ℭ𝔥𝔞𝔭𝔦𝔱𝔯𝔢 𝔥𝔲𝔦𝔱

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PDV Jiu:

Je sortais de ma salle de bain, pénétrant dans ma chambre. J'enlevais mon peignoir, me laissant nue. Je prenais mes vêtements qui étaient déposés sur mon lit, et les mettais. Cela faisait une semaine que j'étais dans ce monde.

Pendant ce temps, je me rappelais de cette sphère. Pourquoi ce garçon aurait-il été méchant envers moi ? Tout ce passer bien. Pourquoi il se mêlait de mes affaires aussi ? Ce n'est pas son problème si je baise avec n'importe qui.

Je soupirais, en me plongeant dans mon lit. C'était tellement confortable. Puis d'un coup, mon ventre faisait des bruits de gargouillements. J'avais tellement faim, je ne pensais qu'à la nourriture. Et à fumer aussi. J'avais tellement besoin de clopes. Comment pourrais-je faire passer cette addiction à une autre ? Je ne savais pas. Je n'ai qu'à supplié Monsieur Park de me laisser la permission de fumer ne serait-ce qu'une cigarette. Je rentrais dans les draps de mon lit, et laissais la fatigue m'emporter...

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On me tapotait l'épaule, mais rien n'y fait, je voulais rester dans mon lit.

-Lève-toi... Me disait une voix grave.

J'ouvrais difficilement les yeux. J'aperçus la silhouette de Monsieur Park. Il était penché vers moi. Sa chemise était un peu ouverte ce qui me laisser vue à une partie de son torce. Son collier se balançait dans le vide.

-Lève-toi, vite.

-Mais pourquoi ? Demandais-je difficilement.

-Ce n'est pas toi qui décide. Lève-toi j'ai dis. Disa-t-il d'un ton beaucoup plus froid.

Je me levais de mon lit, et m'assis. Je m'étirais en bayant, pendant que Monsieur Park faisait je ne savais quoi.

-Tu vas me porter ça, avec ça. Disa-t-il en déposant des vêtements sur le pied de mon lit.

Je regardais les vêtements. Ma mâchoire allait tomber au sol. C'était une robe, certe, fluide. Mais l'avantage était qu'il n'y avait pas de décolleté. C'était accompagné de talon haut blanc.

-Que vais-je faire avec ça aujourd'hui ? Demandais-je.

-Tu le sauras bien assez tôt.

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J'ouvrais la porte, tandis qu'il m'attendait, adossé contre le mur d'en face. Je sortais de ma chambre et refermais la porte derrière moi.

-Comment me trouvez-vous ? Demandais-je.

Il me regarda de haut en bas.

-Moche, mais parfait pour ce dont je vais te demander de faire. Disa-t-il.

Je soupirais et levais les yeux au ciel. Qu'est-ce qui pouvait être compliqué et ronchon. Il marcha dans le couloir et je le suivais. Nous descendions les escaliers, puis après avoir marcher pendant plusieurs minutes, nous sortions dehors. Je marchais toujours derrière lui. Il ne disait rien, et moi aussi d'ailleurs. Quel ambiance ! Nous nous dirigions vers l'arrière du château. La rivière... Il me cachait tellement de secrets dont j'avais tellement envie de voir. Je voulais savoir ce qu'il se trouvait au-delà de cette rivière de lave. Nous arrivions près des buissons. J'entendais des bruits de pas de plus que les miens et ceux du Diable. Après avoir contourné cette végétation, nous atterrissions devant le chien à trois têtes. Il était tout excité et courait de partout. Monsieur Park ce dirigea vers lui et le caressait. Il était attaché a une laisse. Le chien lui faisait la fête. Moi j'étais là à côté de cette scène. Cependant, c'était la première fois que je le voyais sourire, autre que la photo. Il avait un si beau sourire. Je fondais tel de la neige au soleil. Il me regardait, toujours en souriant.

𝔏𝔢𝔰𝔰𝔬𝔫𝔰. ᵖᵃʳᵏ ʲⁱᵐⁱⁿ  ✔︎Où les histoires vivent. Découvrez maintenant