Poudlard , est peut-être le deuxième lieux le plus sûr après Gringott . Mais est-ce bien vrai? La peur peut-elle influencé nos choix et nos désirs ? Sommes nous obligé de suivre le parcours sombre de nos parents , ou somme nous près à le faire par a...
Le festin était passé et j'avais récupéré la cape de Harry , nous étions le 17 Janvier et l'hiver était à son apogée , le ciel noir , les nuages cachaient les étoiles et la neige blanche recouvrait les sols et les arbres . J'avais rejoint la salle commune qui était encore plus sombre que le reste de l'école seul le feu de la cheminé éclairait la salle et elle était plus calme que d'habitude , aucun rire au sourire , rien . Les élèves présents étaient juste assis ou adossés à un mur de la salle et regardaient le vide autour d'eux , mais aucune parole , aucune fumée de cigarette ni un verre d'alcool . Mon départ prochain était surement la cause de ce changement si brutal . Alors que je me plaçais fasse à une fenêtre regardant ainsi les algues du lac noirs dansaient je plaçais ma tête contre la fenêtre , me laissant apercevoir mon reflet dans celle-ci . C'est arrivé à un point où je me demandais à moi même si j'étais déjà morte . J'avais l'air malade , mes yeux ne brillaient plus et mes membres tremblaient sans cesse , les cernes creusaient et violettes coloraient ainsi mon visage grisâtre , je semblais déjà inhabité . Je ne savais pas pourquoi je me détériorais ainsi si rapidement alors que j'ai toujours été en parfaite santé , mais je savais que ça avait un lien avec elle , à ce jour j'étais son portrait craché , j'étais comme elle était au temps où je l'a voyais souvent .
Moi :Ça ne sert à rien de faire semblant , j'ai longtemps fait semblant aussi et je sais que ma mort ne vous fera rien .
22h00 Je ne savais pas si c'était les effets secondaires de la Mort qui approche mais maintenant même mon cœur devenait fade et monotone, je ne ressentais plus rien de positif ou aucune émotion de bonheur et ma colère prit rapidement le dessus . Je me décalais de la fenêtre énervé et saoulé avant de commencer à monter les marches pour rejoindre mon dortoir .
Moi :Alors allez-y riez souriez et embrassez vous , votre silence de changera rien alors regardez je pars je rejoint mon dortoir alors dès que la porte se refermera vous n'aurez plus besoin de faire semblant .
22h30 Depuis longtemps je n'avais pas retouché mon carnet en cuir , car j'avais du soutient et des amis à qui parler et me confier . Sauf que je n'avais pas envie qu'ils s'inquiètent , cela faisait longtemps que je ne m'étais pas sentis seule ainsi je commençais a me refermer peu à peu alors je le sortis et retirais je peu de poussière qu'il y avait dessus avant de l'ouvrir et d'écrire et je ne sais pourquoi mais j'avais écris la date un gros comme pour marquer la fin , et pour dire implicitement que plus jamais je n'écrirai plus :
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23h00 Une fois terminé je remettais le carnet dans le tiroir comme si rien ne c'étais passé je m'adossais à la chaise du bureau réfléchissant à qui avait bien pu me sauver lors de ce match et qu'elle femme avait criée mais je n'avais aucune piste et aucune idées , surtout que toute les personnes présentes ont dit qu'aucune femme n'avait crié .
J'étais resté comme ça assise regardant fixement regardant les aiguilles de l'horloge tourner regardant l'heure à chaque minute qui passait, 00h00 , déjà minuit , un nouveau jour commençait déjà , le 18 Janvier 1997 . Ma valise était prête pour le lendemain , aujourd'hui. J'ai l'impression de voir des ombres passer autour de moi et chaque ombre je me retourne et réalise qu'il n'y a rien . Aujourd'hui allais sûrement être le jour le, plus difficile de ma vie et celui où je vais le plus pleurer . On m'avais avait autorisés à passer un de mes derniers jours avec ma famille , mais comment dire . Plutôt ma nouvelle famille .
