Le péché du diable

05

Ses doigts parcours mon corps, ses lèvres se pose dans mon cou, ma main glisse sur son torse et s'arrête sur l'objet métallique qui traverse son téton. Sa main remonte sur ma gorge et ses lèvres s'en prennent au mienne, il m'embrasse durement, sauvagement, je brûle de plaisir pour lui. Sa main glisse sur mon corps et passe en dessous de la couverture...

Mon réveille sonne, coupant mon rêve.  Ma nuit a été compliquer, je suis épuiser, j'ai été torturer par cette homme, son regard qu'il portait sur moi, je n'ai tellement pas l'habitude de ça. Je ne sais pas quoi en pensée ?
Pendent la prière du matin, je demande à Dieu de me pardonner pour ce qui c'est passer hier soir et pour mon rêve de cette nuit. Un rapide petit déjeuner puis je m'en vais pour mon travail de ma journée.
Aujourd'hui je suis affectée à la laverie, les machines tourne, le fer à repasser chauffe, je plié délicatement les habilles.
C'est ce que je déteste le plus, être de corvée de laverie, être minutieuse, je préfère être dehors au grand air, respirer l'air frais au lieux d'être enfermer au sous sol, dans une chaleur étouffante.
Mais nous devons tous y passer, tourner et c'est normal.
J'enchaîne les lessives, midi sonne, je me rend au réfectoire mais sœur Clarence m'arrête en si bon chemin.

- Oh Sœur Eve, pouvez vous déposez le plateau dans la chambre de M. Adam.

- Sœur Clarence, la mère supérieur m'a interdit de m....

- Désolée Sœur Eve, je suis attendue près du père Joël.

- Très bien, sœur Clarence.

Je prend le plateau et me rend devant la chambre qui a été attribué à M. Adam.
Je frappe.
La porte fini par s'ouvrir, un sourire se dessine sur ses lèvres.

- Je viens déposer votre repas.

- Merci.

Il me laisse entrer, je pars déposer le plateau sur le bureau, la radio crache une musique forte que je ne connais pas.

- Tu ne veux pas rester manger avec moi ? Je le sens un peu seule.

- Je dois retourner auprès des sœurs pour la prière du repas.

- Très bien.

Je quitte la chambre, après le repas je retourne à la laverie. Je m'attaque au draps, je suis seule cette après-midi, la radio lance une vieille musique de messe, je murmure les paroles. Je m'empare d'un draps sec et l'étant sur le fil pour pouvoir le repasser.

- Tu a besoin d'aide ?

Je sursaute et me retourne.

- Dois-je m'inquiéter du fait que vous vous trouvez toujours où je me trouve ? Lui demandais-je.

- Ce n'ai pas de ma faute, cet votre seigneur qui me guide jusqu'à vous, dit Adam.

- Ce n'ai pas beau de mentir vous savez ? Mais puisque vous êtes là,  je veux bien de votre aide.

Adam prend un côté du draps et moi l'autre, nous l'étendons sur le fil.

- Merci, lui dis-je.

- Je peux te poser une question ?

- Bien sûr M. Adam.

- Tu n'a jamais eu envie de partir ailleurs ? Je veux dire, tu a grandi dans l'orphelinat qui était à côté, tu n'es pas partie quand tu avait l'âge ?

- Je suis bien ici.

- Eve aurais-tu peur de l'inconnu ?

- Je... euh... ce n'ai pas la question.

- Bien sur que si Eve.

- Sœur Eve, dis-je.

- A tu déposer officiellement tes vœux ?

- Non, pas encore, dans trois mois.

- Je peux alors te faire changer d'avis.

Je sourit.

- Rien ne pourra me détourner du chemin de Dieu.

- Rien ?

Adam s'approche de moi, son corps n'est cas quelques centimètre, il nous pousse contre une des machines à laver.

- Ri... rien, eu je du mal a dire.

Un sourire malsains sur les lèvres, il plonge son visage vers moi, ses lèvres se pose sur les miennes, sa langue fait irruption dans ma bouche et vient rencontrer la miennes. Je suis pétrifié, la chaleur dans mon ventre augmente et se répend dans tout mon corps. Je fini par me laisser aller contre lui, m'abandonnant, je pose mes mains sur son torse et bouge ma langue au rythme qu'il a donner. Sa main glisse sur mon seins puis descend sur ma hanche et continue sa course sur ma cuisse, il serre le tissus. J'ouvre les yeux, les siens son clos. Je pose ma main sur son torse et le pousse fortement.
Je pose ensuite mes mains sur mes lèvres, sentant encore le goût des siennes.

- Nous n'aurions pas du ! Dis-je.

- Pourtant tu m'a répondu.

- C'était une erreur, sa n'aurait jamais dû arriver. S'il vous plaît allez vous en.

- Non.

- Sœur Eve ! Entendons-nous.

Sœur Clarence entre et son regard va de l'un à l'autre.

- Tout va bien? Nous demande-t-elle.

- Oui, j'en avais marre de rester enfermer dans ma chambre, alors je suis venue voir Sœur Eve pour voir si elle avait besoin d'aide, lui dit Adam.

- Très bien, c'est très gentil de votre part  Adam. Sœur Eve, le père Joël vous attend dans les jardins.

- Très bien, je vous remercie.

Je quitte précipitamment la laverie. Je retrouve le père Joël devant les rosiers.

- Mon père, dis-je en souriant.

- Mon enfant, comment allez-vous?

- Bien, je vous en remercie.

- Alors avez vous réfléchi à vos vœux?

- Oui, j'y pense très souvent.

- Ces roses son magnifique.

- Sœur Magdalena en prend grand soin,  c'est sa fierté.

- Elle a raison. Une grande passionnée de fleure.

- Oui,c'est vrai.

Sœur Clarence et Adam sorte du sous sol, son regard se pose sur moi et des images de tout à l'heure me revienne.

Killer

- Si nous allions marcher un peu ? Me propose-t-elle.

- Bien sûr.

Ma queue tendue à l'extrême dans mon fute me fait un mal de chien, dehors mon regards se pose sur elle, sur celle que je convoite depuis que je suis arrivé ici. Elle est en compagnie d'un vieux en robe marron.

- Que voulez vous a sœur Eve ? Me demande-t-elle.

- Comment ça ?

- Je ne suis pas aveugle Adam, Sœur Eve n'a jamais quitter cette endroit, n'a vécu que ici, n'a rien vue du monde à l'extérieur. Il lui reste trois mois pour prendre une décision définitive. Et vous, il vous reste à peine une semaine ici.

- Vous me mettez à la porte ?

- Vous chambouler mes sœurs, se n'est pas bon d’avoir un homme comme vous ici.

- Je ne repartirais pas seule d'ici. Je crois que le plus dur c'est de convaincre  votre mère supérieur.

- Vous semblez si sur de vous Adam. La plus difficile convaincre c'est sœur Eve. Je sais que vous n'en avez que faire de notre mère supérieur.

- C'est vrai, pardon.

- Vos excuses ne sont pas sincères Adam mais je ne dirais rien.

- Je ramènerais Eve avec moi, je ne suis peut être pas un homme bon mais je le serais avec elle.

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Chapitre un peu plus chaud! Eve à craquer pour le plus grand bonheur de notre Adam!