Chapitre 2

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Je tournais sur moi même en admirant les lieux et les personnes qui y vivent sourire aux lèvres.


- Magnifique !  Murmurais je envahi par l'émotion.





Je n'oublie pas que les faits peuvent être bien différentes du décors. Alors je reste sur mes gardes.  Alors que je me retournais pour faire face à ma tante et ma sousine  sourire aux lèvres,  elle me sourit en coin enjoué comme si elle connaissait déjà ma réaction.  Un homme se chargea de nos affaires alors que malgré le ricanement de la sousine moqueur je ne me laisse pas faire, je continue de sourire alors qu'on entrait dans le grand bâtiment, Elsa devant pour nous guider. 


Alors que nous marchons ensemble, tous le monde saluaient Elsa. C'est alors que je me doutais qu'elle était peut-être une fille populaire. Tous le monde semblaient la connaître. Quant ils la saluaient tout souriant  et que leurs yeux se posaient sur moi, de un ils perd sourire de deux ils ont un léger froncement de sourcils,  l'air étonné. Oui je sais qu'on se ressemble mais je ne vais jamais me laisser marcher sous son ombre. Et le regard qu'ils me lancent m'agace au plus haut point.  Déjà que je ne supporte pas la sousine eut ils en rajoutent.



Nous traversons presque la moitiée de l'établissement avant que nous n'atteignons une porte sombre au fin font du couloir qui doit être celle du bureau du directeur. Deux long banc étaient installé des deux côtés des mûrs du couloir qui se font face. Mis pour patienter. Elsa ne prit pas de temps,  elle s'installa sur celle de la droite alors que ma tante frappa deux coups à la porte sombre.  Quant on entendit un entré, elle ouvrit la porte en me jetant un regard pour que je la suive.




Avant de pénétrer l'enceinte du bureau je soufflait un coup. J'espère avoir affaire à un directeur général,  gentille et attentionnée même si les chances sont peu.



Quand la porte se referma derrière moi, j'étais tendus comme un pic. Je levais les yeux sur le bureau et encore une fois ma mâchoire faillit se dérober. Faut croire que cet endroit regorge bien des surprises.



Le directeur je l'imaginais vieux, avec de cheveux grisonnants,  des paires de lunettes sur le nez avec un regard autoritaire. Assit derrière son bureau en veste chocolate, gris ou carreaullés. Je ne m'attendais pas à çà. Bien qu'il soit en âge mûr l'homme devant moi n'était ni vieux ni jeune, c'est cheveux n'etaint pas gris mais blonds. Un blond très impressionnant,  en plus d'être longue et attachés en queue de cheval bas. Ses yeux, pas grande particularité, marron clair mais très impressionnant. Sa carrure athlétique et imposante assit derrière le bureau les mains croisés devant lui. Il était en chemise blanche et me scrutait avec insistance. Je me balançais d'un pied sur l'autre mal à l'aise et intimidé.



- Assis toi donc Lyra. Dit-il sur un ton avenant en me montrant la chaise juste en face de lui.



Je m'executais en faisant maladroitement grincer la chaise. C'est gêné et tendu  que je pris place.





C'est juste après qu'il commença son monologue. 

Rien ne sorti de ma bouche durant tous son monologue.  J'écoutais tranquillement c'est dires. D'après ce que j'ai compris la discipline est en première lieu le comportement que je dois adopter. Pas de soucis tant que personne ne vient m'embêter c'est OK. En deuxième lieu l'uniforme est obligatoire. Çà je le sais. Je ne dois pas rater un cours sauf si les raisons sont suffisamment convaincantes pour.  Je dois prendre les études au sérieux, toujours avoir de bonnes  notes. Il est pas interdit  d'avoir un copain mais les baisés ou les moments intimes sont interdites dans l'établissement scolaire.  Les bagarres, les insultes, tous ce qui est objets tranchant, etc.... Enfreindre une  de c'est règles nécessitera une grande punition ou un renvoi directe de la personne concernée.






Après m'avoir énuméré tout ce que je dois savoir il me donna un emploi du temps.




- Bien sûr il y a certains choses que que tu dois savoir mais je pense que ta soeur serait plus apte à te le dire. 




- C'est pas ma soeur.  Dis-je d'un ton froid qui me surprend moi même.


- Bien évidemment, je pense que c'est tous pour le moment.



Je me levais suivi par ma tante alors qu'ils se disaient au revoir. 



- J'espère vous revoir bientôt ma chère Rhonda.


Elle lui répond par un sourire accompagné d'un hochement  de tête.



Nous quittons le bureau alors que je peux  enfin respirer convenablement.  Elsa se leva à son tour.



- Vous en avez mis du temps,  je pensais qu'elle s'était évanouise à la vue du directeur.




J'aurais pu. J'évite de céder à ses provocations et la contourne pour passer. Je me retournais une seconde et aperçu ma tante la retenir et lui murmurer quelque chose de sévère avant de reprendre plus calmement. Elsa leva alors les yeux sur moi impassible voir en colère. J'attendis qu'elles finissent.  Quelques secondes plus tard Elsa passa devant moi en me demandant de la suivre,  je jetais un dernier coup d'oeil à ma tante qui me sourit telle une mère a sa fille avant de suivre la sousine.





Nous traversons la cours alors que nous nous dirigeons vers l'autre bâtiment à droite.



- Çà c'est le dortoir des filles et l'autre celui des garçons, celui en milieu est l'école. Ici il n'y a pas que le lycée, y'a aussi la faculté, chaque bâtiment possède six étages, sept si l'on compte les toits. M'explique-t-elle.


Je mettais nos différents de côté et  l'écoutais  attentivement car çà va dans mon intérêt. Nous Slalomons plusieurs couloirs avec des portes avant de s'arrêter devant une portant le numéro 45.



- Ici c'est ton dortoir, tu y dors avec deux autres filles, Elle pousse la porte qui n'était pas  verrouillé, elle comporte une salle de bain que tu vas devoir partager avec les deux autres,  trois dressing, trois lit, trois meubles c'est ainsi dans chaque pièce.





Je détaillais la pièce avec intérêt. Je pense que je peux y survivre  tant que j'ai mon propre lit.




- C'est tout ? Demandais-je fatiguer alors que j'ai envie de rester seul.


- Non,  le pire reste à venir, ce que je vais te raconter va sûrement te faire fuir et après il va te falloir survivre pour cette nuit si jamais tu reste.

Le chant des loupsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant