DARK : L'amant d'Alexandre Rekossovski

Chapitre 14

Assis sur un siège en cuir beige, Alexandre s'amusa à comparer la texture avec les sièges en velours dans la maison de son maître. Il fallait dire que Maître Darryl avait beaucoup d'argent et qu'il ne se privait pas d'acheter ce qu'il voulait, il y avait une semaine il lui avait rapporté un énorme ourse qui faisait deux fois sa taille après qu'il le lui avait raconté que quand il était plus jeune il avait rêvé d'en avoir un.

Comme réaction, Alexandre avait explosé de rire pour la première fois sous les yeux pétillants et brillant de Darryl. Il avait alors comprit une bonne fois pour toute que Darryl ne lui voilà pas de mal et que cet être maladroit et arrogant voulait son bonheur.

Il avait alors décider de lui offrir son entière confiance, fermant les yeux sur sa peur que tout redevienne sombre et douloureux.

Non Alexandre avait préféré se laisser éblouir par Darryl Dark, se laissant réchauffer le cœur par cette homme incroyable. Il était à ses yeux un sauveur et un mentor que lui réapprennait la vie et pour la première fois le surnom de "maître" n'avait plus la même signification dans sa vie, ainsi au lieu d'être synonymes de douleur et de tristesse il était signe de bonheur et de joie mais surtout de liberté.

Une liberté tellement agréable.

Dans les bras de cet homme, il se sentait capable de faire face au monde entier, pourvue que Darryl ne l'abandonne pas. Il voyait bien le regard qu'il lui portait. Dire que cela le rendait heureux était un euphémisme, c'était encore bien plus fort que ça.

Une personne qui vous regarde avec amour et qui ne vous dit pas que vous êtes sa choses, c'est plus qu'incroyable parce que vous vous sentez juste humain.

Ça c'est l'amour, un amour juste saint.

Alors si Darryl l'aime, Alexandre veut bien se laisser l'aimer en retour car il sait que cet homme ne le décevra jamais, c'est comme un sixième sens qui vous entoure de son halo chaud et doux. Vous savez que la personne veut votre bonheur et pas que vous soyez juste à lui.

- Alexandre ? Dit une voix grave qu'il ne reconnue pas tout de suite.

Relevant les yeux, il reconnut Grégory, l'ami de son maître. Fronçant les sourcils il se sentit mal à l'aise face à cet homme. Depuis qu'il l'avait rencontrer il sentait que quelque chose n'était pas normal, il savait que Grégory affichait un masque, il transpirait le mal par chaque port de sa peau.

Cet homme lui voulait du mal, voilà ce que son sixième sens lui criait. Tandis que sa mémoire lui murmurait doucement qu'il avait un sentiment de déjà vue, comme-ci cet homme avait déjà croisé se route à de nombreuses reprises.

- Monsieur Grégory. Répondit il sur ses gardes.

Un sourire faux s'affiche sur le visage de l'homme.

- Darryl ma dit de venir vous cherchez, allons y avant d'être en retard. Continua l'homme.

MENSONGE !!! Cria son corps. Un frisson parcourus sa colonne vertébrale.

Serrant les dents, Alexandre déglutissas doucement, il savait pertinemment que l'homme mentait car Darryl lui avait fait la promesse que personne d'autre que lui où son majordome ne s'occuperait de lui, hors la il n'y avait ni lui, ni son majordome.

- ...Je préfère attendre ici, désolée. Dit il d'une voix tremblante tout en fixant l'homme droit dans les yeux.

Il vit alors l'homme se raidir soudainement, serrant les poings avant de s'approcher de lui d'une démarche qu'il reconnue immédiatement.

- Vous... Commença t-il avant de sentir la main de Grégory saisir ses cheveux les tirant violemment en arrière.

- Tu es vraiment devenu désobéissant... Il me tarde de refaire ton éducation mon chou. Murmura t-il.

Écarquillant les yeux, Alexandre sentit tout son corps se mettre à trembler violemment avant de sentir la prise de Grégory disparaitre soudainement avant qu'un torse ne fasse remparts. Une odeur rassurante envahissait alors son nez, Darryl. Il était venu à sa rescousse.

- Tu es complètement malade ?! Gronda t-il envers Grégory qui était par terre le regard complètement fou.

- Il est à moi. Dit il soudainement.

- Comment ça "à toi" ?! C'est pas un objet putain ! C'est quoi ton putain de problème sérieux ?!

Se relevant, Grégory frotta ses vêtements doucement.

- Tu m'as pris ce qui m'appartient Darryl. Dit l'homme froidement.

Il sentit la main de son maître saisir la sienne, une manière qu'ils avaient de ses faire comprendre que Darryl était la pour Alexandre. Un geste de réconfort.

- Tu parle de vente au enchères n'est-ce pas ? Demanda Darryl.

- Tu n'aurais jamais dû l'acheter, penser que tu ferais ça... Je ne t'aurais pas dit de venir si j'avais sut.

Fixant le dos de Darryl, il vit celui-ci se redire et il sentit pour la première fois l'homme se mettre en colère.

- Tu es un putain de malade ! Tu lui as déjà fais du mal n'est-ce pas ? Tu as fais partie de ces enfoirés qui l'on blesser !!! Gronda t-il d'une voix sombre.

Un sourire caustique s'affichait sur le visage de Grégory.

- Dresser un chien n'est pas mauvais, alors pourquoi le dresser lui le serait ? Un chien est lui au moins...

Écarquillant les yeux, il vit Grégory tituber avant de tomber sur le sol dans un bruit de douleur.

Tremblant de peur il vit Darryl s'approcher de l'homme, d'une démarche sur, avant de le saisir par sa veste le soulevant légèrement du sol.

- Savoir que j'ai côtoyé un fils de pute tel que toi me dégoûte au plus au point, tu n'imagines même pas à quel point c'est un soulagement que je me soit rendu compte de qui tu étais avant que tu ne lui fasse encore du mal. Sache que notre amitié s'arrête là et que la société est à présent ennemis à la tienne.

Le relâchant sur le sol, Darryl fit face avec force à Grégory.

- Je ne vais avoir aucune hésitation pour écraser les merdes tel que toi. Oh et une dernière chose, approche toi encore une fois que ce soit de loin où de près d'Alexandre... Et tu sauras ce dont je suis capable.

Tournant les talons, Darryl vint vers lui, s'agenouillant devant lui il lui afficha un doux sourire malgré la colère qu'affichait son regard.

- Je suis désolée pour aujourd'hui, rentrons à la maison d'accord ? Dit l'homme en lui caressant doucement le visage.

Voilà, c'était ça le véritable amour pensa t-il.

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NOUVEAU POSTE
QUAND JE PEUX

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COUCOU ! Je suis de retour, je ne promets pas de poster chaque semaine mais où moins tout mes quinze jours, ça dépendra simplement de mon inspiration...

Merci d'avoir patienté. Je vous kiss.

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