ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢 𝔡𝔦𝔵-𝔥𝔲𝔦𝔱

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PDV Jimin:

-J'aurais survécu à tout pour toi. Disais-je.

Pourquoi je disais ça ? Je ne le pensais pas. Du moins je ne savais pas. Cependant, elle rougissait. Mais elle releva la tête, avec un air beaucoup plus triste.

-Je n'ai pas compris ce qu'il s'est passé. Disa-t-elle.

-Ils sont venu. Mais au lieu de me capturé, ils ont préféré me prévenir avec un avertissement.

-Oh, je vois...

Elle devenait de plus en plus triste. Son visage se refermait.

-Je ne suis plus si sûr de ce lien. Avoua-t-elle.

-Putain, tu m'as cassé les couilles pendant je ne sais combien de temps et là tu me dis que tu n'en veux plus ! Râlais-je.

-Je ne veux pas que l'on vous fasse du mal, disait-elle en retirant sa main de ma joue. J'ai juste peur pour toi. Avoua-t-elle.

-Je ferais des recherches demain dans mes bouquins s'il y a des informations par rapport à ça.

-Quoi《ça》?

-Le fait de savoir si je peux mourir ou non à cause de ses démons. Expliquais-je.

-Je comprends mieux.

Elle restait là, assise à mes côtés. Je scrutais son visage. Je me rendais compte qu'elle était pleine de charme. Je n'avais plus contrôle de moi. Je ne savais pas pourquoi, mais je passais ma main contre sa joue. Je sentais une larme tomber. Mes yeux s'écarquillaient. Elle soupira puis commença à ce levait. Je la rattraperais par le poignet.

-Où vas-tu !? Demandais-je.

-Je vais te laisser dormir et partir dormir dans ma chambre.

Je soupirais. Je sentais mon cœur se serrer.

-Viens dormir avec moi. Disais-je.

-C-ce n'est pas bien, Monsieur Park.

-Lâche-moi avec ce foutu surnom et viens vers moi. Râlais-je.

Je la prenais par les hanches et la couchais sur moi. Je rabattais la couverture sur nous deux. Mon bras était sur ses épaules, puis, elle se couchait sur moi.

-Aïe. Me plaignais-je.

Elle se retira.

-Qu'est-ce qu'il y a !? Demanda-t-elle, effrayée.

-Mes cicatrices.

-Excuse-moi. S'excusa-t-elle.

-Ne t'inquiète pas. Juste, évite de t'appuyer contre mon torce.

Elle s'écartait de moi, mais prenais mon bras qui lui faisait office de doudou. Je tournais la tête vers elle. J'avais cette profonde envie. Qu'est-ce que j'avais ?

-V-vos yeux, Monsieur Park. Remarqua-t-elle.

Je me relevais et me posais sur Jiu, à califourchon. Je baissais ma tête vers elle. Je caressais mon nez au sien.

-Puis-je ? Demandais-je.

-C'est mal Monsieur Park.

-En as-tu envie ?

-Oui, tout comme vous. Avoua-t-elle.

-Alors, laisse toi faire. Laisse le plaisir t'emporter... Chuchotais-je.

Elle passait ses bras autour de mon cou, puis je commençais à l'embrasser. Mes mains passaient de partout sur son corps.

Devais-je lui dire ?

𝔏𝔢𝔰𝔰𝔬𝔫𝔰. ᵖᵃʳᵏ ʲⁱᵐⁱⁿ  ✔︎Où les histoires vivent. Découvrez maintenant