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Quand je courais je voyais quelque téléphone pointer vers moi. Mais alors qu'une personne vienne m'interpeller alors la.

-escuse moi?

Je me tourna, c'était une jeune femme, elle devait avoir mon âge.

-c'est... C'est bien toi qui sort avec Sebastian stan ?

Je n'avais même pas le temps de la contredire qu'elle continua.

-je suis contente pour lui, en plus vous aller trop bien ensemble! On peut faire une photo ?

Toujours pas le temps de dire quelque chose qu'elle mit son téléphone en mode selfie et pris une photo.

-merci, bonheur à vous !

Et elle réparti aussi vite qu'elle était arriver. Il s'est passer quoi la ? Je roula des yeux et continua mon chemin. Je sentais trop de regards sur moi, c'est vraiment insupportable. Pourquoi je l'avais embrasser ? Non ! C'est lui qui m'a embrasser ! Pas moi...

Je commençais à me dire que je devrais peut être m'éloigner de lui, juste un peu, mais c'est imposible.

-eh !

Deux filles venaient dans ma direction.

-c'est toi la meuf qui a embrasser Sebastian stan ?

Ah oui, deux petasses vraiment.

-euh je -

-tu ne le mérite pas ! Ça se fait pas d'embrasser les gens sans leur autorisation !

-pardon ?

-tu as très bien entendus connasse !

-je-

-eh ! Intervenu une voix d'homme deriere moi.

C'est pas possible, ils ont quoi à tous me couper quand je veux parler. C'est qui lui encore. Je tourna la tête et le vis, j'ai l'impression qu'il est partout lui.

-oh mon dieux !! Sebastian, nous sommes l'unes de tes plus grandes fans !!

-ah oui ? Vous ne devriez pas

-pourquoi ?

-vous n'aimez pas la personne que j'aime ? Alors je ne vous veux pas comme fans !

-mais ?!

Il ne repondi pas, me pris par le bras et me tira plus loin.

-lâche moi ! Lâche moi je te dis !

La colère montait en moi. A cause de lui je me fessais critiqué. Enfin je ne sais pas comment qualifier ça, mais c'étaient pas des compliments !

-eh eh doucment...

-Quoi ! Dis je une les larme au yeux

Pourquoi je est-ce que j'avais les larmes au yeux ?! Je ne suis pas aussi sensible !

-hey... Tout vas bien Charlie, ne pleur pas.

-je pleur pas !

J'avais dis ça en le poussant car il s'approchait de moi, comme pour me prendre dans ses bras.

-Charlie...

-quoi ! Aller dis moi ?

-je... Je sais pas quoi te dire.

-alors fou moi la paix!

Je le regardais une dernière fois dans les yeux et m'en n'allais.
Il me regardait partir au loin. Ses bars pandaient le long de son corps droit les épaule basses. Ses sourcils étaient légèrement froncer, il pincait, aussi, légèrement ses lèvres. Alors que je me retourna une dernière fois je vis belle et bien ses yeux briller et une larme couler le long de sa joue.

En rentrant chez moi je claqua la porte et me mis sur le canapé. Je me sentais mal de se que je venais de faire.

-Charlie ?

Ma sœur s'était installer à côté de moi.

-qu'est ce qu'il ne vas pas ?

-rien...

-aller dis moi

-c'est... C'est avec

-avec Sebastian ?

-oui...

-tu lui a parler?

-pas vraiment...

-comment ça ?

-bah on s'est '' croisés'' il a voulut parler, mais ça s' est pas vraiment bien passer. Je l'ai remballer si tu veux.

-c'est tout ?

-oui mais on partant, je l'ai vu et, il... Il pleurait pas mais y'avait une larme le long de sa joue.

-ducoup tu te sens mal maintenant ?

-c'est ça.... Je veux dire, imagine il m'aime et moi je lui parle comme de la merde, je m'en tape se qu'il ressent alors que ce que je suis entrain de lui faire je l'ai déjà subit et c'est pas génial.

-alor déjà c'est pas imagine. Il t'aime ça se voit !

-non il peut pas...

-et pourquoi pas.

-parce que

-parce que c'est pas une réponse. Je crois plutôt que, en te connaissant, tu crois que lui comme il est parfait, connue et tout qu'il ne te mérite pas car toi tu es comme tout le monde, ou un tumruc comme ça. Je sais pas se que tu t'imagine encore comme connerie.

-c' est pas des conneries

-oh que si ! Maintenant si tu te sent mal tu peut toujours aller lui parler.

-quoi !?

-tu m'as très bien entendue. Et enfait c'est pas que tu pourais, c'est que tu vas aller lui parler !

-mais

-y'a pas de mais aller.

-OK...

Je pincais mes lèvres en me levant. Je ne savais pas si s'était une bonne idées mais connaissant ma sœur elle n'aurait pas lâcher l'affaire.

 The Best HolidayOù les histoires vivent. Découvrez maintenant