L'homme qui m'a transformé (Is it love Colin Tome 1)

Chapitre 33: A l'attaque !!!

Point de vue de Dolorès:

C'est le moment de passer à l'attaque. Je rentre avec mon équipe à pas de loup par la porte au Nord, qui est aussi la porte principale.  On entend des voix aux loin. Surement celle des gens du conseille. Il n'y a aucune pièce ici. Nous arrivons à un interstice. Je jette un coup d'œil furtif et vois trois hommes au qui garde les portes. Il y en à trois et je sais laquelle nous devons prendre pour accéder à la réunion et au bureau. Je veux faire un maximum d'économie de balles et je décide de les prendre par surprise. Je prend une de mes dagues à ma ceinture et la balance dans la tête de l'un des trois gars. Surpris, ils tournent la tête vers leur compagnon et ne font pas attention à nous. Un de mes gars tue les deux autres d'une balle dans la tête et nous continuons notre progressions après avoir vérifié les autres pièces, mais non, personne.

J'entend des coups de feux et des cris, ça y'est, l'attaque à commencé. on ne peut plus faire marche arrière. Je garde deux de mes hommes avec moi et envoie les autres en renfort à Rafael, Hugo et Juan. Il faut que je trouve un moyen pour arrivé au bureau de A. le plus discrètement possible. Nous sommes dans la salle de réunion et tirons sur tous ce qui bouge. Je me cache derrière une caisse pour rechargé et en profite pour appeler Esteban.

Moi: Esteban, c'est moi.

Esteban: Ouais, je sais. Besoin d'un coup de main?

Je sens qu'on approche dans mon dos. Je me retourne d'un coup, et, avant avant qu'il n'ait le temps de faire quoi que ce soit, j'arrache l'arme des mains de mon ennemie, lui attrape les cheveux et lui tranche la gorge.

Moi: S'cuse Esteban, un invité indésiré.

Esteban: Ouais, je me doute. Alors, je peux faire quoi pour toi?

Moi: Tu vois où je me trouve.

Esteban: Ouais, t'es caché derrière des caisses.

Moi: C'est ça. Je besoin de ton aide pour accéder à la porte du bureau le plus discrètement possible.

Esteban: Attends, je regarde.

Je patiente un instant et il reprend la parole.

Esteban: Ecoutes, ça va être compliqué de passé discrètement si tu reste au sol.

Moi: Alors je fais comment! Je passe par les airs?

Esteban: Exactement.

Moi: Mais t'es con ou quoi?! Je sais pas encore voler je te signal.

Esteban: Je sais. Mais si tu te débrouille bien et que tu a encore l'équilibre de tes cours de gym, alors ça devrait le faire. Pas loin de là où tu te trouves, y'a un tas de caisse à quelque pas de toi sur ta droite, il monte suffisamment haut pour que tu te déplace sur les poutres.

Moi: T'es taré mec, et j'adore ça chez toi.

Esteban: Je sais, maintenant fonce.

Je le laisse ce remettre à son travaille et progresse vers les caisses. Je tue les quelques personnes qui m'attaque. Il me connaissent et savent que je suis leur cible principale, les autre il s'en cognent. Il sont de plus en plus nombreux, mais j'arrive à gérer, comme toujours. D'un coup, je suis prise d'une nausée. Je m'arrête donc un instant. Une vive douleur me prend alors à la jambe, on vient de me tirer dessus. Je fais abstraction de la douleur et tire un balle dans la tête de celui qui m'a fais ça. Putain de nausée! Depuis dimanche il m'arrive de vomir ou d'avoir des nausées. J'dois avoir choper une merde qui passait par là. En attendant, même si je me sens mieux, je pisse le sang. Je me cache quelque seconde, et avec mon couteau enlève la balle logée dans ma chaire. Je déchire la manche de ma veste et m'en fait un garrot de secours. Je me relève avec mon bandage de fortune et fini par arrivé à destination. Je grimpe du mieux que je peux avec ma jambe blessée. Une fois en haut il faut que je fasse un léger saut afin de pouvoir agripper la poutre. Je fais fis de la douleur et donne une impulsion. Ca fait mal, mais je ne montre rien. Je réussi a me hisser avec difficulté à cause de ma blessure. Je prend la direction du bureau quand quelque chose me vient en tête. Comment je vais redescendre. Je réfléchie à toute vitesse et vois un autre tas de caisse. Il est plus bas que celui que j'ai escaladé pour marché sur les poutre, mais avec une bonne réception ça devrait le faire. Je sens soudainement quelque chose frôler mon bras gauche. Je le regarde et un filet de sang infime s'en échappe. Je regarde d'où vient l'auteur de cet acte, et vois qu'il s'agit d'un jeune homme châtain au yeux bleu clair avec une barbe naissante légèrement rousse. Je ne le connais pas. Surement un mec de A. Sans me poser de questions, je lui tire une balle en pleine tête. Le coup de feu attire d'autres homme que je met à terre aussi, mais ils arrive de plus en plus nombreux. Je vois Hugo au loin et lui demande du renfort. Avec quelques un des membres de son équipe, il me vient en aide. Je continue ma progression en toute discrétion. Une fois au dessus des caisses, malgré la douleur bien présente dans la jambe, je saute de la poutre et effectue une réception parfaite malgré une grimace de douleur qui apparait légèrement sur mon visage. En quelques enjambés je suis devant la fameuse porte. Je l'ouvre d'un violent coup de pied, mon glock en main. A. est assis sur la tranche de son bureau et me regarde avec grand sourire, les bras croisés.