le jour où tout a basculé

37: la peur

Salut à tous! 👋 me revoilà pour la suite de cette histoire alors sans plus tarder on continue...😊😊😊

Le bonheur. Ce sentiment qu'elle n'a jamais eu le plaisir de goûter mais qu'elle espérait un jour toucher ne serait-ce que du bout des doigts, tapis dans l'ombre de son âme celui qui n'avait pas dégné pointé le bout de son nez durant toutes ces années venait de prendre son en vol. Le bonheur, l'un des sentiments les plus désirés des coeur meurtri, celui que l'on pouvait surnommer "la clé de vie" se sentiments qui regroupe à lui celui seul, la joie, l'amour et la paix et qui pourrait redonner goût à la vie à n'importe quel âme meurtries. Il n'était plus là. Il avait laissé toute seule, abandonné à son sort en emportant avec lui tout espoir de le revoir un jour. C'est à ce moment, cette instant qu'elle se rendit compte que c'était la fin.

La peur. Le pire ennemi de l'homme, ce sentiment qui siège dans les plus sombres ténèbres de notre âme à l'habrit de tout regard nous observant de ses yeux au regard tranchant, à l'attente d'une opportunité pour nous injecté son venin paralysant enfin de resserrer son emprise sur nous sans plus aucune envie de nous lâcher. Ce sentiment qui prenait un malin plaisir à se nourrir de nos plus grandes frayeurs était là, à ces côtés lui tenant la main comme sa plus grande allier en cette instant.

...: Pourquoi Moi? Pourquoi persist-ils à s'acharner sur moi ? Pourquoi tout ces malheurs s'acharnent-ils sur Moi?

Toutes ces questions ne cessaient de raisonner dans sa tête. Elle qui se disait ne pas mérité tous qui lui arrive, aspirant à un lendemain plus heureux, espérant un jour trouver le vrai bonheur que la voici aujourd'hui face au sort qui persistait à la confrontée à ces plus grandes peurs. Ce n'était pas sensé arrivé, les choses n'était pas sensé se passer comme ça dans sa vie mais elle n'y croyait pas encore que la réalité avait raisonner dans ces oreilles comme un cri déchirant le silence de la nuit noire comme un épart linceul. Recovieller sur elle-même ,le regard fixé dans le vide et brouillé par les larmes qui ne cessaient de coulé. Kayden essayait tant bien que mal de se convaincre que tout ça n'était pas réel mais en vin. Elle était bien là, dans cette chambre sans vie habillé de rideaux qui n'était pas la sienne,éclairé par les rayons de soleil qui provenaient des fenêtres en vers , assise sur ce lit douillet aux draps fleuri et au chevet maquiller de vernis doré qui n'était pas le sien. Elle qui se sentait avide de toute espoir de se sortir de ses lieux après avoir tout essayé pour ce libérer en vin , dans un dernier espoir de liberté c'est sa pensée qui pris le déçu sur son corps ainsi, kayden se leva du lit vêtu d'une robe noir fleuri à bretelles et d'un mini pull gris blanc au-dessus et se dirigea une énième fois vers la porte de sortie de la chambre.

Kayden : ô secour !!! À l'aide!!! Venez m'aidez je suis enfermé !!!

Après plusieurs coups frapper sur la porte accompagné des ces cris sans réponse. Kayden se rendit compte que c'est son instinct de survie qui avait pris le contrôle sur elle et qu'elle ne savait plus quoi faire ,il n'y avait aucune issue de sortie toutes les fenêtres étaient protégées par des barres en fer et la seul porte de sortie était fermée à double tours. Elle n'y comprenait rien à tous ce qui lui arrivait, qu'est-ce qu'elle fesait enfermer dans cette chambre et qui la détenait enfermé ? Sur ce questionnaire kayden avait arrêté de frapper à la porte et de crié et s'était mise à faire des 100 pas dans la chambre.

Pour mettre fin à se silence qui s'éternisait déjà dans la pièce c'est un bruit de clé dans une serrure qui vin sortir kayden de ses pensées. Elle qui cherchait désespérément un moyen de sortir de cette endroit avait vue là une opportunité de sortie où même de connaître les visages de ses séquestreurs. Toujours guidé par son instinct de survie kayden courue se cacher derrière le lit .