𝗕𝗔𝗟𝗟𝗘 𝗣𝗘𝗥𝗗𝗨𝗘. JK

ᴄʜᴀᴘɪᴛʀᴇ ₂₂

Quelques rayons du soleil traversaient le rideau, tu te tournes pour le voir et il est là. Assis sur la chaise de son bureau t'observant avec un petit sourire en coin.

— T'es magnifique quand tu dors.

Tu lui souris puis tu viens t'étirer.

— J'ai beaucoup dormi ? Il est quelle heure ? dit-tu en te mettant assise sur le lit.

— Il est onze heures, j'ai dit que tu allais pas au mieux de ta forme pour te laisser dormir. dit-il en se levant de sa chaise

Il se dirige vers la porte et tu viens froncer les sourcils.

— Où tu vas ?

— Tu dois avoir faim je vais voir si je trouve quelque chose à manger. dit-il en posant sa main sur la poignée.

— Oh d'accord. dit-tu en souriant.

— Je reviens dans maximum dix minutes.

Il vient sortir de la chambre, quelques secondes plus tard tu décides de te lever pour regarder par la fenêtre. Tu pouvais voir Armin et le brun dont tu ne sais toujours pas le nom assis dans l'herbe à jouer aux cartes.

Soudain tu te rappela d'une personne qui était totalement sortit de ton esprit, Connie.
Où était-il ? Il était mort ? En mission ? Ou alors il avait été gravement blessé et donc il avait été rapatrié ?
Beaucoup de question traverser ton esprit.

Un bruit te fit sortir de ton esprit, Jean venait de revenir. Tu te retournes et tu remarques qu'il avait trouvé seulement un bout de pain.

— Vraiment désolé j'ai trouvé que ça...dit-il en faisant un sourire forcé et en étant gêné.

Tu étais tout de même touché par cette petite attention de sa part. Tu te rapproches de lui, tu es à présent juste en face de lui et tu viens poser tes mains sur ses joues.

— C'est pas grave c'est l'intention qui compte, et puis j'avais pas très faim. dit-tu en te collant à lui et en te mettant sur la pointe des pieds.

Tu viens poser délicatement tes lèvres sur les siennes. Tes mains viennent descendre doucement vers ses pectoraux pour ensuite arriver à ses abdos. Tu viens passer tes mains sous sa chemise. Tu sens qu'il frissonne.

Tout en continuant de t'embrasser il vient poser le morceau de pain sur la table de chevet. Ses mains viennent se poser sur tes joues et il te fait reculer, ton fessier touche le bureau. Il vient te prendre les hanches et te soulève pour te mettre sur le bureau. Tes mains reviennent sur ses joues et les siennes agrippe tes cuisses. La tension commençait à monter rapidement mais quelqu'un toc à la porte.

Jean arrête de t'embrasser, il vient râler dans sa barbe. Il se dirige vers la porte et l'ouvre légèrement.
Quant à toi tu te lèves du bureau pour venir t'asseoir sur le lit, afin que la personne derrière la porte ne te voit pas lorsque que Jean va ouvrir la porte.

— Quoi ? dit-il avec un ton assez agacé.

— Euhm salut, désolé de te déranger mais on vous attend toi et Marcel pour une mise au point.

Tu reconnais rapidement la voix de l'interlocuteur, c'est Armin.

— Ok j'arrive et je préviens Marcel.

— D'accord a tout à l'heu-

Le blondinet n'a même pas le temps de terminer sa phrase que le châtain vient fermer la porte. Il vient souffler.

— Sois plus gentil avec lui.

— Excuse-moi, juste j'aime pas qu'on me dérange quand je fais quelque chose d'assez important. dit-il en se rapprochant de toi.