𝔏𝔢𝔰𝔰𝔬𝔫𝔰. ᵖᵃʳᵏ ʲⁱᵐⁱⁿ ✔︎

ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢 𝔡𝔦𝔵-𝔫𝔢𝔲𝔣

PDV Jiu:

Ce soir, Monsieur Park était distrait. Je ne savais pas ce qu'il avait. Il semblait triste, et préoccupé par autre chose. Je voulais savoir ce qu'il avait, mais vu son état, je ne voulais rien dire.

Je fermais la porte de ma chambre. J'enlevais difficilement ma robe. Je la déposais sur le lit, seulement, je remarquais quelque chose: il y avait une trace de sang sur la dentelle blanche, placé sur mon épaule gauche. Comment avais-je pu faire ça ? Je ne savais pas. J'étais très gênée et inquiète de l'avoir abîmée.

_______________________

Après avoir pris une douche, je prenais ma robe et me dirigeais vers la chambre de Monsieur Park. J'avais peur qu'il s'énerve, mais au fond, j'avais ce sentiment de savoir qu'il allait rien me faire. Je toquais à sa porte.

-Entrez. Disa-t-il.

J'ouvrais la porte et observais Monsieur Park qui portait un peignoir noir. Cela faisait ressortir sa peau blanche, douce et brillante.

-Que y a-t-il ? Demanda-t-il.

-La robe, elle a une tache de sang. Disais-je en lui la tendant.

Il la regardait en détail. Ses yeux devenaient violets. Pourquoi ses yeux changeaient-ils souvent de couleur ? Je ne comprenais plus rien. Il me regardait, essayant de ce calmer.

-Ce n'est pas grave, vas te coucher. Disa-t-il en balançant la robe sur son lit.

-Pourquoi vos yeux sont violets ? Demandais-je.

-Pour rien, vas te coucher j'ai dis. Annonça-t-il d'un ton beaucoup plus froid.

-Mais- Jimi-

-Vas te coucher putain ! Ne m'oblige pas à m'énerver. Criait-il.

Ses yeux étaient violets et rouge. Je préférerais partir, ne voulant pas insister.

Est-ce que nous pourrions passer une soirée romantique tout les deux sans avoir à nous disputé un jour ?

__________________________

Bien que ces derniers jours Monsieur Park et moi avions été proche, depuis quarante-huit heures, il n'était plus comme avant. Il m'évitait un peu. Pour la première fois, -il me semblait- , je lui avais écrit une lettre, de son même style. Je lui l'avais glisser en dessous de la porte de son bureau.

Cher Monsieur Park,

Je vous trouve distant en ce moment.
J'aimerais savoir pourquoi.

Pouvions-nous nous voir et parler calmement de vos/votre problème/s ?

Jiu.

__________________________

C'était une fin d'après-midi. Il avait malheureusement plu toute la journée. Alors, j'avais rentré Cerbère à l'intérieur du château. Nous avions jouer ensemble. Mais à présent, nous étions dans ma chambre. Lui, affalé sur mon tapis, dormant. Et moi, assise sur le rebords de ma fenêtre. J'entendais d'un coup la porte s'ouvrir. C'était Monsieur Park -évidemment-. Je descendis du rebords de ma fenêtre pour atterrir à l'intérieur de ma chambre.

-Viens avec moi. Annonça-t-il, froidement, de ses yeux sombres.

Je le suivais, sans rien dire. J'avais laissé Cerbère tout seul. Pour une énième fois, il nous ramenait à la sphère. Pourquoi ? Était-ce vraiment nécessaire ? Il refermait la porte, nous laissant dans le noir complet. Il alluma la sphère, la laissant blanche, nous servant de lumière. Il s'adossa contre la table de cette dernière, les bras croisés contre son torce, ses yeux dans les miens. J'avais une boule au ventre.

-La raison pour laquelle je t'ai ramené près de la sphère, c'est que cette dernière est très significative. Commença-t-il.

-Comment ça ?

-Je ne te connais pas que depuis le début de ton entrée aux Enfers.

-Oui je sais. Vous m'aviez bien vue faire mes conneries à travers la sphère. Et ? Demandais-je.

-Non, encore plus avant.

-C'est à dire ?

-Je t'observais jour et nuit à travers celle-ci. Depuis tes seize ans, jusqu'à maintenant, annonça-t-il.

-Q-quoi ?

-Je suis tombée sur toi par hasard, et le hasard fait bien les choses. J'ai commencé à te regarder dès que je pouvais -en dehors de mon travail et de mes tâches personnelles-. J'avais eu une affinité envers toi rien qu'en t'observant.

-Mais pourtant vous m'aviez traité comme de la merde au début ! M'exclamais-je.

-Je sais, mais c'était bien pour cacher se rôle innocent et ma face qui fondait devant toi. Tu crois vraiment que je t'ai tuer seulement parce que tu n'étais qu'une pauvre conne ? Je ne pourrais pas faire ça avec tout les humains sur cette terre, chacun leur tour. Ça me durerait un temps infini, surtout que tu es là depuis plus d'un mois. T'imagines ? Un mois et deux semaines pour chaque être vivant ? En comptant les nouveaux nés ?

-J-je n'y avais jamais pensé... Avouais-je.

-Ton Qi n'a pas changé depuis le début en tout cas.

-Mais pourquoi me regardiez-vous ?

-Je ne sais pas à vrais dire. Tu es l'une de rare être humaines à être venue aux Enfers.

Humaines ? Que des femmes ?

C'était une déclaration si soudaine. Mais je ne comprenais pas quel était le rapport avec son comportement exécrable.

-Mais, je ne vois pas le rapport avec votre froideur. Remarquais-je.

-C'est une autre chose. Bien plus pire que celle actuelle.

-Dites là moi.

-Tu vas devoir dégager des Enfers et retourner dans le monde des humains. Cela devait déjà être fait il y a longtemps, déclarait-il.

À suivre...

__________________________

Excusez-moi pour ce petit chapitre.

C'est malheureusement bientôt la fin ! Je pense qu'il y aura encore environ 5 chapitres qui sortiront.

Cependant, j'ai une nouvelle idée de ff !
Je ne vous dis rien ! 🤐

Merci de lire mon histoire ! ♡
Zoubi zoubi ! ♡