Chapitres 23

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Nous rentrons sur ce pas à Poudlard,
Je garde le regard sur le sol sans me soucier que Ace est toujours entrain de marcher à mes côtés.

Depuis je suis totalement perdu, dans le temps comme dans les événements.
Je ne sais plus quoi ressentir, quoi penser, quoi faire.

Mes journées deviennent de longue épreuve à surmonter l'ennuie, je ne trouve goût à plus rien, elle me manques terriblement...

Elle était comme un emand, elle semble au premier regard, discrète et mal élever, mais une fois proche d'elle, elle trouve le moyen pour que tu devienne accro à elle.

En quelques jour je l'ai connu, et en une seconde je l'ai perdu...

              [ PDV de Robin ]

Nous étions plutôt assé gêné, aucun mot ne coupait ce silence interminable, j'avais envie d'y mettre un terme, mais que pourrais-je dire ?

Il termine par diriger son regard sur le sol un peu gêné, normal après ce qu'il vient de faire...

Zoro : alors tu as eût la réponse que tu attendais ?

Moi : oui,...merci...

Zoro : par contre chuis pas très fort en romance donc faut pas s'attendre à grand chose avec moi...

Il a sortie ça comme si nous étions ensemble depuis une semaine au moins, je le regarde et sourie.

Ça, c'était lui tout craché.

Moi : tent que c'est avec toi ça me va.

De nouveau le silence se réinstalle.

Zoro : on dit rien au autre ?

Robin : peu être pas pour l'instant.

Le sabreur se lève en et se dirige vers la sortie.

Moi : Zoro !

Il se retourne me regardant étonné.

Moi : je suis tellement heureuse.

Il me sourit avec un air plutôt rassurant, se retourne et sans un mot il continue son chemin.

Avec lui il ne faut jamais s'attendre à de la sympathie trop marqué, cependant il était belle et bien amoureux de moi.

J'étais très satisfaite mais je m'en suis rendu compte que une fois qu'il est parti, toute les émotions remonte, de la gêne, de la joie, de la peur,...

Mais pourtant je sourie toujours autant sous mes main qui recouvre mon visage plus que rouge.

                    [ PDV de Ace ]

Les cours avait repris, tout était redevenir dans l'ordre sauf Ame.
Elle ne sourit que rarement et ne supporte pas entendre le nom de sa chère amie décédée.

Elle était encore triste et ne me parlait que très peu, pourtant j'ai tout tenté pour la faire rire ou sourire mais rien à faire, elle n'est plus la même.

Même si c'est dernier temps elle est redevenu un peu plus sociable, je n'étais pas capable d'attendre trop longtemps.

Je crois que vous connaissez ma patience, et bien on arrive rapidement au limite.

Maintenant nous avions cour de phisque, j'étais en binôme avec kidd.

Nous marchons dans les couloirs avec Ame, elle fixe toujours le sol, aaahhhh ce que j'ai envie de lui arrange cette mine pour lui remplacer par un sourire !

Nous voilà devant la salle, elle entre avant moi et sans s'arrêter elle continue jusqu'à sa place, à côté d'elle était la place vide de Gaby, elle n'y jette même pas un oeil et s'assoit.

Moi je reste debout comme un clochard à la regarder.

Sabo : elle ne va pas mieux hein...

Je fût interrompu dans mes pensées par la voix de Sabo derrière mes épaules, je sursaute et me retrouve vers lui.

Moi : pas beaucoup mieux, nan...

Sabo : tu as cas lui dire.

Moi : lui dire quoi ?

Sabo : bah à ton avis, ce qu'elle attend de toi bien-sûr !

Il me regarde l'air fâché que je n'ai pas compte de quoi il parlait.

Moi : Arrête de bouder, c'est quoi ce qu'elle attend de moi ? J'ai vraiment tout essayé pourtant !

Sabo : nan mais quel ignorance tu as !

Moi : ah oui ignorance ?!

Prof : un peu de silence !

Je me retourne énervé, puis m'asseois.
Kidd n'est pas encore là mais il ne devrait pas tarder, à moins qu'il sèche encore .

Prof : bon, je demande le silence s'il vous plaît.
Bien, aujourd'hui nous allons travailler sur la composition de....

Pendant que la professeur explique je sens une boule de papier arrivé sur mon dos.

Je me retourne, vois le regard de Sabo qui dit "ce-n'ai-pas-moi-qui-est-fait-ça".
Je me baisse et ramasse le bout de papier qui avait glisser jusqu'à sous ma chaise.

Mince, j'ai du mal à l'attraper, je suis pas contorsionniste aussi !

Bon au bout de quelques sex j'arrive enfin à la chopper au bout de mes doigts.

Discrètement, j'ouvre le papier derrière ma trousse, ce qui fait un peu de bruit bien évidemment.
Mais heureusement personne ne remarque, je passe mon regard un peu partout autour de moi puis dirige mes yeux sur le papier.

" avoue lui t'es sentiments idiot ! "

Au purée de pommes de terre ! Ça c'est de Sabo tout craché, j'ai une envie folle de me retourner et de lui mettre un Hiken dans la face mais j'ai tout de même un peu de respect pour le cour qui se déroule.

Au bout de quelques minutes de cours ou je n'avais bien évidemment pas écouter mais plutôt créer toute sorte de scénario pour lui dire.
Je la regard de temps en temps, son regard est toujours vide, ça me fait mal au coeur de la voir comme ça.

Prof : bon, maintenant que vous avez compris mettez vous par binôme.

Bien évidemment Kidd avait sécher, résultat je me retrouve seul, bah oui, Fallait pas se mettre avec un mec qui sèche un cour sur deux.

Prof : Ame, tu peux te trouver un autre binôme comme Gaby n'ai plus parmi nous...

Soudain une chaise tombe, je me retourne vers Ame, elle était debout devant sa table où ses deux main était plaqué contre, sa chaise était tombée en arrière.

Elle commence à se diriger vers la porte de sortie, ça ne sens pas bon du tout, tout ça.

Je me lève vite pour la rattraper par réflex, d'ailleurs ma chaise aussi tombe à la renverse dans le même élan.

Moi : Hé ! Ame attend !

Je cour pour rejoindre la porte, elle était déjà sortie.

J'en avais plus rien à faire du cour maintenant, d'ailleurs la professeur c'était stoppé dans son cour mais n'avait rien dit.

J'ouvre en grand la porte qui se referme avec fracas derrière moi.
Je tourne la tête de gauche à droite des couloirs, et je l'aperçois enfin, les mains en point et son pas qui s'accélère.

Moi : Ame ! Tu vas où ?!

Elle ne me réponds pas même pas elle se retourne.
Je décide de courir pas la rattraper, j'arrive à serrer son poignet dans ma main droite, sans faire attention je la serre plutôt fort.

Soudain elle se retourne et retire sa main rapidement comme si j'avais la peste.

Ame : mais tu fait quoi là !? Laisse moi tranquille !

Moi : Hé, calme toi, tout va bien .

J'essaie tent bien que mal de garder mon calme et de la rassurer avec ma voix la plus douce mais connaissant mon talent c'était pas réussi.

à l'infini Où les histoires vivent. Découvrez maintenant