( Train - Hey Sous Sister )
- Tu t'en rappels, la première fois qu'on a dormi tout les deux dans le même lit, à l'hôtel ?
Je souris en repensant à ce moment. Harry venait de finir son premier concert à Londres, et comme moi je suis arrivé un peu trop tard à sa tournée, je n'ai pas eu de chambre à l'hôtel alors j'ai du dormir dans le lit d'Harry. Je repense à ce moment, j'avais même fait un rêve assez spéciale qui m'avait chamboulé. Je regarde Harry, sa tête est posée sur mes cuisses, et le reste de son corps est allongé sur le siège de l'avion. On vole, on vole entre les nuages fins. Ce n'est pas la nuit et je n'aime pas voler le jour mais je ne peux pas changer le planning d'Harry alors je me tais. De toute façon, même si je n'ai pas d'étoile à admirer quand on vole la nuit, j'ai Harry a regarder, c'est beaucoup plus fascinant.
Je caresse sa joue en le regardant. Il sourit, un sourire qui prend toute sa mâchoire, pas un sourire qui me prouve qu'il est heureux, mais un sourire qui me prouve qu'il est amoureux. C'est un sourire qui accélère les battements de mon coeur. J'hoche la tête pour répondre à sa question et il se redresse. Ma main qui est sur sa joue glisse et tombe sur sa cuisse. Il s'approche doucement de moi, avec un regard hésitant, mais un sourire chercheur. Mes joues rougissent, heureusement que Liam et Zayn dorment sur les fauteuils à côté de nous, et que Paul ne nous voit pas puisque son siège est derrière le notre. Je ne sais pas ce qu'il a derrière la tête, mais je ne le sens pas vraiment.
- Je ne sais pas de quoi tu avais rêvé mais, mais tu gémissais mon prénom, il chuchote, près de mon visage.
J'avale difficilement parce que je suis tellement mal à l'aise que ma gorge se serre. J'avais rêvé que Harry s'était allongé sur mon dos, et qu'il touchait ma peau en embrassant ma nuque. Je crois que je deviens dessuite blanc pâle. Depuis qu'on a fait l'amour il y a une semaine, Harry aime me provoquer, ou me troubler avec des phrases ou des gestes qui on un rapport avec ce qu'on a fait. Ça me chamboule, j'en rougis mais j'en rigole, parce que je suis heureux et que rien peut me rendre malheureux, sauf ma maladie.
- Je, je ne me rappel plus de quoi je rêvais, je mens, hésitant.
Je ne le regarde pas, je regarde le soleil à travers le hublot. Je n'aime pas lui mentir, mais là, je ne peux pas lui dire la vérité tellement elle me met mal à l'aise. Sauf que je sens sa main se placer sur ma mâchoire, et qu'il tourne mon visage brutalement vers le sien.
- Tu mens.
Je rougis en pinçant mes lèvres nerveusement. Son visage est près du mien. Je vois toutes les imperfections d'Harry dont je suis tombé amoureux. Son pousse caresse ma joue timidement, comme pour me rassurer. Je regarde ses yeux verts clairs, tellement clairs que ma respiration se coupe presque. À vrai dire, Harry est tellement beau que je ne me ferais jamais à sa beauté et au charme qu'il dégage.
- Laisse moi tranquille, je murmure en rigolant.
J'essaye d'enlever sa main qui est sur sa mâchoire mais tout en rigolant, il entoure son bras autour de mon cou pour s'approcher de moi. J'essaye de me dégager mais il ne me lâche pas. J'entend son rire frissonner ma peau quand je lui fais des chatouilles sur le ventre mais de son autre main, il attrape mes deux mains qui lui chatouillaient et il les emprisonne. Je recule de mon siège, mais Harry recule avec moi. Je rigole légèrement quand je met des coups de genoux pour ne pas que son corps suit le mien mais il résite. On se bégarre tendrement et tout en rigolant. On rigole en essayant de ne pas hurler de rire pour ne pas réveiller les autres et sur le moment, ça nous fait encore plus rire. J'essaye de dégager mes main de sa poigne et j'y arrive, mais il saute sur moi. Je me retrouve allongé sur les deux sièges et il arrive au dessus moi. On a tout les deux le visage rouges de cette petite bagarre sans violence et de cette bagarre douce, mais on en rigole parce qu'on avait l'air de deux gamins et que j'aime cette complicité qu'il y a entre nous. Mon coeur se précipite quand tout son corps est allongé sur le mien, et que son nez caresse le mien.
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La vie est une pute.
FanfictionJ'étais heureux, j'étais bien, j'avais des amis, une petite copine. J'allais à l'école, comme tout les adolescents de cette terre, j'avais des bonnes ou des mauvaises notes, puis tout a basculé quand j'ai appris que mon coeur ne pouvait plus fonctio...