L'homme qui m'a transformé (Is it love Colin Tome 1)

Chapitre 32: Mise au point et secret

Point de vue de Dolorès:

Je viens d'atterrir avec Esteban et Rafael à l'aéroport de Madrid. Nous somme actuellement dans un taxi qui nous conduira devant une maison ou se trouve à environ un kilomètre de là, un vieil entrepôt. C'étais mon repère et notre QG pour le moment.

Le gang de papa se réuni mardi prochain. Nous avons pile poil une semaine pour mettre notre plan au point. Nous seront au complet jeudi et les armes viennent de chez moi. Je ne vais pas attendre qu'ils soit tous là. Je doit me préparer et commencé à donner mes consigne. Je dit à Esteban et Rafael de me suivre dans la pièce qui me servait de bureau et aussi de chambre.

Esteban: Alors Dolorès? C'est quoi le plan?

Moi: Pour l'instant le plan n'est pas complet. J'ai besoin d'information supplémentaires et pour ça, je vais avoir besoin de vos service.

Esteban: Ok Dolorès mais j'ai une question. On va pas faire venir une centaine d'homme en taxi, qui se balade avec des mallettes remplis d'armes.

Moi: J'ai dans ma valise les clé des vannes de papa. Il ne sont pas garés loin de l'aéroport et il y en a quinze qui peuvent contenir une dizaine d'hommes chacun. Ils arrivent en deux fois, ils auront suffisamment de place.

Esteban: T'as pensé à tout.

Moi: Toujours. Bon maintenant Esteban tu vas défaire tout ton bordel informatique et tu vas m'aider. Tu as le numéro de Colin, je veux que tu surveille ses activité informatique sans discontinuité.

Esteban: Compris.

Moi: Rafael, tu vas avoir plusieur rôle à jouer, mais tu en es capable. Sur le terrain et quand je te le demanderais, car on sera seul, tu m'accompagneras. Je te tiens met aussi chef de groupe de celui qui arrivera jeudi. TOUT les ordres ne viendrons que de moi. Je ne passerais que par toi.  Je veux aussi que tu aille me faire un tour complet de notre QG provisoire.

Rafael: Entendido! (Compris!)

Moi: Parfais. Ranger vos affaires dans une pièce.  Rafael, ta première mission.

Je lui tend deux liasse de deux mille dollars.

Moi: Va les changer en euros. Esteban et moi, surtout moi, sommes trop connu du gang pour nous promener tranquillement en ville. Esteban t'a fais une liste. Il y a un centre commercial à un kilomètre et demi d'ici, va lui acheter ce dont il a besoin. Il y a un arrêt de bus pas loin de là qui t'emmèneras juste devant le magasin. Une dernière chose, ne parles quand Espagnol. A plus tard.

Et Rafael s'en va. Je m'en veux de lui demander de jouer le coursier, mais les gens connaissent mon visage. Dès qu'il me verront ça va jazzer et remonter jusqu'à lui. J'avoue que j'angoisse à l'idée de revoir ce chieur, mais je n'ai pas le choix. Cet enfoiré à foutu ma vie en l'air, il va le payer. A, je t'attend de pied ferme.

Moi: Esteban.

Esteban: Ouais?

Moi, J'vais te mettre dans ma chambre. C'est la plus sécurisé de tout cet entrepôt moisi. Je te lâche pas d'une semelle.

Esteban: On va dormir dans la même chambre?

Moi: Ouais. J'te lâche pas d'une semelle. Maintenant au travail!

Il acquiesce et commence tout ses branchement pour son matériel informatique. Vive les multiprises et merci Ryan d'avoir réussi à nous faire échapper au portique de sécurité. On aurait été dans la merde avec les armes.

Esteban: Heu...Dolorès?

Moi: Ouais?

Esteban: Ca y'est, il commence à se douté de quelque chose.