Chapitre 5

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J'ouvre les yeux avec le bruit de mon reveil, ce n'est que le 2ème jour des cours et je n'ai déjà aucunes motivations pour y aller. D'habitude j'ai au moins un gars qui me plais et ça me motive un minimum mais la rien, le néan.
Je m'étire et trouve la motive pour me lever. Je m'habille d'un pantalon bleu foncer et un crop top, j'ai presque que ça dans mon armoir. Je me maquille avec un maquillage naturelle. Je mange simplement un pain au chocolat et bois un verre de jus d'orange.

J'arrive au lycée et me dirige vers ma salle de classe, où Camille ne sera pas d'ailleurs. Je vois Lucille au loin et comme je l'avais déjà remarquer l'année dernière elle est déjà de super bonne humeur à 8h du matin alors que les autres élèves, dont moi, on la tête dans le cul.

- Coucou Emy, ça va ?! me demnde joyeusement Lucille

- Oui ça va et toi ?

- Super! Faut que je te dise hier j'ai vu un ovni, genre je te jure il était vraiment là ! me dit-elle serieusement

- Non je crois pas, c'est pas bien la drogue tu sais ? l'infomais je en souriant

- Mais je te jure la vie de ma mère que c'est vrai ! me fait elle avec de gros yeux

Heureusement la sonnerie retenti, sauvée par le gongue, je ne veux même pas continuer de débattre sur le sujet, je sais qu'elle est buté comme un ane.

***

1 seamine plus tard

En fin de compte j'aime bien mon groupe même sans Camille. Maintenant je m'entend avec beaucoup de personnes dans la classe,  les 2 groupes incluts. Dans mon groupe je me suis rapproché amicalement de Lucille, Corentin que je connaissais très peu avant, Camille, elle, elle passe la moitié de son temps avec Nina et Amélie. Je suis contente pour elle qu'elle ne reste pas toutes seule pendant les cours mais je n'aime pas trop les 2 filles, elles sont fausses même entre elles.

- On mange avec Amélie et les filles ce midi ? me demande Camille.

On non...

- Euhh ouais si tu veux...

- Tu n'as pas l'air enthousiasme. me repond t-elle sousieuse

- Nan mais t'inquite. j'étire mes levres en un sourire pour la convaincre.

Les filles sont très gentilles ce n'est pas le problème mais elles sont comment dire... ennuyeuses mais gentille attention. Puis Amélie elle mange et reste avec nous que par intéret, quand elle est toute seule.

- On mange ensemble ? m'interpelle Lucille

- Non désolé on mange avec les filles. dis-je avec une moue désolé.

- A ouai vous nous laissez pour elles. me dit elle avec un ton moqueur et hautain.

- T'inquite demain si tu veux. rétorquais-je avec un sourire.

Lucille aquise et par de notre champ de vision.

Après le repas nous, nous dirigons vers nos salles de cours, nous avons 4h de cours de commerce, 2h avec un prof et 2h avec une autre prof.

A peine rentré en cours le prof nous dit :

- Allez sur les ordinateurs, on va passer les 2h dessus. avec un ton semi-sevère

Cool ! Je m'installe à un ordinateur et Corentin viens s'installé à côter de moi. Nous commençons le travail demander, quand soudain :

- Alors, Emy faut que je te pose une question. il me questionne du regard.

Je n'aime pas trop le début de sa phrase mais je suis bien trop curieuse pour le couper, alors je ne dis rien pour le laisser reprendre.

- Alors euh... y'a des gars dans la classe qui t'intéresse ? me demande t-il finalement hésitant. 

- Non, pourquoi tu me pose cette question ? gloussais-je

- Pour rien t'inquite. me dit il en ce reconcentrant sur son écran.

Je le regarde avec un regard interrogateur mais ne repond rien. Quand il reprend son mini interrogatoire quelque seconde plus tard :

- Killian tu le trouve comment ?

Je dois dire que sa question me surprend, je veux dire Killian quoi ! Je sais que l'année dernière les gens de la classe s'imaginaient une relation entre lui et moi seulement car physiquement nous nous ressemblons; petits, fins, lunettes mais au delas de ça nous avions aucune relation même pas amicale.

- Oula euh non, il doit sûrment être très gentil mais c'est pas mon style. Mais attend pourquoi cette question ?

- Euh...c'est...c'est parce que j'aimerai bien lui trouver une petite gazelle. glousse t-il

Je ris d'un rire franc face à sa phrase.

- Bah ce ne sera pas moi, désolé. Mais je veux bien t'aider si tu veux, j'aime bien faire le cupidon. je lui souris même si il ne le voit à cause du masque.

Il aquise et nous recommançons à travailler.

une vie banaleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant