📍Melbourne
21h05
Lundi 19 MarsTel un gentlemen, il ouvra la portière et me tendis sa main en me faisant son plus beau sourire. Sans hésiter, je l'accepta et sortis de la voiture sous les feux des projecteurs. Charlotte ne m'avait pas fait part de ce détail.
Je passa mon bras en-dessous du cien et me colla à peu plus contre lui pour être sous le parapluie. C'est avec les acclamations euphorique des journalistes qu'on marcha à pas lent sur le tapis rouge.
Je regarda autour de moi, les reporters nous demandèrent si on était ensemble ou juste avoir une interview. Rien de spécial en l'occurrence. Mais ce qui me gêner le plus c'est les regards lourd, voir insistant de certaines personnes sur moi, entendre des remarques désobligeante sur ma robe ou mon corps et les sifflements en tout vent.
Mal à l'aise, je pris le bras de Lando avec mes deux mains, ce qui me permis de cacher légèrement mon décolleté. Comme je m'en doutais, les sifflements redoublèrent, accompagnés cette fois d'insulte comme "pute" ou "salope".
Quel bande de pourriture.
Je ravala ma salive, une boule se forma dans mon ventre. Avant, j'avais réussi à me crée une sorte de bulle, remplie de sérénité et d'apaisement. Éloignant le stress et l'anxiété de moi. Mais arrivé ici, ma bulle a complètement éclaté, laissant les mauvaises ondes m'envahir de toute part.
En attendant, Lando avait accéléré la cadence. Il marchait à grand pas, déterminé à la faire sortir de cette enfer. Mais la porte n'était pas à côté, il restait plusieurs mètres à parcourir.
-Don't let them see you're afraid. lui chuchota t'elle
(Ne les laisse pas voir t'a peur.)Comprenant le message du britannique, je repris mon courage à deux mains. Un sourire moqueur s'installa sur mon visage. Je les regarda tous d'un œil mauvais et montra mon plus beau majeur à ce qu'il le méritait. Mon image médiatique allait en prendre un sacré coup. Avec un peu de chance, les journalistes ne seront pas bête et vont comprendre ce qu'il se passe.
Je ne vais pas dire que tout c'est arrêté mais j'ai l'impression qu'ils se sont plus au moins calmé. Rien de sûr, on s'était éloigné de la foule.
Arrivé en bas des marches, mon faux sourire moqueur se volatilisa et je laissa tombé mon bras contre ma cuisse. En même temps de monter l'escalier qui amené à la fameuse porte, je mis ma tête contre l'épaule du britannique en soupirant.
-Encore et toujours là même chose.
-Are you talking about insults or questions ? me demanda t'il
(Tu parles des insultes ou des questions ?)-Les deux. Même si y en a un qui m'insupporte plus que l'autre. j'avoua en franchissant la dernière marche
Mais plus principalement les critiques, les remarques et le reste. C'est difficile à admettre mais ça m'avait touché, blessé. Pour une fois que je me sentais belle dans une robe, ils avaient réussi à me dégouté de moi-même.
Lando s'arrêta net devant la grande porte et j'étais obligé de faire pareil si je voulais pas me prendre une douche. À ma grande surprise, il pris mon menton entre ses mains et planta son regard verdoyant dans le mien.
-Listen to me Lyndsay Leclerc. What these people have said is bullshit. You are beautiful Lyn, like every day and you know it. They hurt you, but don't let it happen. Show them what you are really worth, show them your superiority and your true character. Or you'll get walked on and the Lyndsay I know never lets herself be walked on.
(Écoute moi bien Lyndsay Leclerc. Ce que ces gens ont dit, c'est des conneries. Tu es magnifique Lyn, comme tout les jours et tu le sais. Ils t'ont blessé, mais ne te laisse pas faire. Montre leur ce que tu vaux vraiment, montre leur ta supériorité et ton vrai caractère. Ou tu te feras marcher dessus et la Lyndsay que je connais, ne se laisse jamais marcher dessus.)
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Une vie normal // Lyndsay Leclerc
Fiksi Penggemar⚠️C'est une fanfiction qui va tourner autour de la f1 mais pas besoin de regarder pour comprendre⚠️ Une vie normale... Qu'es que j'aimerais avoir une vie normale maintenant. Pourtant j'ai pas de quoi me plaindre. J'ai réalisé mon plus grand rêve, j'...