- Eva : Ça avance pas.- Sérieux il t'en veut toujours ?
- Eva : Il veut pas accepter que je suis plus un bébé en faite.
J'étais avec Eva , qui était arrivé il y'a près d'une heure a la maison.
- T'as grossi heun.
Elle avait pris des fesses et des hanches , mais que ces parties genre. Et il m'est arrivé la même chose a l'instant même ou j'ai commencé à coucher avec Hussein.
- Eva : Ouais je manges bien.
- Hum d'accord.
J'ai même pas cherchée à aller plus loin , si elle voulait pas me dire j'allais pas forcer et m'immiscer dans sa vie privée. Je mourrais juste d'envie de lui dire , si c'était ce que je pensais , de faire attention niveau contraception et tout mais je pense qu'avec Armandine elle doit avoir une très bonne idée de ce qu'il se passerait dans le cas contraire donc bon.
- Eva : Ton voisin.
- Qu'est-ce qu'il a ?
- Eva : Tu l'as déjà vu sans ses gros costumes ? Il est incroyable.
- Non merci.
- Eva : Ah je comprends.
- Tu comprends quoi ?
- Eva : L'amour t'empêche d'apprécier la beauté d'autres hommes qu'Hussein.
- Je t'arrête, je trouves des hommes beau et t'as peut-être raison mais ça m'intéresse pas quoi.
- Eva : C'est comment avec Hussein d'ailleurs ?
- Ca va , même si on se voit de temps en temps seulement pour l'instant.
- Eva : Pourquoi ?
- Quand c'est trop intense , pour ne pas tout gâcher vaut mieux ralentir la cadence.
- Eva : Je vois.
Elle est restée près de trois heures avec moi avant de rentrer. Dès qu'elle est parti je suis aller me préparer parce qu'aujourd'hui je sortais avec Keenan , pour une fois depuis des mois. Une fois prête, j'ai vérifiée que tout était fermée avant de sortir pour le rejoindre.
- Allô ?
- Keenan : T'es où ?
- Y'a marqué que j'arrive dans 30 minutes.
- Keenan : D'accord je t'attends.
- On va où ?
- Keenan : Une fête familiale, fallait bien que je présente ma petite soeur a l'ensemble de ma famille.
- Oh je suis timide et tu le sais très bien Keenan.
- Keenan : Ça le fera Abla Saran t'inquiète pas.
- D'accord j'arrive.
J'avais déjà rencontré une partie de sa famille , mais l'ensemble , jamais. En plus que je prenais des années pour m'intégrer , je le sentais à peine. Dès que je suis arrivée j'ai vu une grande maison et alors que j'appelais Keenan depuis des minutes pour qu'il puisse venir me chercher , il me répondait même pas. J'ai donc pris mon courage à deux mains avant de sonner.
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Abla , la vie en solitaire.
ActionAvoir de la douleur, c'est vivre, c'est en être, c'est y être encore. Abla Saran.