ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢 𝔰𝔢𝔭𝔱

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PDV Jimin:

Avec elle, j'avais pu rattraper mon retard sur mon travail. Ensemble, nous avions pu remplir plus de deux-cent feuilles. Elle soupira, en se balançant en arrière sur son fauteuil.

-Tu peux faire une pause. Lui disais-je.

-Merci.

Je prenais nos deux piles de feuilles, et les superposaient pour n'en former qu'une. Ses cartes d'identités... Elle en savait bien trop sur moi maintenant. C'était son côté trop curieuse que je détestais. Comme la fois où elle avait voulu la regardé dans le cadre. Je n'y avais pas fait attention. Rien que de rentrer dans ma chambre était déjà une erreur. J'étais tellement concentré dans mon travail que je n'avais pas pensé à la prévenir par la pensée. Je regrettais tellement. Mais je ne pouvais pas lui en vouloir, elle ne le savait pas. De toute manière, c'était de ma faute pour cette fois-ci. Heureusement que je l'avais aveuglé avant qu'elle ne pouvait la voir. Elle était agaçante, impolie, mais elle avait peut-être une bonne âme au fond. Je me levais, et prenais la pile de feuilles.

-Qu'allez-vous en faire ? Demanda-t-elle.

-Je vais les brûler dans le Puit des Âmes. Tu veux venir avec moi ? Proposais-je.

Elle hocha la tête, puis se leva. Elle me rejoignait et ensemble, nous étions partis de mon bureau. Elle me suivait. Nous descendions les escaliers, moi devant. Dans ma tête, j'avais comme plusieurs personnes aux commandes. Dont une qui pouvais me faire voir la vue de Jiu sans qu'elle s'en aperçois. Je décidais alors de regarder sa vue.

Wow

Quel perverse. Pour le dire d'une manière polie et gracieuse: elle admirait mon fessier. J'avais un pantalon en cuir qui marqué bien mes formes. Pas facile de passer à côté de mon cul.

Après avoir marché pendant quelques minutes, entre couloirs et portes, nous arrivions enfin devant mon objectif. J'ouvrais les portes avec un seul bras et pénètrais dans la pièce. C'était comme ma prison. Ce n'était comme qu'une sorte de grand cylindre, sans fenêtre mais avec plafond. Les murs n'étaient que des pierres. Au milieu de la pièce se trouvait qu'un simple trou. Il faisait très chaud. Jiu referma la porte derrière elle. Je m'approchais du Puits des Âmes, avec elle.

-C'est comme un puit lambda de votre monde, mais à la place qu'il y ait de l'eau, il y a du feu. Expliquais-je.

-Ça ce fait sentir. Remarqua-t-elle.

-Tu veux le faire ? Demandais-je en lui tendant la pile de feuilles.

-Euh, commencez d'abord avec une première moitié. Je m'occuperais de la seconde. Disa-t-elle.

-En es-tu sûr ?

-Oui, Monsieur Park.

Mon dieu, ce surnom. Qu'avais-je fais pour lui avoir accepté de m'appeler ainsi ? Le pire, était que ça me plaisais... Cependant, je trouvais ça moins ringard que " le Diable ". En m'appelant comme ça, j'avais l'impression d'être comme les humains le décrivaient. Une grosse bête, méchante, avec des ailes et une longue queue de Diable. Il fallait qu'ils brisaient ses critères.

Je lui donnais alors une partie des feuilles. Une fois fait, je me rapprochais du Puit des Âmes et les laissaient tomber dans le fin fond de ce dernier. Le feu les brûlaient toutes, sans exception.

-À ton tour, mais ne te sens pas obligé. Disais-je.

Elle hocha la tête et se rapprocha du trou. Elle s'abaissa alors que j'étais en face d'elle. Durant l'espace de trois seconde qui me paraissait une éternité, j'avais vue sur son décolleté. Je détournais le regard lorsqu'elle se relevait. Le feu était devenue beaucoup plus imposant.

𝔏𝔢𝔰𝔰𝔬𝔫𝔰. ᵖᵃʳᵏ ʲⁱᵐⁱⁿ  ✔︎Où les histoires vivent. Découvrez maintenant