Chapitres 6

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Dis-moi ce qu'il se passe Merlyse, rajouta-t-il. Elle prit une minute avant de lui répondre.
_Au fait...c'est que...
_Que quoi ?
_Les autres pense que tu as fuis le lycée pour un autre; et d'autres, dise que tu fais ce que tu veux parce que tes parents sont riche. Il y a beaucoup de médisances à ton sujet; mais quoi qu'il en soit, ne t'en fait pas, ils ne savent rien de toi.

Il était sous le choque après avoir entendu ces mots. Suis-je si méprisable que ça ? Demanda-t-il à Merlyse avec les larmes aux yeux prêts à couler. Bien qu'elle lui répondît positivement, il avait toujours aussi mal. Il se demanda s'il en valait la peine qu'il retourne dans cette école.
Merlyse resta dormir avec lui cette nuit là avec la permission de son oncle Cault.

     Le lendemain matin, il se réveilla un peu tard et Merlyse ne voulant pas déranger son paisible sommeil, partît sans lui dire au-revoir.
L'avoir eut à ses côté hier l'avait fait beaucoup de bien et lui avait permis de mieux prendre les nouvelles le concernant; celles qui disent qu'il a fuit le lycée pour un autre et qu'il fait tout ce qui lui prend parce que ses parents sont riche.
     Prince ne pu que s'en vouloir à lui-même, il se disait être le seul coupable de tous ces médisances à son égard. Car ils ne le doivent pas gentillesse, en aucune façon; <<je suis malade depuis que je suis né, et personne n'a l'obligation de comprendre ce que j'ai, sans que je ne veule moi-même faire comprendre, se disait-il à lui-même>>.
      Il y a des gens qui font irruption dans nos vies juste pour nous déstabiliser. Ils se fichent pas mal du chao qu'il affligent aux autres, pourvu juste qu'ils se fassent plaisir en buvant une coupe de malhonnêteté rempli du sang de leurs victimes. D'autres viennent déguisés en agneau, mais d'autres gardent leurs apparence initial pour te faire savoir qu'ils ne sont pas là pour jouer avec toi, mais pour être des prédateur et toi leur proie. Ceux qui viennent déguisés en agneau, sont encore plus dangereux que les prédateurs à une facette ; ceux-là te montre une douceur incontestable, tandis que derrière toi, ils ont déjà fini de salir ton nom; dans leur coeur, ils t'ont déjà tué bien plus d'une fois. 

Il avait souvent l'habitude de dire "Je vais bien; tout va bien"; mais c'était faut, quand il disait cela, ça voulait dire qu'il n'allait pas bien. Le pire, c'est qu'il détestait que l'on ai pitié de lui, alors il préférait garder secret ses maladies.
Passer deux semaines à la maison fit beaucoup de bien à Prince. Cependant, il n'arrêtait pas de se ronger les angles sur ce qui se dit de lui au lycée. <<Ça y est, Merlyse est arrivée, dit-il à voix haute. Maman, j'y vais, rajouta-t-il encore>>; sa mère l'embrassa avec délicatesse et amour, comme elle a si bien l'habitude de le faire; en ce qui concerne son père, il est un homme d'affaires tellement occupé qu'il passe peu de temps à la maison, et certains temps à l'étranger; Prince ne s'en plaignait pas  mais il ne s'en réjouissait guère non plus.

     Sur le chemin de l'école, Merlyse lui racontait ses mésaventures; selon ce qu'elle lui disait à son sujet, elle était une fillette à problème. Quand elle était petite, elle avait la manie de se bagarrer, sans avoir à s'inquiéter du sexe de son adversaire. Elle était le genre de fillette qui, au lieu de prendre sa douche à l'heure qui lui avait été donné, elle préférait jouer toute nu dans la maison et pour au final se faire battre par son oncle avec un boi de foufou MDR!!!

Le temps passait si vite en compagnie de Merlyse, peu de temps après qu'ils étiez en pleine conversation, ils étiez déjà arrivé à l'école. <<On dirait que le temps s'est ligué contre moi, pour une fois que j'étais dans le bain du bonheur... pensa-t-il >>

<<Nous y sommes les enfants; s'exclama le chauffeur.

_Bien, nous descendons; répliqua Prince avec un visage froissé et tout pâle. Pour lui, il était arrivé dans la jingle.

_Es-tu prêt ? Lui demanda Merlyse.

_Je crois que oui.
      Il était vraiment stressé; son coeur battait la chamade, tellement il était soucieux à l'idée de revoir le regard des autre sur sa personne. Que Dieu m'en garde.

Le vent avait comme qui dirait, changé; il était désormais glacial; sans parler du temps, on croirait un film d'horreur. Peut-être était-ce là des symptômes de son anxiété, ce qui lui faisait sentir des choses peu fiable. C'est à peine s'il souriait.
Merlyse le prît la main jusqu'à leur salle de classe; le regard des autres à son encontre avait changé; mais cela en pire. Il imaginait déjà leurs pensées sur sa personne en grand caractère: "PRINCE UN INDIGNE ÉLEVE DU LYCÉE "LA ROUSSE".
     Malgré leurs regards plein de mépris, Prince avait bien voulu les saluer, toujours est-il qu'aucun d'eux n'ait répondu, sauf Breinda. La première étape avait été accomplie.

LE SECRET DE PRINCEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant