Bon...fini les jours de procrastination, j'ai passé trop de temps à échapper à mon devoir de poster ce chapitre. Du coup le voilà, en espérant qu'il vous plaise.
Bonne lecture ;)
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« Venez, vite !! » S'écria Raiponce en nous faisant signe d'avancer. On était samedi et comme l'avait prévu Anna, nous nous étions tous rejoint pour aller au cinéma. Anna, Raiponce et Mérida étaient surexcitées à l'idée de passer une journée tous ensemble, même si je suis presque sûre d'avoir entendu qu'Anna d'autant plus hâte de manger le pop-corn au caramel qu'offrait le cinéma. Quant à moi j'étais juste heureuse de quitter cet appartement sans vie et d'un ennui mortel.
« Ça va, le cinéma est juste devant, on nous piquera pas nos places » Calma Eugène, les mains dans ses poches.
« Ça, tu n'en sais rien » Répondit la brunette en plissant des yeux, le menaçant du regard et Eugène lui répondit par un rire. Les trois filles énergiques parlaient entre elles de l'intrigue possible de l'histoire. Kristoff était avec Eugène et discutait d'un certain match de football qui avait été diffusé la veille, ne laissant qu'Elsa et moi derrière.
« Ça va mieux ta côte ? » Me demanda soudainement Elsa avec intérêt.
Je souris à sa gentillesse et hochais la tête « Oui. Avec les médicaments j'ai moins mal. Mais maintenant la seule cause de ma mort chez moi serait l'ennui. Et avant que ça ne m'arrive je ne savais même pas que c'était possible » Suite de ça Elsa rit sous cape.
« Je ne sais pas ce que ça fait mais j'imagine ta peine. » Là elle s'agitait légèrement, ses joues légèrement roses. « Mais tu sais que si tu t'ennuies trop tu peux nous appeler..Avec des amis tout est moins ennuyeux » Le fait qu'elle fasse référence d'elle en tant qu'ami était une réjouissance et un sourire se formait inconsciemment sur mes lèvres. Mais à l'intérieur de moi je voulais tellement qu'il y ait plus, je voulais qu'elle m'appelle par des surnoms que seuls les amoureux faisaient. Je voulais pouvoir l'appeler ''mienne'' même si elle n'était pas ma possession.
« Merci. » Lui dis-je sincèrement. «Je garderai ça à l'esprit la prochaine fois » Et nous rentrions dans le cinéma. Tout de suite, l'air frais de l'extérieur nous faisait apprécier la chaleur dans le bâtiment. Je frottais mes mains ensemble pour me réchauffer tout en nous dirigeant vers le vendeur de ticket.
Après avoir pris les tickets, Anna, Kristoff et Mérida se sont proposés pour prendre les boissons et la nourriture tandis que Raiponce, Eugène, Elsa et moi gardions les places en étalant nos vestes sur les sièges. Je voyais déjà Eugène et Raiponce prendre leur disposition ; Eugène entourant son bras autour de sa petite amie et la brunette se collant contre lui. Une question me vint alors, me penchant vers eux, Elsa entre nous.
« Dites, vous êtes bien en couple vous ? » Demandais-je à Eugène et Raiponce. Il était évident qu'ils l'étaient d'après leur position, mais je voulais en être sûre.
Eugène fut le premier à répondre avec un sourire taquin. « Pour toi nous le sommes ? » Raiponce à ça, lui frappa avec un coup doux sur le torse et il se mit à rire.
« Bien sûre que nous sommes un couple, quelle question ! » Ajouta Raiponce avec fierté.
« Avec ce qui s'est passé entre Anna et Kristoff, je préférais demander » Raiponce ricana avec Elsa.
« C'est vrai que les deux ressemblent vraiment à un couple ! » Dit Elsa en souriant. Mes yeux ont grossi dans la constatation que je n'étais pas la seule à le penser et un sourire ornait mes lèvres.
« Ah voilà, j'ai cru que j'étais la seule à l'avoir remarqué. Et vous savez depuis quand ça dure ? » M'enquis-je. Je gardais pour moi la partie où Kristoff m'a avoué qu'il l'aimait. Je ne voulais certainement pas trahir son secret(pas si bien gardé si les autres l'ont remarqué) et risquer notre amitié. D'autant plus que c'était à lui de lui avouer en personne ce qu'il ressentait.
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Tu as changé ma vie
FanfictionAlors qu'il s'écoulait un mois après la rentrée du collège pour ma deuxième année, une nouvelle arrivée avait été annoncée. « Bonjour, je m'appelle Elsa Winters, ravie de faire votre connaissance » Dès que je vis ses lèvres d'un rose naturel bouger...