul ici où quoi ? Je dîne  seule avec moi même et j'ai horreur de ça. Épuiser et la douleur qui revient je fini par m'endormir.

Le péché du diableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant