Chapitre 29

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Une semaine, plus qu'une semaine avant le voyage. Je suis un peu inquiète à l'idée de retourner à l'école, et de passer mon bac là-bas. <<Prince !>> m'appela maman.

__A quoi penses-tu ? M'interrogea-t-elle.

__Je ne veux pas de nouveau allez à l'école maman.

__Je sais, tu as peur.

__Oui; j'ai failli mourir à cause de mes soit disant collègues de classe.

__Je le sais bébé; mais tu dois aussi avoir une vie normale. Tu ne peux pas laisser cela te nuire.

__Mais maman !

__Mais rien du tout.

Devrai-je écouter ma mère ?

La maison avait déjà été vendu, et même mon lit médical et tous mes instruments.

L'heure du dîné était arrivée; et Merlyse venait de revenir de chez son oncle Cault. <<Sœurette, je t'ai manqué ?

__Beaucoup mon amour. Comment vas-tu ?

__Je vais bien depuis que tu es rentré.

__Ça c'est vrai, je peux le confirmer. Ton frère n'allait pas très bien quand tu n'étais pas là. Rétorqua maman.

__Man...ne l'écoute pas Merlyse.

__Tu veux le nier à présent ?

__Maman !

__Bon ! D'accord ! D'accord ! Tu n'étais pas triste. N'est-ce pas qu'il ne l'était pas maman ? Répliqua Merlyse.

__Nonnn, il ne l'était pas.

Merlyse me prit par la main, et m'emmena dans sa chambre. <<Qu'est-ce qu'on faut dans ta chambre ?>>. <<Attend>>. Je nous ai acheté deux colliers. Ces deux colliers constitue un coeur, et à l'intérieur il y a des écrit. Le tien dit: Ma Merlyse ; et le lien dit: Mon prince. Ainsi, nous serons toujours l'un avec l'autre. <<Ils sont magnifique grande soeur. Merci !>>.

__Ne me remercie pas. C'est toi qui m'a redonné goût à la vie. Après ce viole et ce meurtre, je croyai ne jamais pouvoir m'en remettre ; mais tu étais avec moi, et tu m'a fait me relever, toi et les parents. Je béni Dieu de m'avoir donné cette famille. On parlons de famille, j'ai aussi acheté deux autres colliers pour papa et maman.

<<Et qu'est-ce que tu as fait écrire dessus ?>> demandai-je. Sur celui de papa, il y a écrit: Je vous aime. Et sur celui de maman il y'a écrit: mes enfants. <<Tu es trop chou>> lui dis-je. Elle rougit, étrange.

Nous partîmes de suite donner leurs colliers à papa et à maman. Ils étaient si émut que, ma charmante mère pleura de joie. Tous les deux nous prirent dans leur bras.

...Merci de me lire. Gros bisous😘😘😘...

LE SECRET DE PRINCEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant