Chapitre 8

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NDA : Déjà un grand merci à ceux qui lise cette histoire.
Je voulais vous dire que tout ce qui est lié à la science n'est pas mon fort. Je suis même nul.
Ceux qui ont l'esprit scientifique ne me tapez pas parce que je me trompe s'il vous plaît.

Bonne lecture

Erwin prit des anciennes béquilles à lui dans son placard.

- Comment tu fais pour encore trouver de la place dans tes placard blondinette ? Demanda Livaï, perplexe.

- Ce n'est pas la question, nabot, répliqua Erwin. Je t'expliquerais le jour où tu auras grandi pour atteindre le haut du placard.

Livaï lança un « Tch » d'agacement. Il ne pouvait rien y faire à sa petite taille.

Erwin donna les fameuses béquilles à Mikasa. Elle se leva sur une jambe, les prit et ils partirent à la vitesse où le soldate pouvait aller le plus vite.

Ils arrivèrent devant le laboratoire et entrèrent. Le bazar et la saleté régnait dans la pièce. Livaï fit une grimace dégoûté.

- Au lieu de juger la propreté et comment c'est rangé, venez m'aidez maintenant, hurla Hansi au bord du désespoir.

Toute l'escouade de Mikasa et Sasha était présente. Jean et Conny essayaient t'en bien que de mal de maintenir Sasha sur son lit d'infirmerie. Elle de débattait comme une folle. L'appareil qui permettait de prendre les battements du cœur et d'autres choses que seule la scientifique connaissait faisait un bruit insupportable.

Sasha était reliée à plein de fils différents. Elle avait un masque pour l'aider à pourvoir respirer normalement.

Mikasa posa ses béquilles et s'installa à côté de Sasha.

Erwin et Livaï aidaient Hansi à s'organiser.

La jeune Ackerman essaya de parler doucement à Sasha. Elle se mit au niveau de l'oreille de son amie et posa une main qui se voulait rassurante sur son bras qu'elle agitait dans tous les sens.

- Sasha, il faut que tu laisse Hansi s'occuper de toi. Je sais que tu es en train de souffrir et que tu lutte contre la mort. Mais il faut que tu arrête de bouger. Tu t'épuise et on ne pourra pas te sauver. Avec Livaï on a réussi à convaincre Erwin et tu vas garder ton grade de lieutenant. Tu te rends compte ? On est allés en ville avec Jean, Reiner et Livaï pour prendre de quoi te soigner. Des fous furieux m'ont mie ma jambe en miette. Arrête de t'agiter et on luttera tous ensemble contre la mort qui veut te prendre. Pour Jean, pour Conny, pour moi, pour tout le monde. Pour tous ceux qui t'aimes.

- Qu'elle philosophe, ironisa Ymir.

- C'est quoi ton problème Ymir ? Gueula Reiner.

Livaï arriva devant Ymir et fit d'un ton calme et glacial :

- Tu as intérêt à partir dans les dix prochaines secondes sinon c'est moi qui te sort de force et tu vas le regretter.

- Allez les gars vous avez aucun humour, répliqua Ymir.

- Toi tu n'as pas le sens du danger, répondit toujours aussi froidement l'homme le plus fort de l'Humanité. Maintenant sors.

Ymir sortit la tête baisser, un dernier regard sur Sasha.

Miss Patate arrêta alors de se débattre. Mikasa s'écarta. Sasha prit la main de Jean et de l'autre celle de Conny.

Hansi remercia rapidement Mikasa.

La scientifique prit une dose de morphine dans une seringue et l'injecta dans le bras de Sasha. Cette dernière se détendit une minute après.

Hansi alla dans son placard pour prendre des poches de sang. La jeune Braus avait perdu trop de sang. Il fallait aussi faire attention à ça pour un blessé. Ça pouvait être fatal.

Les ailes de la LibertéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant