- Hussein : Je t'ai nourri et je t'ai créé Reda , tu devrais m'appeler papa.- Reda : Plutôt crever sale fils de pute.
Encore une fois depuis trois quarts d'heure , les poings d'Hussein venaient de fortement entrer en contact avec les joues de Reda. Il l'avait complètement défiguré , Reda avait le visage gonflé , l'arcade ouvert et toutes les cinq minutes il crachait du sang sur le sol , c'était horrible.
- Reda : C'est à cause de lui que t'es comme ça et tu vois toujours pas de problème ?
- Hussein : Lui parle-
- C'est pas à cause de lui.
- Reda : La personnes qui t'a tiré une balle , elle en voulait à Hussein non ?
- Tu sais pas ce que tu racontes.
- Reda : En tout cas , tout ses ennemis de merde ont capté que ce gros salaud sans cœur avait trouvé chaussure à ses pieds. Je pourrais tous te les citer , mais ça serait beaucoup trop long. Sais-tu combien de famille il a détruit ? Combien de personne il a tué , ou même qu'il continue à tuer ?
Alors que je me noyais dans ses mots , Hussein a posé son mégot de cigarette encore allumée sur les lèvres de Reda , ce qui lui a valu un petit soupir de douleur.
- Hussein : Tu parles trop.
- Arrête Hussein c'est bon !
- Hussein : Aprés ce qu'il a fait ?
- Tu lui as même pas laissé le temps de s'exprimer.
- Hussein : Peu importe , c'est pas justifiable.
- Je le sais.
Marre d'être assise , je me suis redressée à l'aide du canapé.
- Pourquoi t'as fais ça ? Dis-je à Reda.
- Hussein : Tu m'as pas entendu ?
- Je ne t'écoutes pas toi , tu le touches plus tant qu'il a pas finis.
- Reda : J'aurais jamais cru qu'un jour tu puisses laisser une femme décider pour toi Hussein. Je pensais que c'était que des trou pour toi , que tu l'es baisé et puis basta , pas que tu tomberais amoureux-
Je lui ai pas laissé finir sa phrase , j'ai saisie la première chose qui était à proximité, c'est à dire la télécommande, avant de la lui jeter dans la gueule. Déjà que j'étais bien gentille de retenir Hussein de le frapper , il allait pas commencé avec ses remarques mysogynes.
- Hussein : Je t'ai dis faut lui baiser sa mère.
- Laisse le juste s'expliquer.
- Reda : Hussein sait déjà.
- Hussein : Je sais quoi moi ? Dit-il en lui lançant un mauvais regard.
- Reda : Tu sais très bien pourquoi j'ai fais ça.
- Hussein : Continues avec ton suspens à deux balle et le mégot je te l'enfonces au fond de l'œil.
- Reda : Il t'a dit qu'il pleurait tout les jours à l'école ce petit fils de pute ? Dit-il en me regardant dans les yeux.
- Et alors ?
- Reda : J'ai été le premier à pas me moquer de sa maladie de merde , c'était devenue mon frère.
- Hussein : Bah pourquoi tu me fais le scar ?!
- Reda : À cet époque tu te rappelles pas de comment j'étais ?
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Abla , la vie en solitaire.
ActionAvoir de la douleur, c'est vivre, c'est en être, c'est y être encore. Abla Saran.