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2 mois plus tard.




- Lui : Jamais tu ne parleras de ce qui se passe entre nous (...) t'as tellement plus que toute les femmes à qui j'ai eu à faire (...) tu veux que cela arrive à ta chère cousine ? (...) je me retiens de te la mettre , j'ai envie que le jour J tout soit parfait.








Mes pleurs , ma haine , mes larmes , sa soif de sexe , ses mains , ses baisers volés, ses attouchements , tout cela faisait 1 an.







Il a enlevé ma culotte et il a commencé à me caresser. Même si je me débattais , d'une main il me touchait et de l'autre il me caressait la joue gauche avec le dessus de son pouce. Il a enlevé son caleçon avant de me forcer à lui faire une gâterie , ma bouche était si petite par rapport à ce qu'il avait entre les jambes.




- Lui : T'es parfaite.




Sa main caressait mes cheveux au dessus de mon crâne au même rythme que les mouvements de son corps , je ne pouvais que respirer par le nez pour aérer mes poumons . Je pleurais à chaude larmes alors que celui-ci prenait son pied. Je sentais du vomi dans ma bouche et son objet qui me détruisait intérieurement.







Je n'arrivais à penser à autre qu'à son sexe à l'intérieur de moi. Ses grognements de plaisir, ses doigts qui caressait mon visage , je n'avais rien oublier.





- Sephora : Tu viens manger ? Dit-elle en entrant dans ma chambre.

- Non.

- Sephora : Ton père à encore appeler.

- Je veux pas le voir , ni lui, ni personne.





Elle m'a sourit tristement avant de fermer la porte.






- Lui : Tu me rends fou.



Il a glissé ses doigts dans ma culotte alors que mes larmes coulaient , encore et encore.


- Lui : T'aimes bien ce que je te fais , dit-il en me caressant, est-ce que tu sens le plaisir que tu me donnes , l'effet que t'as sur moi , dit-il avant de frotter son sexe sur mon derrière.




Le peu que j'avais manger à la cantine venait de se retrouver sur le sol.



- Lui : Tu fais chier putain Abla , dit-il avant de s'éloigner.

- Je-

- Lui : J'en ai rien à foutre , tu vas me trouver les dames de ménages et tu vas me nettoyer tout ce bordel.



Je me suis empressée de sortir dans la salle dans laquelle on se trouvait mais il m'a retenu par le bras .





- Lui : Je n'abandonnerais jamais , tu es à moi Abla.







« Je n'abandonnerais jamais » , cette phrase résonnait dans ma tête , et si à la fin de sa peine il revenait ? Cette pensé me faisait froid dans le dos. À la tristesse s'ajoutait le fait que Chris m'avait annoncé que mon père avait réapparu et qu'il voulait ma garde exclusive.











Abla , la vie en solitaire.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant