ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢 𝔬𝔫𝔷𝔢

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PDV Jiu

La chauve-souris me balança violemment dans la pièce. Je me retrouvais à terre, avec en face de moi, Monsieur Park, adossé à la porte d'entrée. Il portait un simple pijgama en satin noir. Ses yeux étaient d'un rouge si vif... Il ne cherchait pas à me poser des questions et à attendre de mes réponses. Il se dirigea vers moi et me prenait une poignée des mes cheveux avant de me trainer. Je hurlais de toutes mes forces pour qu'il arrêtait mais rien n'y faisait. Je fermais les yeux tellement j'avais peur. J'avais l'impression que l'on allait m'arracher la peau tellement il y tirait dessus. Il prenait plusieurs escaliers. J'entendais des chauves-souris ouvrir des portes, puis les refermer lorsque nous étions dedans. Monsieur Park me balançait par terre, au milieu de cette grande pièce. Puis, il claqua des doigts et d'un coup, les deux chauves-souris se ruaient sur moi. Elles m'arrachaient mes vêtements, ne laissant que mes sous-vêtements. Je me retrouvais presque nue devant Monsieur Park. Elles m'attrapaient par les épaules et m'attachaient contre un poteau. Une d'entre elles me ligotait les poignets. Puis elles repartaient par une fenêtre. Monsieur Park était devant moi, les poings serrés. Il alla dans un placard et en sortait un fouet. Il se rapprocha de moi dangereusement, l'objet à la main droite.

-Non, non, non je vous en supplie Monsieur Park ! M'exclamais-je.

Cela ne lui donna ni chaud ni froid et leva la main sur moi. Il commença à me fouetter le ventre. Ça me faisait tellement mal. Ses mouvements étaient répétés de plus en plus à la chaîne. Il me fouettait de partout: les bras, la poitrine, les cuisses, le ventre etc... Je pleurais de douleurs et hurlais lorsqu'il commença à me fouetter seulement le ventre.

-Arrêtez je vous en supplie ! Hurlais-je.

Il s'arrêta après quelques coups. Il jetait son fouet par terre et se redirigea vers son placard. Mes jambes tremblaient, j'avais du mal à rester debout. Je pus un peu constater l'état de mon corps. J'avais des traces rouge de partout, et mon ventre était ensanglanté. À force de me frapper à cet endroit, ça m'avait ouvert la peau. Je relevais la tête vers lui en entendant des pas. Il tenait un...couteau ? Je commençais à sérieusement paniquer. Allait-il réellement me tuer ?

-Bien sûr que non je ne vais pas te tuer ! Mais qu'est-ce que je m'en empêche ! S'exclama-t-il.

Il se dirigea vers moi, et s'asseyait devant mon corps.

-Non je vous en supplie, ne me tuez pas ! Hurlais-je.

-Je ne peux plus te faire confiance ! À chaque fois que j'en gagne un peu, tu en profites pour l'utiliser et faire des conneries derrière mon dos ! Faut-il que je te coupe les jambes et les bras pour que tu ne puisses plus te déplacer et toucher à tout !? Demanda-t-il.

-Mais je voulais seulement voir ce qu'il y avait !

-Et bien maintenant que tu sais ce qu'il y a, je vais me faire un malin plaisir de te torturer.

Il passa sa main droite sur ma cuisse gauche. Je fermais les yeux en pleurant. Je ne voulais pas voir. De sa main gauche, il me plantait son couteau en plein dans ma cuisse et descendait sa longueur. Il n'avait pas enfoncer le couteau en entier, mais cela me faisait tout de même très mal. Il continua dans son élan à faire de même sur ma cuisse droite, puis mes deux avant-bras.

-Stop ! Arrêtez ! Hurlais-je une énième fois.

Il enleva son couteau de mon bras et le jeta par terre.

-Est-ce que ça te suffit comme punition ? Ou tu voudrais peut-être que je finisse de te tuer en douceur ?

-Nan ! Stop s'il vous plaît ! Demandais-je en baissant la tête.

𝔏𝔢𝔰𝔰𝔬𝔫𝔰. ᵖᵃʳᵏ ʲⁱᵐⁱⁿ  ✔︎Où les histoires vivent. Découvrez maintenant