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J'émerge de mon sommeil, toujours sur le canapé. Je regarde l'heure, 9h43. Je pourrai rester dormir encore un peu, ou même continuer ma nuit dans ma chambre, mais je n'aime pas me lever tard, ça me donne l'impression de rater complètement ma journée et de gâcher mon temps. Je vais voir rapidement ma mère dans la cuisine, qui boit son café sur le guéridon en face de la fenêtre, puis je décide d'aller prendre une douche.
Je me prépare ensuite pour aller en ville avec les garçons ; je mets un peu de mascara, m'habille, mets mes chaussures et prends un sac, puis je pars.
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Tanaka / Nishinoya : [t/p] !
En arrivant, je vois mes deux amis me faire de grands signes depuis l'autre bout de la rue. Je rigole et les rejoins.
[t/p] : Salut !
On commence à discuter et entre dans un fast-food, puis on commande et s'assoit à une table.
Nishinoya : Tu sais qu'on a encore pas arrêté de nous demander où t'étais !
Tanaka : Ouais ! Du coup on a dit à tout le monde que t'avais l'appendicite haha.
[t/p] : Ah ouais ? C'est marrant, j'ai dit la même chose à Tsukishima hier.
Les deux garçons se regardent, avec un air d'incompréhension, comme si je venais de parler dans une langue extra-terrestre.
Nishinoya : Tsukishima ? Tsukishima Kei ?
[t/p] : Bah... ouais ? Il m'a envoyé un message hier, pour savoir où j'étais. Pourquoi ?
Ils paraissent désormais encore plus étonnés qu'avant.
Tanaka : Excuse-nous, [t/p], mais c'est qu'on est tellement surpris.
Ils font mine d'être émus au larme. Cette fois, c'est moi qui ne comprend rien.
Nishinoya : Le truc c'est que c'est vraiment pas du tout son genre, de prendre des nouvelles.
Tanaka : *fait de grand geste dramatique* Tu dois être quelqu'un de si spécial à ses yeux...
Nishinoya : *marmonne* Que c'est beau... l'amour...
[t/p] : Je suis sûre que vous exagérer...
On vient nous servir nos plateaux, je prends en vitesse ma boisson et détourne le visage, pour cacher mes rougeurs.
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❝ 𝐟𝐞́𝐯𝐫𝐢𝐞𝐫 ஃ ᵗˢᵘᵏⁱˢʰⁱᵐᵃ ᵏᵉⁱ ❞
Fanfiction╭─────────── • ❝ 𝗦𝗲𝘀 𝗹𝗲̀𝘃𝗿𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲𝘀 𝗺'𝗲𝗺𝗽𝗲̂𝗰𝗵𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿 𝘂𝗻 𝗺𝗼𝘁 𝗱𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀. 𝗠𝗲𝘀 𝗹𝗮𝗿𝗺𝗲𝘀 𝗼𝗻𝘁 𝗰𝗲𝘀𝘀𝗲́ 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗹𝗲𝗿 𝗲𝘁 𝗷𝗲 𝘀𝗲𝗻𝘀 𝗺𝗼𝗻 𝗿𝘆𝘁𝗵𝗺...