CHAPITRE 37

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ATTENTION PEUT CHOQUER (ÂME SENSIBLE S'ABSTENIR)

*Appel téléphonique*

Moi : Allô ?!
??? : Alex ? Bryan est avec toi ? ... !
Moi : Nelly ?
??? : Oui !! Alors ?!!
Moi : Non.... Mais je sais où il est....
Nelly : Où ?
Moi : Je ne peux rien te dire....
Nelly : Quoi ?!
Moi : Écoute, je te promets de le ramener.
Nelly : Et qu'est-ce que je dis à mes parents moi ?!
Moi : Dis leur.... dis leur que je suis venu le chercher ce matin très tôt.
Nelly : Tu as intérêt à le ramener ce soir en bonne santé !!
Moi : Bryan est ce que j'ai de plus cher, il est ma vie, s'il lui arrive quoi que se soit je tus celui qui a osé faire ça.
Nelly : Euh.... tu as l'air plutôt sérieux...
Moi : Je le suis.
Nelly : Heiin ?!
Moi : Peu importe, je le ramène.

Je raccroche.

*Fin d'appel téléphonique*

J'appelle quelqu'un puis range mon téléphone une fois terminé et démarre. Je vais directement au refuge. Je me gare négligemment et sors à la va-vite. J'y entre et deux mecs me bloquent. Je passe ma main derrière moi et ils sortent des flingues. Je lève un sourcil et ramène ma main en avant, ne sortant pas le mien. Je préfère mettre mes mains dans mes poches.

Moi - Laissez moi passer.
Mec - Hors de question.
Moi - Laisse moi passer ou ça ira très mal.
Mec - Comme si j'avais peur de toi !

Hum... Une provocation pour me faire perdre mon calme. Ça risque de fonctionner si on ne me rend pas tout de suite Bryan. Je souffle longuement essayant de garder mon calme mais mes poings se ferment.

Moi - Laisse. Moi. Passer.
Mec - Non.

Je relève la tête vers lui et le regarde d'un air mauvais. Il ne capte rien et se prend un couteau dans le ventre tandis que l'autre se retrouve devant mon flingue. Ils ne bougent plus d'un poil.

Moi - Si tu veux vivre je n'ai pas intérêt à retirer ce couteau et l'autre nigaud n'a pas intérêt à essayer quoi que se soit contre moi, sinon je le retire. Alors... vous me laissez passer ?
Mec - (gémit de douleur) Hum.... on a compris....
Moi - Vous êtes sûr ?
Mec - Oui. On est sûr dépêche toi, que je l'emmène à l'hôpital !

Je lâche le couteau, le laissant dans son ventre tandis que je surveille l'autre du coin de l'œil. J'entre dans la salle principal remettant mon arme dans l'arrière de mon jean. J'arrive devant une porte. Je fronce les sourcils avant de frapper. Je suis un minimum élevé. D'ailleurs un des gars vient m'ouvrir. J'entre et me retrouve face au patron. Je fronce les sourcils. Je tourne la tête regardant un peu partout. Malheureusement je ne vois pas Bryan. Je souffle avant de sortir les liasses de billets de mes poches et de les aplatir sur le bureau en face duquel il est assis. 100 000 €... bon, il manque 50 000 € mais je les lui emmènerais s'il me laisse Bryan.

Patron - Il manque 50 000 € .... pourtant tu as décidé de venir avec ça.
Moi - Rend moi Bryan.
Patron - Alors tu le prends pour une chose ?
Moi - (grogne) Bryan n'est pas une chose !!
Patron - Ah bon.... pourtant....

Il me fait une sorte de sourire pervers et "machiavélique". Mon cœur s'affole. Qu'est-ce qu'il a fait ?! Puis il tourne son ordinateur vers moi. J'ouvre de grands yeux. À ce moment là je vois Bryan attaché à un lit. Les mains et les pieds. Il est complètement nu et inconscient. Mon cœur s'accélère encore. Bryan.... mon ange... mon bébé.... malheureusement je perds un peu mes moyens et devient un peu nerveux. Je me mors la lèvre inférieur. Le patron le remarque et explose littéralement de rire. Je fronce les sourcils et sers les poings. Mais quel.... quel fils de pute !!! Il sort ensuite un micro et dis un "vas-y". Là je vois un mec sortir de je ne sais où et il bouscule Bryan de manière à le réveiller. Il sursaute et essaie tant bien que mal de se lever mais il remarque qu'il est attaché. Il remarque aussi qu'il est nu et tremble de tout son long. Il regarde un peu partout et vois le mec. Il tremble de plus en plus. La peur se lit dans son regard. Ses yeux commencent à s'embuer. Soudain le mec lui donne un coup de fouet. Il hurle. J'ouvre de grands yeux avant de sortir mon flingue et sans même que le patron ne comprenne quoi que se soit, je me retrouve à côté de lui le flingue sur la tempe.

Moi - Dis lui d'arrêter tout de suite où t'es mort.
Patron - Tus moi et ton petit copain meurt aussi.

Un autre mec arrive et sort un flingue. Il se rapproche de la caméra et je peux voir son visage. Je remarque une grande ressemblance avec le patron, néanmoins, ils ne sont pas jumeaux. Mais en tout cas, ils sont frères....

Moi - Ton frère.... c'est très astucieux. Mais moi aussi j'ai été astucieux.... Vas-y !

À ce moment là....

Un amour difficileOù les histoires vivent. Découvrez maintenant