𝔏𝔢𝔰𝔰𝔬𝔫𝔰. ᵖᵃʳᵏ ʲⁱᵐⁱⁿ ✔︎

ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢 𝔮𝔲𝔞𝔱𝔯𝔢

PDV Jiu:

Il me poussa à l'intérieur de la pièce, je tombais à terre.

-Pour aujourd'hui, tu n'auras aucune leçon, mais ça commence demain. Tu peux faire un tour dans le château. Disa-t-il avant de refermer la porte.

J'étais à présent seule, dans ce qui semblait être ma nouvelle chambre. Elle était assez vaste. J'avais un grand lit deux places pour moi toute seule qui était au centre de la pièce. Les draps étaient de couleur noir. J'avais aussi un grand placard avec des vêtements. Je regardais à l'intérieur. Il y avait toutes sortes d'habits, dont des robes. Dans les tiroirs, des pulls, des t-shirts, des pantalons, des jupes, des shorts etc... Dans un énième tiroir, il y avait des pijgama, dont des nuisettes, accompagnés de jaquettes et de bodys de couleur noir, rouge foncé et bleu foncé. Puis non loin de la, des sous-vêtements, plus ou moin sexy, tous noir. Il y avait même des strings. Il y en avait vraiment pour tout les goûts. Et à quelques mètres se trouvait une commode avec un miroir, accompagné de plein de bijoux d'or et d'argent.

Il était peut-être méchant, mais il me donnait beaucoup.

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Je sortais de ma chambre, avec de nouveaux habit. Je portais une simple robe fluide et blanche. Je commençais à marcher dans les couloirs et dans les pièces. Je ne tombais que sur des chambres. Souvent, il y avait des cadres avec des photos de personnes dessus, placées sur les tables de chevets. Je ne savais pas qui c'était. Je m'approchais d'une fenêtre, et passais la tête par dessus le bord. Il y avait de la lave en ébullition. Je me retranchais dans la pièce, cela me faisait peur. Je sortais de la chambre puis continuais le long couloir. Je montais des escaliers, et une fois en haut, il n'y avait qu'une pièce. Je poussais la porte, et me retrouvais une nouvelle fois devant une chambre. Mais celle-ci était beaucoup plus luxueuse et beaucoup plus grande. Dans la penderie, se trouvait plein de costard, tous noir ou gris foncé. Le lit était tout aussi grand que le mien, mais il avait des rideaux en plus. Le tissus était transparent mais de couleur noir, on pouvait voir à l'intérieur. Il y avait une si bonne odeur dans cette pièce. Puis, je m'aperçus que sur la table de chevet se trouver aussi un cadre. Je le prenais dans mes mains et regardais la personne à l'intérieur. C'était le Diable. Je reposais ce cadre, puis m'attaquais à celui d'à côté. C'était aussi lui, toujours aussi bien habillé. Avec à côté une femme. Lorsque je dirigeais ma vison vers elle, ma vue se troublait. Je les refermais tout de suite, j'avais mal.

Repose-moi ça.
Ne la regarde pas.

Je reposais alors le cadre sur la table de chevet. Je me grattais les yeux. Un peu plus tard, j'avais enfin une vue normale. Je me retournais vers ma gauche, en face de la fenêtre. Il y avait une chauve-souris qui me regardait. Elle était immense, noir, et poilu. Elle avait même du sang autour de la bouche. Elle m'avait surprise, alors j'ai hurlé. En hurlant, j'avais reculé voulant la fuir, mais j'avais percuté un meuble faisant tomber un objet. C'était une bouteille de parfum. Elle était explosée par terre. J'aperçus la porte de la chambre s'ouvrir, c'était le Diable. Je pris tout de suite peur.

-Qu'est-ce que tu fais encore !? Demanda-t-il, furieux, en poussant la porte de la chambre.

-Il y avait une grosse chauve-souris et j'ai eu peur et sans le vouloir j'ai casser votre-

-C'est bon. De toute manière, je vois que ma prévention sur le cadre ne t'as pas fait réagir, tu continues de tout toucher à tout ! Débrouille-toi pour me nettoyer ça. Râlait-il.

Puis il repartit. Je soupirais. Je me mis accroupie et je ramassais les bouts de verres. J'aperçus une ombre, c'était la chauve-souris de toute à l'heure. Elle rentra dans la pièce, et se dirigea vers moi. J'avais si peur mais je me retenais de crier une nouvelle fois. Bien que le Diable ne soit non loin. Elle m'aidait à ramasser les bouts de verres. Je lui donnais en tremblant mes bouts de verres en main. Elle les prenait, puis essuya le parfum par terre avec une de ses ailes. C'était nettoyer. Puis elle repartit.