Chapitre 28

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Le soir venu.

Je rentrais dans la chambre en compagnie de notre chère koala, je n'ai  d'au pas pensé à refermer la porte derrière moi mais koala l'a fait et est resté placée contre celle-ci.

Moi : alors ?

Je lui fait un clin d'oeil tout en m'allongant confortablement les bras derrière ma tête sur mon lit.

Koala : je pense que tu t'en doutais...

Moi : que tu veut qu'il t'invite ?

Koala : hmm...

Moi : il le fera, fait moi confiance.

Koala : tu ne peux pas en être aussi sur, impossible.

Moi : ah bon ? Et pourquoi ?

Koala : il m'évite de plus en plus, je ne sais pas ce que j'ai fait de mal, je me sens coupable ...

Moi : donc tu te sens coupable de quelques chose dont tu es même pas sur d'avoir fait.

Koala : oui...

Moi : ma chère, ça s'appelle être amoureux.

Koala : QUOI ?! Nan, pas Sabo, le connaissant...

Moi : je pourrais dire la même chose mais c'est logique.

Koala : comment ça logique ?

Elle se redresse et croise les bras pour me regarder avec un air insistant.

Moi : tu ne vas pas me dire qu'il évite son amie avec timidité pour s'amuser.

Koala : bah...

Moi : bon, pour tout te dire il a l'intention de te demander.

Koala : sérieux !

Moi : bah oui !

Koala : j'ai eût tellement peur !

Moi : ne me dit pas que toi aussi tu es Amoureuse !

Koala : nan, c'est un ami,...

Moi : tu es sur ?

Dans mon coeur : aïe, je suis désolée Sabo mais tes sentiments son pas réciproque...

Moi : comme un Ami ?

Koala : oui , c'est bien ça qui m'embête, si il est amoureux je...

Moi : attention ! Je ne suis pas sûr qu'il  est amoureux mais autre dit, je le pense sincèrement.

Koala : écoute, on verra bien.

Moi : tu as raison, faisons avec le talent et on verra après.

Koala se décolle de la porte pour rejoindre son lit.

Moi je reste là à fixer le plafond depuis un moment.

Au final mes yeux se ferment rapidement et je sombre dans ce qui s'appelle un sommeil profond.

                  [ PDV de Ace ]

J'étais allongé les bras derrière ma tête à fixer le plafond pendant que Sabo détache sa chemise bouton après bouton devant son miroir.

Je soupire après l'ennuie, j'avais envie de faire quelque chose mais bon il est presque 22h je ne peux plus rien faire à cette heure ci.

Sabo : tu lui as dit comment...

Moi : hein ?

Sabo : comment tu lui as demandé à Ame ?

Moi : ah pour le bal !... Je sais plus.

Sabo : t'es pas croyable, allé tu peux quand même essayer de te souvenir nan ?

Moi : hmmm... ah si, je l'ai vue juste après l'annonce et on c'est regardé et...Je crois que on c'est tout dit .

Sabo : sérieux ? Rapide pour une annonce...

Moi : pourquoi tu demandes ça ?

Sabo venait de terminer de deboutonner sa chemise et c'est alors assis sur son lit en soupirant.

Sabo : bah,...j'avais pensé à demander à koala mais..

Moi : tu es amoureux ! Eurêka ! Je vais devenir oncle et puis après...

Sabo : JE NE SUIS PAS AMOUREUX D'ELLE !

Moi : quoi... ?

Sabo : justement, je ne veux pas que tout le monde crois ça mais j'aimerais lui demander parce que c'est ma meilleure amie.

Moi : ah ! Bah...  lui demande pas.

Sabo : t'es sérieux, je pensais que tu pourrais vraiment m'aider, je sais même pas comment t'as fait pour être en couple toi.

Moi : bah...Moi non plus je sais pas.

Sabo : comment ça tu ne sais pas ?

Moi : tout est passé si vite, je ne veux pas dire que je regrette, au contraire, mais c'est la première fois et je n'ai que à peine eût le temps d'y goûter.

Sabo : goûter à quoi ?

Moi : à un amour pas encore réciproque, enfin j'étais trop courageux. Et puis j'en est bavé de toujours me lancer et de jamais arriver à lui dire, faut dire qu'aujourd'hui je suis bien content d'y être arrivé.

Sabo : je vois...

Moi : t'as un costume toi ?

Sabo : pour le bal ?

Moi : ouais.

Sabo : bah oui.

Moi : moi je me rappelle plus.

Sabo : t'en as un crétin !

Moi : à oui ?

Sabo : nan mais je rêve ou le narcoleptique n'a plus de mémoire ?!

Moi : ah si ! C'est vrai j'en est un !

Sabo : pff...bon bonne nuit.

Moi : bonne nuit,...dit Sabo...

Sabo : hum ?

Moi : Luffy, il dansera avec quelqu'un tu crois ?

Sabo : avec le buffet éventuellement mais se serait étonnant que il danse déjà.

Moi : tu as raison...

à l'infini Où les histoires vivent. Découvrez maintenant