𝔏𝔢𝔰𝔰𝔬𝔫𝔰. ᵖᵃʳᵏ ʲⁱᵐⁱⁿ ✔︎

ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢 𝔡𝔬𝔲𝔷𝔢

PDV Jimin

Je sortais de la salle de bain, une serviette autour de la taille. Mon réveil était difficile ce matin. Cette nuit était mouvementé. Je m'en voulais tellement d'y être aller trop loin. Cependant, je pensais qu'elle allait sérieusement comprendre la leçon. Je ne voulais plus qu'elle aille quelque part sans mon autorisation. Puis, je ne savais pas ce qu'il m'avait pris de l'embrasser. Au fond, j'avais aimer, mais je ne devrais peut-être pas. C'était mal. De toute manière, je n'en avais pas le droit. Je descendais jusqu'à la cuisine, près à cuisiner toute la journée pour lui offrir le plus bon des repas. J'étais sûr qu'elle allait apprécier.

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Je l'entendais descendre des escaliers. Je prenais peur et me dirigeais vers elle. Je lui couvrais les yeux avec ma main droite.

-Tu n'as pas le droit de regarder ! M'exclamais-je.

-Qu'est-ce que c'est ? Je suis venue là car j'ai entendu du bruit.

-Tu verras ce soir.

Je la faisais reculer dans les escaliers, pour qu'elle ne voit rien. Une fois dans un endroit sur, j'enlevais ma main.

-Tu as bien dormi Jiu ? Demandais-je.

-Oui.

Mon regard descendait sur son corps. Je l'avais vêtu d'un t-shirt et d'un short. On voyait ses bandages sur ses avant-bras et ses cuisses.

-Tes blessures vont mieux ? Demandais-je.

-J'ai du mal à marcher, j'ai parfois des douleurs au ventre et j'ai des difficultés à lever mes bras.

-Je suis vraiment désolé.

-C'est moi la conasse dans l'histoire. T'as eu raison, enfin...vous avez eu raison.

Son regard descendait à son tour sur mon corps. J'avais toujours gardé ma serviette autour de la taille. Je la regardais pendant qu'elle m'admirait. Je pouvais avoir sa vue: elle ne regardait que mes abdos. Je relevais sa tête pour qu'elle pouvait me regarder dans les yeux.

Coquine.

Elle rougissait, et baissait la tête.

-Je vais te laisser, disa-t-elle avant de remonter les escaliers, enfin, vous laissez.

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J'avais tout prévu. Les chauves-souris m'aidaient à remettre les choses à sa place, pour que la grande table soit parfaite.

-Merci de votre aide, vous pouvez repartir. Disais-je.

Elles repartaient, une à la fois. La dernière s'asseyait contre l'encadrement de la fenêtre, et refermait les rideaux. Tout était parfait. Je repartais de la salle à manger, satisfait. Je me dirigeais vers l'ancienne chambre que je voulais attribuer à Aphrodite. Car je pensais que même en étant le Diable, elle pouvait cohabiter avec moi. J'ouvrais la porte et me dirigeais vers le mannequin portant la robe. Je portais ce dernier et une chauve-souris qui passait par la refermait la porte derrière moi. Je marchais difficilement dans les escaliers. Je savais que Jiu prenait sa douche, alors c'était le moment parfait pour moi. Cette même chauve-souris m'ouvrait la porte et je pus pénétrer dans la pièce. Je déposais le mannequin près de sa garde-robe. Je prenais un stylo rangé dans ma poche se trouvant en haut à ma gauche de ma veste noir. J'empruntais aussi un papier et m'apprêtais à écrire. Devais-je réellement écrire que j'avais en tête ? Je ne savais pas. Peut-être que ça lui fera plaisir. J'écrivais alors la phrase dont j'avais en tête: