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Yoohoo !
On a atteint les 10k vues !
Merci infiniment d'être toujours présent à chaque chapitres et merci de continuer à lire cette histoire !
J'étais clairement obligé de poster un chapitre aujourd'hui.
J'espère que vous allez l'aimer, n'hésitez pas à partager ma chronique à vos amis et à vos ennemis.

Bonne lecture et merci pour tout.




2 jours après...
📍Aéroport CDG
🕖 06h25

Youssef: Tu veux un gâteau ?

Je tourne ma tête en faisant signe que je n'en voulais pas.

Youssef: Wsh première fois que t'veux pas un gâteau.

Moi: *p'tit sourire*

Youssef: ... Qu'est ce t'as ?

Moi: Rien...

Youssef: T'as peur de l'avion.

Moi: Mhm nan ?

Youssef: Sure ?

Moi: Oui ?

Youssef: Avoues t'as peur.

Moi: Mhm... un tout petit peu.

Il met sa main sur mon crâne.

Youssef: J'te connais par coeur Zeyna, on se connait depuis longtemps frère.

Moi: Logique ? *rire*

Youssef: Ça sert à rien d'avoir peur, on a juste à prier et c'est tout.

Moi: Oui c'est vrai, mais j'suis juste fatigué en même temps, on s'est levé archi tôt.

Youssef: Me3lich.

Moi: Et des câlins tu devrais m'en faire plus souvent. *sourire*

Youssef: Pourquoi ?

Moi: J'aime trop.

Youssef: Tfou, dégage, j't'aime pas.

Puis il me lâche, les moments mignons ça ne dure jamais avec lui. Notre vol était à 8h du sbah mais on attendait Anaya qui est allée chercher à manger et elle allait arriver d'une minute à l'autre.

Les avions ça a toujours été ma phobie et ça ne changera jamais.

Sinon j'ai l'air dépité, j'étais assise sur une chaise avec une couverture, j'ai un chignon archi mal fait, des cernes très voyantes, j'suis habillé comme une clocharde, ma voix est cassé et j'repensais à ce qu'il s'était passé l'autre nuit avec Ahmed.

On s'est pas calculé depuis et il avait l'air distant avec moi, j'm'y attendais... J'ai l'impression qu'il m'a embrassait juste par envie. Après moi je cogitais dans mon coin parce que c'est vrai que c'était assez bizarre comme scène. J'ai partagé mon premier baiser avec lui, le pote à mon frère. Si ce qui s'était passé rentré dans l'oreille de quelqu'un, on allait me tuer.

« Zeyna: Lui, toute ma vie. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant