ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢 𝔡𝔦𝔵-𝔰𝔢𝔭𝔱

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PDV Jimin:

Je marchais dans les couloirs. Je m'apercevais que Jiu n'était pas dans sa chambre. Elle était de plus en plus bizzard. J'eus sa vue et je pouvais savoir où elle se trouvait: la bibliothèque. Je m'y dirigeais alors d'un pas pressé. J'avais ma chandelle de cinq bougies allumées en main. Les lustres aux millions de bougies étaient aussi allumées. Je rentrais dans la bibliothèque et descendais les escaliers. Après, je la recherchais entre les rayons de livres gigantesques. Puis, je finissais par la retrouver. Je me dirigeais directement vers elle. Jiu était entrain de ranger des livres.

-Tu te fou de ma gueule ? Tu n'es toujours pas au lit !? Râlais-je.

-Non. Et puis, qu'est-ce que ça peut faire ?

-Arrête ce cinéma. T'es vraiment ridicule !

-J'en ais rien à foutre de ton avis ! Haussa-t-elle le ton.

-Premièrement, tu me vouvoie. Deuxièmement, tu baisses d'un ton ! Je préfère mieu quand tu fermes ta gueule. Je préférais la Jiu d'avant, qui était soumise, qui faisait ce que je voulais quand je voulais, et qui se la fermer.

-Bah moi aussi je préférais le Jimin d'avant qui était gentil et galant avec moi ! Cria-t-elle, avec une voix tremblante.

Je m'arrêtais net. Elle venait réellement de m'appeler par mon prénom ?

-Tu cherches à être sérieusement punis ? Demandais-je calmement, dans un ton plus froid.

-Vous n'avez que d'la merde dans les yeux !

-Comment oses-tu me parler !

Je balançais ma chandelle par terre et lui prenais le col de sa robe de chambre.

-Faites ce que vous voulez ! Je m'en fou ! J'ai plus rien à perdre de toute façon. Criait-elle.

Jiu commençait à pleurer, j'avais pitié. Mais je serrais mon poing qui tenait son vêtement.

-Je préfère le Jimin ! Et pas Monsieur Park, et encore moins le Diable ! Je sais que vous avez un bon fond, et j'ai pu en apercevoir sa beauté. Disa-t-elle, en pleurant.

-Le Jimin ?

-Oui ! Ce Jimin, le soir de la statut !

Je me rappelais de ce soir-là. Je ne savais plus comment réagir. Je savais qu'au fond, je n'étais pas comme ça. Je lâchais mon emprise d'elle. Je prenais une grande inspiration.

-Je t'aime bien au fond, Jiu, commençais-je. Mais tu en as bien vue le résultat, on m'a battu pour quelque chose d'agréable comme tu as dis. Je n'y peux rien.

-Mais tu ne vas pas disparaître à chaque fois !?

-Je ne pense pas, ça dépend de mon attirance envers toi. Puis, qui te dis qu'il y aura des prochaines fois ? Demandais-je.

Ses joues commençaient à devenir rouge. Elle baissait la tête. Je m'avançais près d'elle, pendant qu'elle reculait. Elle heurtait le meuble, ne pouvant plus reculer. Une fois devant elle, je prenais son menton entre mes doigts. Puis, je rapprochais mon visage du sien.

-C'est ça ce que tu veux ? Que je t'embrasse jusqu'à ce que tu n'en ais plus de souffle ? Disais-je.

J'allais l'embrasser mais je recevais des livres sur ma tête. Je me retirais d'elle, passant ma main dans mes cheveux. Je relevais la tête et aperçus une chauve-souris tout en haut du meuble, qui par maladresse, avait fait tomber des livres. Cela m'avait tout de même ramené sur terre.

-Imbécile. Crachais-je.

Jiu me regardait avec envie, mais aussi, dégoûtée. J'étais désolée chérie, mais ça n'allait pas être pour tout de suite. Je repartais dans ma chambre, comme si de rien n'était.

𝔏𝔢𝔰𝔰𝔬𝔫𝔰. ᵖᵃʳᵏ ʲⁱᵐⁱⁿ  ✔︎Où les histoires vivent. Découvrez maintenant